"Comment sortir de la croissance".
Comment trump invente l'Alzheimer transgénérationnel.
Le 20/06/2018
Encore une preuve vraiment flagrante de son hypocrisie, quand j'ai en mémoire, le fait qu'il posait, avec toute sa tribu, pour être perçu, par le monde entier, et les américains, en tout premier lieu, pour un père aimant, et responsable....
Incroyable, on oublie juste que parmi ses enfants, se trouve l'une de ses filles, gardée à l'écart, contre monnaie sonnantes et trebuchantes, je suppose, probablement, parce qu'elle se permet de penser, et de mettre en doute, les paroles du patriarche, aussi abusif et mégalomane, que son arrogance financière, le lui permet, enfin, aux yeux des plus faciles à abuser, je parle de son électorat....
Si je parle là, de transgénéralité, c'est qu'il existe, dans toutes les familles, dans des pourcentages, divers, c'est un fait, des racines, pourries, et des racines saines...
Pour trump, la seule niblesse, s dont il pourrait s'ennorgueillir, seraitses racines irlandaises.
Racines irlandaises, alors que le problème des migrants, en Europe, se retrouve mis à mal, par la convention de Dublin, capitale irlandaise, justement, qui considère que c'est le pays sur lequel le migrant à posé le pied, qui doit l'assumer, en quelque sorte....
J'ai peint un tableau sur le mur de trump, avec le Méxique, qui montre son mur détruit, et érigé sur s du sable mouvant.
Qu'ils soient un jour erigés ou non, dans l'esprit des maericains, ces murs, ne seront jamais autre chose, que des murs de la honte, soyez en certains.
https://twitter.com/francoisefersen
http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/album-photos/peintures-non-calligraphiques/
Macron et les aides sociales, "le fond, et la forme", on en reparle.
Le 20/06/2018
Bon, là, je ne resiste pas, je suis désolée, mais quand on en arrive à ce stade de connerie, on sort la grosse artillerie, on n'a pas le choix.
Un jour, j'avais dit à Thomas, ' "putain de merde, à ce niveau de connerie, (je ne sais plus de quoi, il s'agissait), tu realises, un peu, à quel point, ça doit être un handicap ?
Pas tombé dans l'oreille d'un sourd, et voilà, ce que ça donné !
Mon père disait que certains sont tellement con, qu'ils devraient payer patente, et là, dans un commentaire, sur FB, je viens de lire, que si la connerie était quotée au CAC40.....
Grand merci, à Claire jazz, pour avoir été l'auteur principale de ce sketch, et à toute l'équipe.
Quand Laurent Ruquier dit, "c'est bien de temps en temps, de franchir les limites du politiquement correct", je crois que sur ce point, on ne peut qu'observer, si j'en crois l'augmentation considérable des talents qui ont émergé, à la suite de cette émission, que c'est plus vrai que jamais.
Je veux dire, que le rire répond à un besoin inconscient, au sujet de ce qui nous dérange, nous perturbe, ou nous fait peur, et si certains politiques, n'ont aucun scrupule à exploiter certaines de ces peurs, pour faire leurs courses dans le caniveau de la conscience humaine, ce sont bel et bien les humoristes, qui marchant sur un fil, vont au turbin, pour retirer la soupape de la cocotte minute, pour ne pas que ça explose.
Et pour les politiques, qui se prétendent être les victimes des humoristes, et qu'ils y trouvent ombrage, qu'ils commencent deja à se demander, s'ils ne jouent pas eux, avec le feu....
Soit on s'expose intelligemment, et les risques sont limités, soit on va au devant des emmerdes, en sortant de grosses conneries, parce qu'on est trop stupide en temps que politique, pour briller autrement, c'est à dire, efficament, et intelligemment.
Qu'il faille avoir le cuir bien épais, pour faire de la politique, et pour cette raison, être exposé, ne fait aucun doute, et avoir un égo raisonnable, et assez fort, pour assumer les coups, une absolue nécessité...
Et bien quoi , les psys, c'est pas fait pour les chiens.
Alors, qu'on fasse pas chier les humoristes, sinon, ça va barder, comme on dit vulgairement, "chacun reste dans son herbage, est les vaches seront bien gardées".
BREF... Nous disions donc....
Que certains touchent l'AAH, ça en dérange d'autres... Moi, je le touche, je ne l'ai pas demandé, je précise, c'est ma curatrice, qui l'a fait.
J'avais pourtant rédigé un courrier, pour justifier le fait de ne pas la toucher, puis voyant, qu'on souhaitait que je ne travaille pas, j'ai fermé ma gueule.
Le jour où je trouverai un travail j'envisage de nouveau, de demander à ne plus la percevoir.
Pour l'instant, c'est pas encore dans la poche, mais j'y travaille.
Je pense que chaque cas est particulier.
Je crois que quelquefois, on se retrouve devant, une telle incompréhension, je parle de la connerie ainsi exposée, qu'on ne sait plus quoi dire.
Aujourd'hui, des que vous sortez de la norme, trop bronzé, voir, franchement louche, au point d'avoir la peau noire, quelquefois, c'est vous dire, dans quelle merde sont certains, qui cumulent, d'ailleurs, avec le fait, d'avoir un autre handicap, comme de porter un nom, qui trahit leurs origines éthniques, d'être TROP gros, TROP, grand, TROP grande gueule, TROP "je sais pas quoi"....
C'est vrai, la connerie humaine présente, un intérêt non négligeable, de ne pas être visible, à l'oeil nu, comme ça.... En ce sens, avec une certaine chance, voir, pour ceux qui sont vraiment myopes, on pourrait les prendre pour des personnes, qui à défaut, d'être intelligents, ou d'avoir une conscience, pourrait sembler, relativement acceptable.
Aujourd'hui, on est dirigé par une équipe, qui prétend, que la seule façon de "réussir", serait d'avoir un travail.... Sans se poser le moins du monde, la question existentielle, qui réside dans le fait, que la définition même, du travail, question purement philosophique, doit être observée, et scrutée, avec un regard bienveillant, et humain...
Songez qu'aujourd'hui, plus le temps passe, et plus la pyramide des âges vellit, ce qui nous prédit, un monde, où il y aura de plus en plus de personnes âgées, et donc, dependantes, avec son cortège, non seulement, d'Alzheimer, mais aussi, de troubles des sens, notamment de la vue et de l'audition, qui vont frapper, un pourcentage tres important, de la population vieillissante.....
Alors, quoi ?
On va continuer à nous faire chier, encore combien de temps, à tenter de nous faire croire, que de veiller sur son prochain, quelquesoit son âge, sa condition, ou son statut social, d'en prendre soin, dis je, ça ne serait pas effectivement, UN TRAVAIL..... Combien de temps, serons nous encore dirigés, par des obscurantistes , et des aveugles, qui ne sont que des lâches ?
Voilà, moi, ce que je dénonce...
En attendant, la marginalité, dont je fais partie, je tiens à vous rassurer, je suis peut être d'une certaine façon, à cause de mes jambes, "un colosse aux pieds d'argile", mais mon cerveau, lui, est au top, et pour vous emmerder, j'ai pas fini de vous emmerder.
https://www.facebook.com/amnestyBE/videos/10159632044210433/
Benoit Hamon retisse les liens avec le parti socialiste.
Le 20/06/2018
Evidemment, y'en a deja qui gueulent comme des putois.....
Il a raison, y'a un moment, où il faut se montrer conciliant, et faire passer l’intérêt de tous, avant son propre ego.
Je recommande d’aller écouter, ce que dit F Hollande, d'une part, en mettant de côté ses sentiments, mais se focaliser vraiment, sur ce qu'il dit, mais aussi, Olivier Faure, pour les mêmes raisons, c'est de politique, dont il faut se soucier, et des idées, et pas autre chose, si possible.... Si l'on doit accorder une importance démentielle, à l'ego de chacun, qui attend, une reconnaissance, alors, moi, politiquement, je me sentirai où, et qu'est ce que je dirai ? Hein ? FRANCHEMENT ?
Et ça ne m'empêche pas de persister à ramener ma fraise, pour autant, parce que ce sont mes idées, et mes convictions, qui me semv blent, être la priorité, avant tout. Politiquement, j'entends.
16h, "ça rue dans les brancards", côté génération S, alors, voici ma participation.
Bon, vous savez quoi , Vous le fatiguez avec vos étiquettes à la con, là... il est assez grand, pour sa voir, comment, il envisage son avenir politique, et quelle est sa place, au sein du mouvement générationS, non ?
Moi, vos étiquettes, je m'en tape, je m'occupe des idées, et des bonnes volontés, mais surtout, je n'oblige personne à me suivre, MOI, et pas d'avantage, Benoit Hamon, ou qui que ce soit d'autre, soit dit en passant.
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=190353405136522&set=p.190353405136522&type=3&theater&ifg=1
HCR, Haut Commissariat aux Réfugiés, et "Hardis ils Câlinent les Réfugiés".
Le 19/06/2018
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Berlin et Paris se mettent d'accord pour un "budget commun" de la zone euro
Le 19/06/2018
"Berlin et Paris sont d'accord sur le projet d'un "budget commun" pour la zone euro. L'annonce a été faite par Angela Merkel, lors d'une conférence de presse commune avec Emmanuel Macron, mardi 19 juin. Cette idée était à l'origine défendue par le président français. Mais la chancelière allemande restait jusqu'ici plutôt frileuse.
"Nous rentrons aujourd'hui dans une deuxième étape de la vie de notre monnaie unique, s'est félicité le chef de l'Etat français, depuis Meseberg (près de Berlin) où se tenait un conseil ministériel franco-allemand. Nous avons décidé d'avancer pour ouvrir une nouvelle page."
Il s'agira d'un vrai budget avec des recettes et des dépenses annuelles, une exécution des dépenses par la commission européenne. Ce n'est pas l'addition de 19 budgets de la zone euro.(Emmanuel Macron, lors d'une conférence de presse).
Ce budget pourrait être mis en place en 2021, à condition que le projet soit aussi approuvé par les dix-sept autres pays de la zone euro. Il servira à accompagner les pays lorsqu'ils font face à des difficultés. Il permettra également de "répondre au défi qui est le nôtre, les divergences entre nos économies".
Bon, mi, je trouve que c'est une excllente idée, l'objectif, si c'est possible, pourrait être, de redonner, son sens humaniste, à l'Europe, qui a si durement été négligé, depuis sa création même, au bénéfice des seuls critères économique, ce qui a toujours, et plus que jamais maintenant, hérissé, les plus convaincus des euro convaincus, dont je fais partie.
Il reste encore beaucoup de détails à régler, à commencer par le montant de ce budget commun. "La pire manière de le présenter serait d'avoir ficelé tous les détails aujourd'hui entre nous", s'est défendu Emmanuel Macron. "Les réponses détaillées, lorsqu'elles ne sont faites qu'à deux alors qu'elles concernent 19 pays, peuvent être contre-productives." Bref, "il reste beaucoup de travail, d'ajustements techniques", mais "on ne peut pas les résoudre s'il n'y a pas d'accord politique."
Non, c'est vrai, je comprends bien, mais il existe certaines constantes, qui peuvent devenir la base, de vrais consensus, qu'aucun pays, ne saurait percevoir, comme pouvant porter atteinte, à leurs principes, ou si vous préférez, qui ne sauraient être perçus, comme pouvant poser problème.
Je cite, en exemple, une europe des solidarités, vis à vis des violences faites aux femmes, qui permettrait de créer une confédération des états européens, qui tendrait à harmoniser les politiques pour y faire face. On pourrait imaginer, aussi, une plus grande permeabilité des états, les uns par rapport aux autres, pour s'inspirer, et pourquoi pas, financer, des structures d'accueil, pour les personnes vulnérables, et qui, trop souvent, se retrouvent à croupir en HP, sur le long terme, parce qu'il n'existe aucu endroit autre qu'associatif, pour les recueillir.
Je ne prétend pas, que ces marginaux, doivent être pris en charge à 100% par ce budget, ce sont aux pays eux même, de l'assumer, mais j'estime, que de réfléchir à une meilleure harmonisation, sur le sujet, et qu'un certains pourcentage de ce budget, pourrait y être consacré.
Le souci, aujourd'hui, reside, dans le fait, de se demander, si les autres pays suivront, ce que je trouve être une question pertinante...
Mais quel pays européen, peut pretendre, que quand sur son sol, un mari, qui ta basse sa femme, et qu'elle ne sait où aller, ça sot bien de ne rien faire ? ... je veux dire, quel pays, peut ne pas être POUR une telle idée ?
On peut aussi multiplier, cette idée, à toute idée à connotation humaniste, en pensant, ntamment, au developpement ERASMUS, qui est une formidable ecole de la vie...
On peut penser, aussi, à subventionner, par ce fond, une meilleure permeabilité, du tissus associatif, sur la lutte contre la pornographie, la pédophilie, le viol.... Enfin, tout ce que la finance, reprouve, excepté, quand ils peuvent s'en saisir à des fins promotionnel, par le biais des fondations, bien sûr,, tout ce qui qu'ils panquent, dans le placard, parce qu'il faut être courageux, c'est à ce fond, d'y veiller.
En cours de rédaction.
Quand le populisme italien, montre son vrai visage.
Le 19/06/2018
Comment ça, « son vrai visage » ? Sa base, c’est bien le racisme pur et dur, non ?
Oui, je fais les questions, et les réponses, ce qui est un peu facile, j’en conviens.. ; mais quand même….
Les roms ont leurs racines, aussi en Europe, et depuis des siècles et des siècles.
Est-ce qu’il va falloir envisager, désormais, de proposer aux italiens, qui ont émigré depuis toujours, vers les autres pays d’Europe, et bien au-delà, partout, dans le monde, pour lui coller le nez, dans son caca à celui là, ou pas ?
Parce que revendiquer, de s’appuyer sur un racisme pur et dur, dans le but de bouter tout ce qui ne serait pas « italien de souche », alors, qu’à la base, pour certains italiens, il ne s’agissait que d’exclure, les migrants issus, de l’Afrique, et du moyen orient…
Oui, je sais, ce que vous vous dites, que je suis bien malhabile, voir, un peu suspecte, en observant les racisme, selon des règles, de poids et mesures, dont j’aurai moi-même établi les lois….
Mais que croyez vous donc, enfin, qui se passe, dans l’esprit de ceux, qui soutiennent cet homme, qui fait son marché dans le même caniveau que marine le pen ?
Quand on commence à discriminer, les individus, on commence par une seule catégorie, puis petit à petit, on en intègre de nouvelles, selon les critères que mussolini lui même n’aurait certainement pas renié, j’en ai l’intime conviction.
Mais attention, ce que beaucoup pensent, et ne disent pas, concerne le rapprochement, qu’ils font, avec certaines familles, qui ont l’habitude, en Italie, comme ailleurs, d’aller mendier, voir pire dans les autres pays d’Europe.
A pris aussi, nous avons le problème…
Mais c’est un peu facile de stigmatiser une communauté, ou une etnie, au seul prétexte que certaines failles d’entre eux, sont peu recommandables, et qu’il faille y veiller.
