google-site-verification: google7d26736b1ef720ed.html

Fi conf 22 1920x1080okk

Manger autrement ? Mais comment ?

Le 29/11/2022

Dans SANTE NI CAFE mais si possible avec humour.

Il fût un temps, où moi jadis, comme beaucoup d'autres femmes, j'allais faire le plein de courses au supermarché, avec mon caddie...

Oui, j'ai bien dit "moi, femme", pour le cas où certains en douteraient, et oui, "femme au foyer", c'était moi, qui m'y collais.

 Quel pourcentage de bipèdes, aujourd'hui, peuvent se permettre le luxe, j'ai bien dit, le luxe,  d'aller faire ses courses avec un caddie, ce qui signifie, qu'il sait qu'il ait assez d'argent sur son compte, pour se permettre de ne pas risquer d'avoir la surprise, à la caisse, d'avoir trop dépensé...

 Soyez sans crainte la grande distribution, ne risque pas de faire ce genre de sondage...

 Faire ses courses avec un cabat, reste le moyen le plus certain, de dépenser le moins possible, voir, avec ses deux bras, quand il s'agit de passer au supermarché, pour le plus urgent....

 Que celui qui n'a jamais connu la fin du mois le 10, me lance la première pierre, enfin, si possible, plutot un lingot d'or, "syouplay", qu'on puisse aller les échanger a banque, merci....

 Peut on rire de la pauvreté ?

 Certes oui, "manquerait plus que ça", mais à la seule condition, qu'on ait vraiment, une perception exacte, de l'expression 'manger de la vache enragée", expression, qui m'interpelle, pour le coup, et dont, je ne connais pas l'origine.

 Il fût un temps, jadis, où l'on culpabilisait, je crois, d'être pauvre...

 J'ai culpabilisé, moi aussi, de l'être, un peu.... Puis on s'habitue. On s'adapte. On trouve des idées, on s'organise.

 Que certains s'evertuent, à trouver les bon plans, au supermarché,  c'est leur affaire...

 Accepter de changer ses habitudes, non pas choix, je dirai idéologique, devrait être la norme.

 Le souci, reside dans le fait, quon en arrive à y être contraint, par necessité économique...

 C'est là que réside le problème.

 La voie à emprunter, en fin de compte, reside dans le fait, de ne plus culpabiliser d'être pauvre,  pour taire la frustration, de telle sorte, qu'on envisage plus sereinement, de changer nos habitudes.....

 J'expérimente personnelllement, une épicerie, au sein d'une ferme, où à la belle saison, je vais cueillir moi même, mes fruits et légumes...la ferme des hathieux, pres de Clères.

 Que ce soit moins cher qu'en magasin, quand on les cueille soi même,  c'est logique.

 Mais y compris l'hiver, aussi, au magasin, les prix sont généralement intéressants.

 La fraicheur des produits est irréprochable, ils proposent, en tres grande majorité des produits locaux,  en somme, on a tout à y gagner.

 Je crois qu'il y a un point,  qui est largement sous estimé, à la fois par les nutritionnistes, mais aussi, par les consommateurs, qui reside dans le fait, que se nourrir, commence, bien avant de faire entrer des aliments, dans sa bouche..

 Je m'explique.

 Quand je n'ai pas le moral, je me fais mes carottes rapées....

 Je .......Prends....... Mes.......... carottes...... Je les ........ épluche........ Jeles rape avec mon robot....

 L'idéal, c'est d'avoir pu, les faire pousser soi même.

 Ce que je veux dire, c'est que la relation physique, charnelle, je dirai même, avec le produit, joue, un rôle sous estimé, dans le cerveau, aussi, notamment, dans le mise en route de l'appetit, et dans la façon, dont on satisfait son appetit.

 D'ailleurs, je ne suis pas la seule, à le penser...

émancipation droit du travail petits commerces Conscience ruralité nutrition diététique

  • Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !