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"Comment sortir de la croissance".

Marine le pen, et rassemblement national , l'arnaque du siècle.

Le 14/03/2019

 Je vous livre mon travail, envoyé à mon bras  droit, hier matin.

Marine le pen,  le 14 mars 2019.

https://www.ledauphine.com/savoie/2019/03/13/chambery-cafouillage-autour-d-une-visite-de-marine-le-pen-a-la-rotonde

Ok, je vois...

C'est très amusant, en effet...

Car en dehors, d’un symbole difficilement contestable, (je parle du mot ROTONDE),  qui renvoie, à l’image, d’hôtel et restaurants de luxe, le monument quasiment icône,  du système ferroviaire français,  ce qu’elle a cherché à faire, en tentant de venir le visiter, ce matin,  c’est de s’accaparer le symbole de distribution des rôle, come si elle se voyait, comme le chef de gare,  de l’Europe, ou plutôt l’aiguilleur  (au sens aiguilleur du ciel, comme dans l’aviation), régentant, la communication, entre les différents pays membres.

Heureusement, que les syndicats, ont fait ce qu’il faut, et que cette visite a été annulée, ce matin.

 « pas folle la guèpe »….

 Mais si j le sujet est abordé, ce soir,  on peut lui suggérer de nous expliquer, plutôt que de chercher à s’accaparer ce symbole, en quoi, elle serait susceptible d’aider, par contre, à sa restauration.

https://rassemblementnational.fr/droits-de-reponse/oui-un-migrant-peut-toucher-davantage-quun-retraite/

 Sur ce sujet, l’œil du 20h, a fait le travail, je crois, et est démontré, que c’est complètement faux.

 Il est bon de noter, par contre, que sur son site internet, elle part d’emblée, sur la posture parano, prétendant qu’aucun journaliste, n’a daigné vérifier ses dires, la condamnant, elle,  d’emblée, comme menteuse….

 Alors, que c’est faux, puisque ça a été vérifié, justement.

 Système pyramidal, quand tu nous tiens.

Je vois, sur son site internet, qu’elle se donne le droit de réponse, face aux agressions des journalistes, puisque telle est sa posture… vis-à-vis des medias.

 Mais il est interpellant, d’observer, que nulle part, un adhérent, ou un sympathisant, ne soit autorisé, soit à commenter, soit simplement, à approuver, ce qu’elle prétend.

 C'est-à-dire que l’on demeure, toujours, et encore, complètement, dans le culte de sa personnalité, à elle, uniquement, ou des quelques personnes, qui sont à la tête du parti.

Bon, son programme.

 Apres tout, faut aller voir.

 Le logement…RIEN, elle ne propose, rien, elle ne fait, que poser le constat.

https://rassemblementnational.fr/le-logement/

Les 144 engagements.

Hola, je la cite : « J’ai voulu, par cette démarche, vous permettre de contrôler mon action à la tête de l’État au cours du quinquennat. Sans ce contrôle, il n’existe pas de démocratie saine.

 Au sein de son parti, déjà, personne n’a le droit, de commenter quoi, que ce soit, je viens de regarder sur le règlement interne.. rien n’a changé, donc.

Mai ce qu’elle dit, est incohérent.

 Comment peut elle prétendre  respecter à l’avenir, une vraie démocratie,  si un jour elle était élue, alors, qu'au sein de son parti, au moment où je vous parle, elle reste dans un schémas, entièrement pyramidal, où rien, n’a changé, depuis le FN ?

 Les idées, neuves, j’en vois nulle part.

Je fais un copié collé.

Remettre la France en ordre, en cinq ans.  Cette phrase ne veut rien dire, on sait, qu’on doit complètement changer notre société, ou plus précisément, qu’il faut des idées neuves, et surtout, parfaitement palpables et concrètes, et là,  elle ne fait que demeurer, dans les intentions, et dans la généralité.

C’est l’engagement que je prends.

Mon projet contient 144 grandes mesures qui vous seront détaillées tout au long de la campagne.

 Donc, par définition, on ne les connait pas encore.