Pour information, espérer obtenir une telle collaboration, entre chaque pays, et la Roumanie, ou d’autres pays de l’Est d’où sont les roms, il importe d’avoir pour cela, une coopération policière la plus efficace possible, pour que ça se fasse il faut avoir des ambition européennes, qui soient à la hauteur, et ça n’est pas une supputation, ou un fantasme, mas simplement, une absolue nécessité.
L'expérience peut-elle être trompeuse ?
Le 19/06/2018
Bon je dois dire que n’ayant plus eu accès à internet, quelques instant, et souhaitant bosser su ce sujet, qui m’inspirait, je ne trouvais plus l’intitulé exact, alors, j’aurai formulé de la façon suivante, qui aurait été alors :
« L’expérience est elle nécessairement gage de crédibilité », ce qui est sensiblement différent.
Pour le sujet véritable….
Poser cette question induit l’idée selon laquelle l’expérience, serait liée à la notion de vérité.
L’expérience en elle-même, mérite qu’on s’y attarde, parce que je soupçonne que beaucoup n’y voient pas nécessairement, le même intérêt, et éclaire cette notion du projecteur qui l’inspire, ou l’arrange.
Ainsi, sans le nommer, je commentais, un jour le travail d’un coach, enfin, de quelqu’un, qui se prétend comme tel, et je lisais sous les commentaires, ceux de certains de ses adeptes vantant ses mérites, comme donnant de bons conseils, pour des placements d’argent.
Je demeurais songeuse, parce qu’en temps que prétendu coach, je trouvais cet argument, sensé assoir sa crédibilité aussi stupide qu’i cohérente….
Il avait une forme d’expérience en effet, mais le fait, qu’il en ait eu une, selon son parcours, en rien ne faisait de lui, quelqu’un de crédible, en temps que coach, ce que d’autre part, pas mal de psys, me confirmaient.
La bonne question, serait donc, en premier lieu d’interroger, la notion même d’expérience, parce que justement, on observe, qu’elle revêt des formes, selon ce qui nous arrange, fortement disparate.
La seule constante qui existe, et qui soit commune cette notion d’expérience, serait la notion de cheminement….
Et encore.
On pourrait tout aussi bien considérer que cette notion d’expérience, soit aussi d soudaine, qu’imposée, par une notion de temps, fortement limitée, où seul l’instinct, ou le reflexe, seraient entrés e ligne de compte, et observer cela, comme une forme d’expérience, parfaitement recevable, il me semble.
Au sein de ces « expériences », on peut effectivement, y observer, des postures, des valeurs, des phases de réflexion, de cogitation, même, qui ont mené à certaines stratégies.
C’est là, alors, que les différentes nuances d’expériences apparaissent.
Il est bon d’observer qu’aux yeux de certains, ce qu’ils nomment expérience, avec donc, l’auréole, pour ceux, qui n’auraient pas saisi, est souvent synonyme de réussite, réussite sociale, et financière, le plus souvent.
Pour d’autres, dont je fais partie, la notion d’expérience, n’est relative, qu’à la notion de progression « non quantifiable », d’observations, de notes, de réflexion, de découvertes, de surprises, de rencontres, de stratagème aussi, quelquefois, par nécessité, pour se sortir d’un mauvais pas, ou d’une situation subie, et quelquefois d’une extrême gravité, où la singularité de l’être humain, dans ce qu’il de plus intime, et de plus créatif, va faire naitre, une inventivité que l’on aurait absolument pas soupçonné, quelquefois.
Voilà, ce que moi, je nomme, la véritable expérience, celle, qui aide les autres, parce qu’elle a déjà servi à soi même.
Maintenant, pour déterminer, si ces formes d’expériences, peuvent être trompeuses, c’est la notion de verité, qu’elle interroge.
Et la verité, quelquefois, elle aussi, est assez singulière, puisqu’on la pose, un peu comme ça nous arrange.
