"Comment sortir de la croissance".
#NousToutes, 400 femmes journalistes appellent à marcher samedi contre les violences sexistes
Le 23/11/2018
"Nous, femmes journalistes, ferons partie du mouvement", annoncent 400 journalistes dans une tribune.
Il est clair, effectivement, que le métier de journaliste, soit un métier "à risques", malheureusement, puisque par définition, c'est un poste qui interpelle, et qui relève de l'intellect, et donc, par association, du pouvoir... Partant de ce postulat, certains hommes n'apprecient pas, je suppose, qu'on vienne, y piétiner leurs plates bandes. Comme toujours.
Mais au fait, existerait il, quelque part, des postes de travail, qui ne soient pas "à risques", ou qui le soient de façon moindre ?
Ha, si, les basse besognes, suis je bête, ou le soin, là, où les hommes, sont minauritaires. Et pourquoi, je vous le demande , Et bien prce que "le soin", est une fonction qui s'apparente, de façon incosciente, à l'instinct maternel.... ET TOC !
Les sept séquences qu'il ne fallait pas rater de Nicolas Hulot.
Le 23/11/2018
Bon, j'étais vraiment trop epuisée, hier soir, pour regarder l'emission en live, hier soir.
Tôt ce matin, donc, ne dormant plus, je m'y suis recollée.
Certains commentaires, sont transmis à Thomas, en interne, parce que ça nous concerne lui et moi, et d'autres seront posés ici.
1 Sur sa démission : "aucun regret" mais "une tristesse".
Interrogé dès le début de l'émission sur son départ du gouvernement, Nicolas Hulot a dit n'avoir "aucun regret" mais il a signalé "une tristesse". "J'avais beaucoup d'espoir dans cette diversité gouvernementale, je trouvais que c'était un gage de succès." Mais pour Nicolas Hulot, sa démission "est un acte constructif, ce n'est pas l'arrêt de [s]on engagement".
Je comprends, cette parenthèse. Nous en sommes, tous là… je dirai « notre engagement », même si on ne s’est juste que croisés du regard, un jour, sur le plateau de Vivement Dimanche, quand il avait fait son émission, en temps qu’invité principal, invité par Michel Drucker.
Heureusement, qu’il n’est pas indispensable de se rencontrer physiquement, nécessairement, pour se considérer comme faisant partie d’une famille politique ou communauté d’idées, parce que je serai bien malheureuse.
Je crois qu’il doit prendre ça comme une expérience, ce qu’il a fait, visiblement, et dieu sait qu’en politique, les déceptions doivent être fort fréquentes, parce qu’entre le fantasme et le désir du pouvoir, comme quand on est candidat pour une élection, et la réalité, une fois élu(e, s), beaucoup tombent de haut, visiblement, plus qu’on ne le soupçonne, en tout cas.
2 Sur la taxe carbone : "Il faut un accompagnement social digne de ce nom"
La taxe carbone, "je l'ai défendue et je l'assume. Mais je l'assume à partir du moment où on la met en œuvre avec une dimension et un accompagnement dignes de ce nom. C'est ce qui a manqué, il faut le dire", a dit l'ancien ministre. "Je me suis battu, et notamment dans les semaines qui ont précédé mon départ, pour qu'on change complètement d'échelle dans l'accompagnement social de la transition énergétique et écologique", a poursuivi Nicolas Hulot.
Sur ce point, je suis d'accord, et je le crois de bonne foi. Il est alors, en accord, avec la posture ds gilets jaune, selon moi.
3 Sur les "gilets jaunes" : "une crise évitable"
Nicolas Hulot a déclaré avoir alerté l'exécutif sur le mouvement en cours. "Je veux bien tout assumer, j'ai tenté, quand je n'ai pas convaincu, j'en prends acte, mais j'aurais préféré effectivement ne pas avoir eu raison sur le risque d'emballement que l'on connaît", a-t-il dit face à un représentant du mouvement des "gilets jaunes" en duplex depuis Saint-Brieuc. "La France se serait bien passée de cette confrontation qui oppose l'écologie au social, alors que ma volonté était de réconcilier écologie et social. On n'y est pas parvenu et cette crise était évitable", a insisté Nicolas Hulot.