J’ai voulu, par cette démarche, vous permettre de contrôler mon action à la tête de l’État au cours du quinquennat. Sans ce contrôle, il n’existe pas de démocratie saine.

 Elle fonctionne toujours, chez eux, de façon pyramidale, alors, c’est plutôt mal barré.

L’objectif de ce projet est d’abord de rendre sa liberté à la France et la parole au peuple.

 Généralité, qui ne veut rien dire, encore une fois. La liberté de chacun, s’arrête, où commence celle des autres, non ?

 Car c’est en votre nom, et pour votre seul bénéfice, que toute politique nationale doit être menée.

 La notion de bénéfice, prête interprétation, d’une part, mais exclue aussi, la notion de communauté,  triste, comme vision du monde.

Je veux aussi rendre leur argent aux Français, parce que depuis de trop nombreuses années, notre politique sociale et fiscale appauvrit les classes moyennes et 

populaires, alors qu’elle enrichit les multinationales et dilapide l’argent public via une immigration totalement incontrôlée.

 Oui, on sait, que les immigrés, ont le dos large… s’ils n’étaient pas là, on se demande bien, sur qui, elle ferait son beurre.

 Quand à l’argent des français, c’est assez simple, en fin de compte, partout, où les extrêmes droites, sont au pouvoir, les citoyens ont peur, et envoient leurs capitaux à l’étranger, et les entreprises, ferment, ou ralentissent, parce qu’ils n’ont plus d’investisseurs, comme ça se produit en Italie, vers la Suisse, actuellement, et ce sont les PME les premières à déguerpir.

Mon projet, vous pourrez le constater, consiste en une véritable révolution de la proximité.

 Restauration des services publics, alors. OK, elle  fait comment, pour financer ? est ce qu’elle va jusqu’à renationaliser, et reouvrir les postes, et les petites gares ? moi aussi, j’aimerai bien, mais ça induit, une changement de paradisme, dont on ne voit aucune trace encore…

 Proximité démocratique : je veux que les décisions soient prises au plus près des citoyens et directement contrôlées par eux.

 OK, mais là, encore, le citoyen, n’est pas nécessairement le mieux placé, pour observer, comment, les décisions, à prendre, peuvent être, mêlées,  aux régions alentours, ou aux pays limitrophes, pour ne citer, que ces aspects là.

 Proximité économique : il s’agit de réaménager notre territoire, d’y trouver des services publics partout, de relocaliser nos entreprises et donc nos emplois. Plus aucun Français, plus aucun bout de France, y compris l’Outre-mer pour lequel j’ai déjà présenté mon projet complet, ne doit être oublié…

 Y’a rien, quoi, elle ne nous vend, strictement, que de l’emballage.

 J’ai l’impression, d’avoir affaire, à une gamine, complètement à côté de ses pompes.

https://www.francetvinfo.fr/politique/marine-le-pen/videos-les-sept-sequences-a-retenir-de-l-emission-politique-avec-marine-le-pen_3234291.html

http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/blog/pour-une-europe-plus-sociale-et-donc-plus-humaniste-et-donc-efficace/espagne.html

 

 

Mon association POT AU FEU.

Le 14/03/2019

L’association  POT AU FEU.

 Il y a environ une vingtaine d’années, l’école du village que j’hatitais, dans une vie antérieure, avait organisé un jumelage, avec un village, non loin du lac d’Annecy, plus précisément, Argonay.

 Nous avions fait l’échange, physique, je veux dire, eux avaient dormi chez l’habitant, c'est-à-dire les parents d’élèves, et nous, aussi, par voie de conséquence, chaque élève, ayant un correspondant, dans la classe du village.

 A cette époque, internet, était encore dans l’œuf, ou en tout cas, pas encore répandu, au point, que dans une école, on puisse en être équipé.

 La question, que certains se posent, alors, serait de savoir, si l’expérience serait aussi enrichissante, aujourd’hui, la réponse relève de la  certitude, ABSOLUMENT.