Rien à rajouter, pour ma part. Je le crois aussi, d'autant plus que l'ecologie, offre l'opportunité de créer des emplois, sur le moyen et long terme, pour peu qu'on s'en donne les moyens, politiquement, et que surtout, lintention soit là.
4 A un "gilet jaune" : "Ne mettez pas tout sur le dos de l'écologie"
Lors d'un échange avec Benoît Julou, le porte-parole des "gilets jaunes" de Saint-Brieuc, Nicolas Hulot a demandé de faire la part des choses, de ne pas blâmer l'écologie mais de s'en prendre au "matraquage fiscal" et à "l'inégalité fiscale".
Oui, sur ce point, encore, il a parfaitement raison.
Nous vivons aujourd'hui, dans un monde, qui exige une adaptabilité des politiques, qui dovent demontrer, qu'ils sont capables d'innover, et pour ça, de faire voter des lois nouvelles, prenant en compte, les nouvelles donnes, qui nou sont imposées, et l'écologie est une science, qui tend à mettre en évidence, à quel point, sous plein d'aspects differents, de nouvelles regles, doivent nous aider, à vivre mieux, sans nuire à notre environnement, qui pourrait ne plus être mal traités, et qu'on en soit victimes, sur notre santé, par exemple...
Mais il est parfaitement exact, d'observer, que si je puis dire, "tout ce qui deconne, dans notre pays, ne releve pas uniquement, et strictement, de l'écologie", enfin, c'est ce que moi, les propos de Nicolas Hulot, m'inspirent.
Un argument inconcevable pour Benoît Julou. "Le matraquage fiscal, ça commence par l'écologie", a rétorqué ce dernier. Et de conclure : "Pour l'écologie et seulement pour l'écologie, on va laisser des gens crever au bord de la route."
Je ne connais pas ce monsieur, mais il deraisonne, s'il met bien en évidence le court terme, ce qui est le problème actuel, parce que pour crever de faim (je connais bien, merci), effectivement, c'est de court terme, dont il est question.
Je touve son argumentaire meprisant l'écologie, purement et simplement, et refusant d'observer, que l'impôt, soit helas, une chose indispensable.
Autant, je trouve recevable, de pretendre, que l'impôt, doit être prelevé, de façon differente, je pense notamment, à l'evasion fiscale, autant, considérer que l'impôt ne soit observé, que sous l'angle écologique, me semble, stupide.
Le problème, reside non pas, dans le fait qu'il conteste, le principe de l'impôt, mais que l'impôt soit qualifié d'ecologique....
En fait, sa posture tend à criminaliser l'écologie, un comble, quand on sait, que c'est précisement, ce qui est la base même, de sauver les especes menacées, dont accessoirement, il n'ait pas encore saisi, que nous humains faisons partie.
Je dirai TRMP, sors de ce corps....
Désolée, d'être bassement terre à terre, ça doit être du à mes origines.
Mais si on vous fait payer, 100€ d'impôts, peu importe le pretexte sous lequel l'administration prétend vous le faire payer. La seule chose que je vois, c'est que ça sort de ma poche.
Là, il s'agit de la taxe sur l'essence, alors, que précisément, on sait que ça concerne bien peu l'essence, et que l'écologie, n'est en fin de compte, dans cette histoire, qu'un bouc emissaire...
Observer ainsi, qu'Emmanuel Macron utilise les mêmes procédés que les nationalistes, partout, dans le monde... Enfin, moi, c'est mon sentiment.
Je n'ai pas le sentiment, que les gilets jaunes, sont aussi contre cet impôt, qu'on ne le pense, je pense surtout, que beaucoup ont le sentiment, qu'on les berne, en utilisant des méthodes peu reluisantes.... Ils n'en sont pas encore, à nous mettre les enfants affames, pour justifier tel impôt ou tel autre, mais ça va peut être venir, non ?
5 Contre l'essor du populisme : il prône la solidarité
Face à "la tentation du repli sur soi et du populisme", Nicolas Hulot a proposé "un souffle puissant du respect, de la sobriété, de la solidarité". Et de poursuivre : "Mais la solidarité, ça ne marche pas dans un monde où la plupart de l'argent qui circule ne participe pas à la solidarité et où 1% [de la population] concentre 93% des richesses de la planète, où la tyrannie de la finance accapare l'ensemble des biens communs." Il a alors évoqué le leader de La France insoumise : "Il n'y a pas besoin, pardon pour Jean-Luc Mélenchon, d'être forcément Jean-Luc Mélenchon pour le dire. Et chacun, avec une fibre humaniste, devrait s'en offusquer."
Bon, rien à rajouter, sur ce point.
il fût un temps, où Mitterand avait dit à Chirac, je crois, "vous n'avez pas le monopole du coeur", visiblement, la version 2018, est deja en ligne.
6 Sur Emmanuel Macron : "On n'avait pas le même diagnostic sur l'état de la planète"
Interrogé sur sa relation avec Emmanuel Macron et Edouard Philippe, Nicolas Hulot a déclaré avoir "une estime et presque une amitié pour le président et du respect pour le Premier ministre, mais on n'a pas réussi à se comprendre". "Je pense qu'on ne mesurait pas la même gravité. On n'avait pas le même diagnostic sur l'état de la planète et sur les menaces qui pèsent sur l'humanité", a-t-il estimé.
Il a dit, exactement, "nous n'avions pas le même diagnostic, alors, logiquement, on ne pouvait pas prescrire, lui, et moi, le même remède".
Difficile d'être plus clair, c'est sûr. Macron, ne vient pas d'un milieu modeste, je crois, et il ne connait pas vraiment ce que c'est que de vivre, en bas de l'echelle sociale, et ce que ça implique, quand aux conséquences de ce qu'il nous impose, au propre comme au figuré.
Je demeure persuadée, pourtant, que le milieu d'où l'on vient, n'est pas indispensable, pour faire preuve d'humanité, dans ses valeurs, mais on ne peut que rester songeur, en voyant à quel point, il sous estime la souffrance des français.
7 Sur la présidentielle de 2022 : il n’y pense "pas une seconde"
Nicolas Hulot va-t-il revenir en politique ? La question se pose, avec, pourquoi pas, l’élection présidentielle de 2022 en ligne de mire. Mais l’intéressé a balayé l’idée : "C’est un fantasme de journalistes", assure-t-il. Il n’y pense "pas une seconde" et estime que d’ici là, "il se sera passé bien des choses".
Bon...
Le 22/11/2018
https://www.facebook.com/francoise.nielaubin.921/videos/214016466163935/
Guillaume Midon : Voici ce qu'il ressort de mon entrevue avec et les forces de l'ordre hier soir. Merci de lire attentivement ce message, certes un peu long je m'en excuse mais il me parait necessaire à ce stade de faire un 1er bilan. Pensez à Copier-Coller ce message qu'il circule un maximum " Cela fait plusieurs nuits que je me déplace sur les blocages Après plusieurs échanges avec les forces de l'ordre sur place, il en ressort certains choses : - Tout d'abord, ils sont comme nous, pensent comme nous mais sans avoir le droit de l'exprimer ni le montrer. Pour autant, à demi mot et sans que leurs supérieurs ne les entendent, ils se confient à nous et nous encouragent dans notre combat! - De leur point de vue et du mien, on se trompe de cible depuis le début. Pour savoir ce qui dérange le gouvernement, il suffit de regarder où sont les forces de l'ordre. Plus elles rappliquent vite, plus on tape dans le mille. - NE BLOQUONS PLUS LES FRANCAIS, NE BLOQUONS PLUS LES MAGASINS, MAIS REDONNONS AU PEUPLE QUI A ETE TOLERANT AVEC NOUS CE QUE L ETAT LUI VOLE DEPUIS DES ANNEES !! - Ouvrons les péages, masquons partout où nous passons les radars, les horodateurs et tout parking payant, - Investissons pacifiquement les Mairies, les centres des impots, les préfectures, le conseil général etc....Tapons directement dans les caisses de l' état et aidons les Français à mieux vivre durant cette période de REVOLUTION ! - Pour ce qui est des grands magasins, des entreprises et des artisans. Oui ils font de l'argent, encore que certains galère aussi, mais ne dit-on pas que l'argent c'est le nerf de la guerre ?? Mais j'ai vu de très beaux gestes de solidarités de plusieurs entreprises. Alors METTONS NOUS LES ENTREPRISES DANS LA POCHE AU LIEU DE LES EMMERDER ! Ils souffrent déjà bien assez de la concurrence mondiale et européenne ! Oui elles gagnent parfois beaucoup, mais c'est un autre combat....ne mélangeons pas tout. Nous ne leur demandons pas de manifester mais de nous aider à tenir bon face au gouvernement qui lui à les moyens humains et financiers de nous épuiser !! - Que les responsables de chaque groupe local entre en contact avec les entreprises de son secteur pour mobiliser et s'organiser ! - Nous les laissons travailler et en contrepartie ils nous aident à tenir sur la durée.Par exemple : - Les transporteurs peuvent nous fournir des palettes et de l'essence pour des opérations ciblées ou positionner leurs camions autour des bâtiments publiques pour limiter l'accès des CRS - Les grandes surfaces et les métiers de bouche peuvent nous permettre de manger sur les blocages de bâtiments publiques voir même, pourquoi ne pas organiser des points de distribution de café sur le bord des routes etc.... - Les artisans ou tout autre entreprise peuvent peut-être nous fournir des banderoles ou des moyens de nous chauffer ! Il y a beaucoup à faire et à mettre en place. Mais pour cela il est temps de s'organiser et de marcher ensemble dans la même direction ! Communiquons, et acceptons l'aide de et le soutien de tous ceux qui le souhaitent. Tenez bon, nous vaincrons ! Vive les Gilets jaune !!
Fin de la discussion.
Le 25 novembre 2018.
Ce midi (je n'ai pas vu en direct, je regardais la 3, pour la coupe Davis) , Edouard Philippe etait au journal de France 2.
PEDAGOGIE. certes, je répondrai, simplement, VENTRE AFFAME N'A PAS D'OREILLES.
S'ils avaient écouté les recommandations de Nicolas Hulot, à l'époque, "en Hamon", ils ne seraient pas dans le caca aujourd'hui.
Sinon, au delà du fait de vouloir incriminer le mouvement gilets jaunes, dans son ensemble, je suis la première à regretter cette casse, sur "la plus belle avenue du monde".
J'ai lu, sur les réseaux sociaux, que les forces de police, avaient intentionnellement, laissé passer certains casseurs.
Ce à quoi, on nous a été expliqué, au journal de France 2, que tel avait été le cas, c'était dû, au fait que n'ayant pu avoir l'info, sur le véritable lieu de RV, les forces de police, se trouvaient dans l'incapacité, en nombre de couvrir la sécurité en différents lieux, et que par conséquent, la cause n'en aurait été due, qu'à les raisons purement logistiques.
Cette posture tiens effectivement la route, il nous faut le reconnaitre.
Mais certains bruits circulent, sur les reseaux sociaux, qui ne donnent pas uniquement, de l'intox, comme chacun sait.
Parmi ceux ci, je suis tombée sur des rumeurs, de personnes expliquant, qu'ils avaient été effectivement rémunérés, pour casser.
Au delà de ces preuves ou de ces temoignages, qui pourraient profiter à tous, la question, qui se pose, alors, serait la suivante:
"Comment se faire entendre, sans pour autant, perdre la face, ou en tout cas, adopter une postur qui tende à renouer un dialogue qui profiterait à tous ?
Je propose la chose suivante, et je suis vraiment désolée, d'avoir la fibre aussi consensuelle, alors que d'autres ne savent être que grande gueule....
Les sondages, aujourd'hui, sont formels, et les citoyens, soutiennent dans une forte proportion, les gilets jaunes.
A ce titre, je pense que le message, a bien été reçu, ce qui me semble, être, le plus important.
A ce titre, je tiens à faire une remarque, des plus importantes.
Pour les centres commerciaux bloqués, et les fêtes de fin d'années, qui approchent, à grands pas....
Si la grande majorité des citoyens, soutiennent le mouvement, en posant leurs gilets sur le plage avant de la voiture, n'allez pas croire, cependant qu'il renoceront à faire leurs courses, de fin d'années, pour soutenir le mouvement.
Ainsi, je suis deja quasiment certaine, que c'est visible, dans les magasins de vente par correspondance, dans l'hypothèse, où ces blocages, perdureraient, il ne fait aucun doute, que celui, ou celle, qui pose son gilet sur la plage avant, n'aura aucun scrupule, à contourner l'obstacle, pour parvenir à consommer, et achetera en ligne...
Conséquences, les boites en question, n'embaucheront certainement pas, ceux qui y bossent, devront trimer, 3 fois plus, et tout le monde y perdra.
Je ne suis pas en train de prétendre, qu'il ne faut plus que, etc, etc, etc...
Non, je prétends juste, que persevérant, sur cet axe, c'est ainsi que les consommateurs, contourneront le problème, et il y a fort à parier, que ça ait deja commencé.
Mais revenons à la casse, sur les Champs Elysées.
A l'époque de François Hollande, quand il etait Président, la casse deja se produisait, et je n'ai aucun élément, qui puisse déterminer, si c'était plus, ou moins, et ça n'a pas vraiment d'importance.
Par contre, à l'époque, je me souviens tres bien, d'une certaine stratégie, qui aurait consisté, si je ne me trompe, qu'à consulter les fichiers des délinqants d'extrême droite, afin de s'assurer, que pour telle manifestation, ou telle autre, on s'assurerait, qu'il ne pourrait pas s'y rendre, pour casser., et ce, notamment, en fliquant les transports en commun, d'où ils partaient, en banlieue...
Que sont donc devenus, ces fichiers ?
A quoi, servent il ?
Sont ils tenus à jour ?
Parmi, ceux interpellés, hier, et avant hier, est ce qu'il se trouve, des individus, fichés, pour cette raison ?
Quel est le pourcentage d'arrestations, qui corespondent à des primo delinquents, et de recidivites ?
Je veux dire que les policiers, en interne, sont payés, avec nos impôts, et qu'il me semblerait, plutôt judicieux de nous informer, en quoi, pourquoi, et comment, ces fichiers, existeraient encore, ou pas ?
S'ils sont tenus à jour, "ou pas".
Sinon, moi,je poserai, une simple petition en ligne, comme ça se fait, pour n'importe quelle autre cause.
En théorie, le pourcentage, nettement favorable aux gilets jaunes, devrait apparaitre nettement, sur cette pétition.
Encore une chose.
Dans l'hypothèse, où les gilets jaunes souhaitent perseverer, dans les manifestations, je leur recommande, moi, de rester "dans les clous", c'est à dire, de ne difiler, qu'aux endroits, autorisés.
Je sais, ça fait chier.
Mais stratégiquement, c'est beaucoup plus payant, vis à vis du gouvernement.
Dans l'hypothèse, où les defilés, auraient eu lieu, dans es endroits, prevus, alors, les forcesd e polices, auraint été les seules, responsables d'une certaine façon, de la casse, et les gilets jaunes, auraient été infiniment moins, dyscrédités... Pour les manifs, à venir, il en va tout autant.
C'est d'autre part stratégiquement plus judicieux, parce que ça colle le gouvernement, devant ses responsabilités, et n'ayant plus d'autre choix, que de passer à l'acte. sachant, que ces manifestations, peuvent, de toute façon, reprendre, ensuite, dans l'hypothèse où ces degocciations, s'avereraient infructueuses.
27 novembre 2018.
Ça commence aujourd'hui", une semaine entière, consacrée à la Justice.
Le 22/11/2018
lundi 19 novembre 2018. Après une agression, ils se battent pour se reconstruire, https://www.france.tv/france-2/ca-commence-aujourd-hui/787671-speciale-justice.html
Merdi 20 novembre 2018.Traumatismes d'enfance : oser en parler, https://www.france.tv/france-2/ca-commence-aujourd-hui/794989-speciale-justice.html
Mercredi 21 novembre 2018. Son fils a commis un crime / Grandir auprès d'un père meurtrier, https://www.france.tv/france-2/ca-commence-aujourd-hui/796587-speciale-justice.html
2 Septembre 2019.
Pourquoi, cette émission, est elle devenue d'importance considérable, sur France 2 , je vous explique tout ça, dans cette vidéo.
Pour le replay, c'est ici:https://www.france.tv/france-2/ca-commence-aujourd-hui/
LLL, les Editions "des liens qui libèrent".
Le 22/11/2018
Brigitte Macron s'engage dans la protection de l'enfance.
Le 19/11/2018
Je copie colle, l'article en question, dans le JDD.
INDISCRET - Brigitte Macron a reçu les auteures d'une récente tribune dans le JDD réclamant d’ériger le sujet de la protection de l’enfance en grande cause nationale. Un délégué interministériel devrait être désigné mardi.
La journaliste Françoise Laborde et la vice-présidente du Conseil national de la protection de l’enfance, Michèle Créoff, auteures d’une récente tribune dans le JDDréclamant d’ériger le sujet de la protection de l’enfance en grande cause nationale, ont été reçues par Brigitte Macron. Début novembre, 15 juges pour enfants ont à leur tour exigé un "plan d’urgence". Message entendu à l’Élysée. Un délégué interministériel devrait être désigné mardi. Parmi les candidats auditionnés, un magistrat spécialisé et une personnalité qualifiée issue de la protection de l’enfance tiennent la corde.
Lire aussi notre tribune - Françoise Laborde et Michèle Créoff s'engagent contre la maltraitance familiale
Brigitte Macron s'était déjà mobilisée sur des sujets comme la prise en charge des personnes autistes ou le harcèlement scolaire. La première dame avait prévenu dès l'été 2017 qu'elle s'engagerait contre toutes "les exclusions", "notamment ce qui touche au handicap, à l’éducation et à la maladie".
Deux enfants meurent chaque semaine sous les corps
Le 21 octobre dans le JDD, des personnalités de tous horizons avaient signé une pétition adressée au président de la République et assortie de propositions pour faire de la protection de l'enfance une "grande cause nationale". Les signataires rappellent qu'en France, "chaque semaine, deux enfants meurent sous les coups et les tortures" et "73.000 cas de violences sur mineurs sont identifiés par les forces de police chaque année, soit 200 par jour". En France, poursuit le texte, "7.000 viols de mineurs sont officiellement recensés chaque année, soit presque 20 par jour" et "la moitié des victimes de viols et d'agressions sexuelles ont moins de 12 ans. Seulement 2% des cas donnent lieu à une condamnation".
Outre Michèle Créoff et François Laborde, comptaient parmi les premiers signataires des représentants d'associationS (j'imagine qu'il ne doit pas y a voir qu'une seule association, representée)d'aide à l'enfance ou de lutte contre l'inceste, mais aussi les philosophes Sylviane Agacinski ou Élisabeth Badinter, les animateurs Nagui et Flavie Flament, l'humoriste Florence Foresti, les acteurs Bruno Solo ou Anny Duperey, ou encore le footballeur Adil Rami.
Bon, le souci réside dans le fait que c'est aussi d'argent dont il est question, puisque par definition, la Justice étant le parent pauvre, du budget de l'état, pour ne pas dire la ciinquième roue du carrosse macronnien, comme à l'époque de Sarkozy, décider que ça devienne grande cause nationale, devra bien s'accompagner, d'autre choses que de belles paroles.
Et qu'on ne vienne pas nous dire, alors, que "justement, les taxes sur l'essence".....
Vous la sentez bien venir, la diversion, là, vous la sentez bien venir ?
Et si ça n'était que la diversion. je les entends deja, tenter de culpabiliser les gilets jaunes, pour les faire passer pour les méchants, qui ne veulent pas casquer, pour finncer les programms qui sont sensés voir le jour, autour de l'aide à l'enfance.
Comment vous dire ?
Un enfant, qui vit dans une famille, ou l'inquietude est quasiment constante, pour cause de précarité sociale, est d'autant plus susceptible, de se trouver en danger, alors, "on ne nous la fait pas", à nous, certainement pas !
Propriétaires fonciers, qui souhaitent améliorer leurs logements loués : SOLIHA.
Le 18/11/2018
L'effondement de deux immeubles, à Marseilles il y a quelques jours, a ms en evidence, un prblème de société, qui semble, à chaque gouvernement, une patate chaude, que chacun se renvoie.
J'en parle dans un autre article dont voici le lien.
https://www.soliha.fr/notre-reseau/
Pour ce qui concerne la ville de Paris, il y a quelques années, il avait été decidé que la ville, eventuellement, pouvait se porter caution. je ne sais pas si ça fonctionne toujours.
Une chose demeure certaine, cependant, c'est qu'il existe certains reseaux, qui peuvent proposer certaines garanties, pour pouvoir en temps que propriétaires, pour rendre leurs logements, à la location.