 Plus encore, je dois préciser, parce que l’idée reçue, qui voudrait, qu’internet par la vidéo live, skype, etc, tuerait la magie de la rencontre, est fausse, parce que rien, jamais, ne vaudra la réalité d’une rencontre , « dans la vraie vie ».

  Michèle, femme au foyer, et qui faisait, comme moi, du bénévolat, dans le milieu associatif, nous avait reçues, ma fille ainée et moi, son mari, ingénieur aux eaux et forêts, ils habitaient un chalet, en pleine forêt, avec vue sur le montagne, et leur parc à daim. (le mari de la daimne ?).

 Enfin, le rêve, quoi.

  Evidemment, on refaisait le monde, parce que j’ai pas attendu ni de péter les plombs, ni d’inspirer des gens, ou des décideurs, pour avoir envie, de mettre ma pierre à l’édifice.

 Déjà, et oui, jeune maman, j’étais une chieuse, qui fourre son nez partout.

   Parlant de choses et d’autres, elle, m’expliquait, qu’un jour, je ne sais plus dans quel contexte, dans le cadre associatif, elle avait eu l’occasion d’organiser un repas, préparé exclusivement, par les femmes, mais je ne me souviens plus, de quel pays arabe, elles étaient originaires.

   Mais ce qui l’avait particulièrement marquée, c’était qu’elle avait ressenti, la charge émotionnelle, absolument incroyable, et particulièrement palpable, due au fait que ces femmes, n’étaient absolument pas habituées, au fait de sortir de chez elles, qui plus est, dans une démarche, où précisément, leur identité culturelle, était ainsi, mise en valeur….

  On leur avait demandé, A ELLES, qui ne sortaient que peu,  de s’en charger.

  Ce qu’elle m’avait expliqué là, je dois dire, m’avait beaucoup touchée, et m’est toujours resté en mémoire.

 J’ai mis ça de côté comme on dit,  en me disant, « un jour, j’en ferai quelque chose ».

 Cette histoire, remonte aux années 70 environ, environ.

 Ou si vous préférez, on courrait le risque, d’être perçus, comme antiféministes, risque que je ne prendrai pas.

   Ce que je retiens de cette expérience si émouvante, réside dans le fait, que c’est dans ce cas précis, par le vecteur de la nourriture, et du « manger ensembles », que l’intégration se fait.

 Alors, qu’aujourd’hui, comme certains l’avaient prévu, dont moi, il y a environ 15 ans, on voudrait nous faire gober, que le phénomène migrant, serait un problème, là où il est en vérité, une incroyable opportunité à saisir, je me suis dit, qu’il fallait agir.

 Certes, il n’est pas question, pur moi, de saper, le repas annuel, de telle association culturelle, émanant de telle, diaspora, régionale, ou nationale, auquel je n’ai d’ailleurs jamais participé….

 Pourquoi, au fait ?

 Et bien parce que vous écrivant ces lignes, je suis sous curatelle, toujours, et que financièrement, je n’en ai jamais les moyens, sinon, j’y viendrai  d’office.

 Je précise, parce qu’il existe des associations locales, prés de chez moi, et qu’elles pourraient penser que je marche sur leurs plates bandes .

Surtout pas ! L’un n’empêche pas l’autre.

 Quelqu’un qui émigre, comme on le sait tous, émigre aussi, avec une culture culinaire, qui lui est propre. Des que des migrants arrivent, et sont acceptés, pour vivre sur notre territoire, il émerge certains d’entre eux, qui souhaitent cuisiner, et en vivre.

 Certains, au point d’ouvrir leur food truk.

 Il y a quelques semaines, j’tais allée rouler ma bosse, à paris, place de la République, où la ville de Paris, avait organisé une manifestation, un week end entier, pour donner l’occasion à ces food truk,  de proposer leurs cuisines, aux parisiens.

 J’avais trouvé cette idée géniale.

 A renouveler, ça va sans dire, et à multiplier, ailleurs.

 Dans quel contexte, et où, c’est une autre histoire, à laquelle, on doit réfléchir.

 Mais en ce qui me concerne, j’y vois surtout, une occasion rêvée, de mettre en pratique, l’idée selon laquelle, un restaurateur, ambulant, puisque c’est ça, un food truk, peut parfaitement fournir, la logistique, « colorée de sa culture »,  l’association, elle, étant chargée, d’une part,  de répertorier, les food truk,  de veiller à ce que l’éthique de la démarche, venant de chacun, soit conforme  à la culture qu’il revendique, mais aussi,  de veiller, justement, au lieu d’accueil, où le repas, sera servi.

 Ce que je veux dire, c’est que le nomadisme culinaire, peut aussi, donner l’occasion incroyable, de proposer, une activité culturelle, dans certains villages, par exemple, qui voient leur vie culturelle, un peu poussive, par manque de bénévoles,  (je sais ce que c’est), qui voient leurs petits commerces, boulangeries, épiceries, cafés, fermer, les uns après les autres, dans l’objectif que j’assume, aussi, d’apporter un peu de sang neuf, dans des villages, ou petites villes, qui ont le sentiment, d’être les oubliés, de la République.

 Ce qui m’importe, aussi,  je dois admettre, c’est de donner l’opportunité  à ces professionnels, parce que je souhaite que ça ne soit que des professionnels  de la restauration, et pas des bénévoles, qui s’y collent, si possible, puissent bosser, en mauvaise saison, sachant, que le principe, du food truk, réside, dans le fait, que les gens, mangent en plein air,  à proximité, avec éventuellement, quelques chaises, et tables, installées sur place, mais EN PLEIN AIR.

 Avec cette formule, tout sort du food truck, sur le plan matériel, et professionnel, mais c’est uniquement, le lieu de consommation, de la cuisine produite, qui apporte l’opportunité pour le consommateur, de manger, et de profiter de son repas, dans des conditions matérielles, plus confortables.

 Je tiens à ce que ce soit, des food truk, précisément, pour le côté nomade, qui me semble important.

 Ensuite, pour le côté professionnel, qui impose,  des normes de sécurité, mais surtout, pour donner la plus grande crédibilité, à la valeur culturelle,  de la cuisine proposée.

 L’association, bien sûr, (MOI, EN L’OCCURANCE), sera chargée, d’une part, de  dénicher le food truck, prendre contact avec lui, le rencontrer,  voir si le courant passe (parce que sinon, ça le fera pas !), voir son histoire, rédiger une bio, afin de le présenter.

 Afin, que faisant le lien, avec des villages, les associations, les salles, ou pourquoi pas, les restaurateurs, qui souhaiteraient mettre à disposition  leur salles, puissent se faire.

 Au sujet du nom.

 Pour moi, culturellement, le pot au feu ? c’est juste SACRE….. Mais sacre, à un point que vous ne soupçonnez pas.

 C’est un plat rural, et modeste…. Tout est dit.

 On a un potager, on fait un pot au feu, et on le mange, pendant plusieurs jours.

   Le bouillon, pour ma part, j’en congèle une partie, dans des bocaux(remplis aux deux tiers), pour faire des soupes, ou pour cuire des pâtes, nouilles en lettres, vermicelle, cheveux d’anges, ou autres.

   Si je trouve important, de donner ce nom, à cette association, c’est précisément, pour appuyer sr le fait, que notre culture, y compris, donc notre cuisine, puisqu’elle en fait partie, s’est enrichie, au fil des siècles et au fil des voyages, aussi, des découvreurs qui ont introduit, tel légume, ou tel autre.

 En somme NOTRE POT AU FEU, s’il n’était in finé, que la somme de ce mille feuilles salutaire, de ces diverses cultures, nous n’aurions à nous mettre sous la dent, ni chou, ni pommes de terre, ni poireaux….

 Et pour conclure, tiens, je vous recommande, à nouveau, l’émission, de France inter, « on va déguster »,  de François Régis Gaudry, à qui je demande officiellement, d’être le parrain.

https://www.franceinter.fr/emissions/on-va-deguster/on-va-deguster-17-mars-2019

 Alors, je sais, certains me diront, « mais puisque  c’est ainsi, pourquoi, ne pas prévoir, aussi, des artistes, qui correspondent à cette culture, et à ce pays d’origine… »

 Oui, je sais, j’anticipe.

 Paris et Rouen, ne se sont pas fait en un jour .

 On commence, déjà, par mettre sur pied, le côté strictement  culinaire, à petite échelle, on observe, ou met en pratique, et ensuite, on verra en corrigeant, ce qui peut ne pas fonctionner, et petit à petit, on y pensera, mais pour l’instant, ce qui importe, c’est que ça voie le jour.

 Un détail, encore, et là, je m’adresse aux restaurateurs, en particulier.

 Je sais que pour certains, les temps sont durs, quelquefois, relativement à la baisse du pouvoir d’achat, et donc, des répercussions  sur le nombre de clients, en salle.

 Cette idée, peut offrir l’opportunité alors, de modifier, quelque peu l’image, de certains établissements.

 A méditer.

 Ça n’est pas de bénévolat, dont je parle, je le rappelle.

  Le seul bénévolat, éventuellement, ne serait que dans mon travail de coordination, des différents acteurs de l’ensemble de la démarche.

20 Mais 2019.

A l'instant, je parlais de ce projet d'association, pour demontrer, à quel point, au cours de notre histoire, chaque flux mif  graoire, ait enrichi, notre culture.

 POT AU FEU QUI DEDIT !

 

Dans FAMILLE.

Ma fibre écologique, je la dois, à.....

Le 13/03/2019

Mon frère ainé !

On pourrait penser qu'elle me serait vienue de mon père.. Non, en fait.

   Lui, avait une conscience écologique, que je qualifierai d'instinctive, et mal adaptée... Nous lui devons l'amour de la forêt, c'est vrai, on ne peut nier, mais sa fibre écologique, c'est plutôt nous, ses enfants, qui la lui avions enseignée, non pas par théorie, mais plutôt dans les faits, par le jardin.

Dans SOCIÉTÉ.

Et si on supprimait l'argent liquide, pour lutter contre la fraude fiscale ?

Le 11/03/2019

http://www.leparisien.fr/le-labo-du-parisien/grand-debat-et-si-on-supprimait-l-argent-liquide-pour-lutter-contre-la-fraude-fiscale-08-02-2019-8007135.php?fbclid=IwAR06fNhjPFsb05fm7t-Yhc9rcD9-H8JtvLJ4mwfeMebJB968qJ3q_Dp29CE#xtor=AD-1481423552

 Je reconnais, que ça serait tentant, enfin, je veux dire, que ça serait un moyen, effectivement, de contrôler d'avantage, certaines activités, et notamment, ce que vous dénoncez.

Mais ce choix revêtirait d’énormes inconvénients, qui sont les suivants..

D'une part, psychologiquement, avoir la notion de l'argent, véritablement, rien ne vaut, le fait, de le toucher, et d'en avoir conscience...

Si vous avez une liasse de billet, pour 1000€, dans votre porte feuille, ou votre porte monnaie, vous aurez beau dire et beau faire, vous avez infiniment plus conscience, de ce que ça représente, que si vous avez l’équivalent, sur votre compte en banque.

Ensuite, le second et énorme inconvénient, réside, dans le fait, qu'avec la précarité sociale, énormément de personnes, aujourd'hui, et c'est bien le drame, en sont réduits à devoir bosser au noir, pour ne pas sombrer, encore plus bas, qu'il ne sont déjà...

Et cette activité économique parallèle, est la résultante, qu'on ne peut nier, d'une société productiviste, où l'être humain est méprisé...

Moi aussi, je condamne, idéologiquement le travail au noir, bien évidemment...

Mais je préfère voir quelqu'un, qui se débrouille au noir, dans une situation de détresse, plutôt que de le voir sombrer psychologiquement, bien plus bas encore...

Qu'on assure au citoyen, une plus grande bienveillance, il aura à cœur, de respecter la loi, plus probablement, j'en suis convaincue.

 Autre chose, l'évasion fiscale,  il y a bien longtemps, qu'ele ne se fait plus majoritairement, je veux dire, par malettes, d'argent liquide interposées...Non non, elle se fait,"en cols blancs", en surfant, sur les carences juridiques, d'une part, d'un pays à un autre, y compris, au sein de la communauté européenne, (demandez donc, à marine le pen,  elle en connait un rayon, sur le sujet, puisque se faire du blé, est la seue motivation, qui justifie, qu'elle persiste à faire de la politique), par conseillers, fiscaux interposés, e paradis fiscaux, au sein même de l'Eurpe, mais aussi, bien au delà.

 Depuis plusiuers années, quand on achete un bien, à partir d'une certaine somme, (que je ne connais pas), si vous achetez une voiture, par exemple, vous n'avez l droit de payer, que par cheque, carte bancaire, mais pas en liquide.

 Demander d'o n vient l'argent,  à partir d'une certaine somme, me semblerait bienvenu, mai je n'ai pas encore eu l'occasion de le pencher, sur ce problème.

 Une chose demeure certaine, en tout cas, c'et bien d'Europe, là, dont il est question, et certainement pas de politique intérieure, dont il est question.... A bon entendeur...

 Et je ne vous parle pas encore, là, de piratages informatique, venant de hakeurs, ou d'europe de l'est, la Russie, pour ne pas la nommer,  ou d'un quelconque problème informatique, lié plus banalement, aux paiement, en cartes bancaires....

Violences faites aux femmes, ou aux hommes ? ORDONNANCE DE PROTECTION.

Le 11/03/2019

https://www.femmes-solidaires.org/?L-ordonnance-de-protection

 Je signale, d'autre part, que le systeme de téléphone d'alarme, à deja nettement fait ses preuvs, et qu'à ce titre, peut être, qu'il serait bon, si possible, d'en procurer de disponible, au sein de certains comissariats, ou des associations.

 Féminicides, "50 nuances de connerie".

3 octobre 2019.

Je viens de modifier, le titre de mon article, en y ajoutant les hommes. je fais la video, sur le sujet, à l'instant.

Dans SOCIÉTÉ.

Lutter contre la pauvreté et la précarité.

Le 10/03/2019

Tout est dit, je crois, non ?

« Je n’imaginais pas à quel point il y a de la pourriture au sein de notre Église catholique »

Le 10/03/2019

https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/France/Je-nimaginais-pas-quel-point-pourriture-sein-notre-Eglise-catholique-2019-03-09-1201007584?from_univers=lacroix

  Je trouve extrêmement rassurant, d'entendre mon eveque parler ainsi.

  Ce que ça m'inspire, c'est qu'il en est toujours  ainsi, de n'importe quelle organisation pyramidale... La tête, ignore, ce qui se passe, à la base....

  Quand à lametaphore, qu'il emploie, je dirai qu'elle est moins grave, que d'utiliser, le mot "cancer", ou gangraine", parce que la pourriture, finit toujour, par se transm former, en terreau, et donc, à fabriquer, un terrain propice à une forme de renaissance.

  Alors que Pâques approche, c'est le moment ou jamais.

  Plus généralement, tant qu l’église catholique, comme tous les autres cultes, d'ailleurs, refuseront d'observer, que l'activité sexuelle, est une chose admise, autant pour les hommes que pour les femmes, comme la soif, quand on anque d'eau, ou la nourriture, quand on a faim, en dehors du processus de reproduction, le problème ne pourra jamais trouver de solutionnement.

 Certes, on pourrait commencer, par autoriser le mariage des prêtres....Et ordonner des femmes prêtres. ça serait un bon début.

 Mais quand on observe, comment les évangélistes, qui sont protestants, et qui donc, ordonnent des femmes, comme pasteurs, demeurent dans le déni le plus complet, face à la pédophilie, on comprend bien, alors, que c'est bien loin, d'être uniquement, un simple problème de féminisme, au sein de l’église, ou d’égalité hommes femmes, au sein de l’église.

 En cours de commentaire.