En dehors d’une vérité physiquement observable…
Si vous posez, un verre sur une table, il est difficile de nier, que le verre soit posé sur la table…
Si un homme aime une femme, qu’elle le sait, qu’elle en est absolument convaincue, et qu’objectivement, l’un et l’autre, en sont intimement convaincus, cette verité, non palpable, et physiquement non vérifiable, n’en demeure pas moins une verité, indubitable, pour l’un et l’autre, et un observateur, extérieur, lui, est parfaitement susceptible d’affirmer, que cet amour, n’est que pure fiction, parce qu’il le fait douter de ces propres certitudes, sur ce sujet, et qu’il ne le supporte pas….
Ainsi, chacun repart avec ces certitudes…..Il n’aura d’autre part, aucun complexe, à affirmer, droit dans les yeux, qu’il respecte la certitude de l’amoureux, mas que lui, persiste à préserver la sienne, qui réside dans le fait, que cet amour n’existe pas….
Ainsi, dans ce fait, chacun vit « son expérience », l’observateur, qui tient mordicus à sa verité, celle qui est le fruit de son expérience, omettant simplement, qu’elle ne doit jamais se départir de l’absolue nécessité du doute, qui dot l’accompagner, et l’amoureux, qui vit avec sa propre certitude, celle, qui le lui apporte l’expérience.
Maintenant, on va répondre enfin, « je vais répondre », à la suite, qui consiste à se demander, si l’expérience, induit nécessairement, une forme de crédibilité.
Pour dire de façon un peu plus directe, certains diront, « ça ne peut que tenir la route, puisqu’elle prétend celà, ou en tire telle posture, que parce qu’elle l’a vécu, ou observé ».
Le problème réside dans le fait, que d’avoir tiré certaines leçons de traumatismes qu’on ait subis, ou qu’on ait réceptionné certaines expériences, vécues par d’autres, ne rend pas nécessairement légitime….
J’en tiens pour preuve qu’à traumatisme égal, par exemple, ce dernier aura des conséquences toxiques, sur le devenir de la personne, d’autant plus grve que la victime est jeune, ça, c’est une constante admise ar tous, et en premier lieu, par les professionnels, qui travaillent sur le sujet, mais selon le contexte, selon l’âge, selon la culture, dans laquelle baigne, la victime, au moment des faits, selon le fait, que sa famille, en ait été informée, ou pas, qu’elle ait bien réagi, ou pas, selon d le degré d’émotivité, plus ou moins élevé, la verité réside, dan le fait, qu’il existe autant de cheminements, qui ont des points communs, ce qui est une verité, mas qui n’en demeurent pas moins, singuliers, cependant.
Si j’observe rétrospectivement, l’ensemble du travail, que j’ai pu abattre depuis plus de dix ans, maintenant, sur l’ensemble des sujets que j’ai pu traiter, j’ai, des le départ, posé ce postulat, que si mon expérience, pouvait effectivement, présenter un intérêt, il n’en restait pas moins, qu’elle devait être observée, avec discernement, précisément, à cause de cela.
Je suis autodidacte, il ne faut jamais l’oublier, et précisément, pour cette raison, je n’ai pas la prétentions, de livrer des formules universelles, quelque soit le sujet.
Mais il est vrai, qu’assez vite, il y a bien longtemps, beaucoup de monde, parmi des personnes les plus reconnues, tous secteurs confondus, m’ont fait sa voir, qu’au-delà, de mon expérience, justement, j’étais en droit, de considérer ma parole, comme parfaitement crédible…
C’est en ce sens, précisément, que je suis mieux placée que quiconque, pour poser d’emblée le postulat, selon lequel être un homme ou une femme d’expérience, ne garantit jamais, de façon totale et absolue, d’être dans la vérité, et donc, encore moins, d’être suivi(e), les yeux fermés.
Le doute et le syndrome « vieux con », ou « vielle conne », comme radeaux rigoureusement insubmersibles.
Ou comme bouée de sauvetage, si vous préférez.
Il y a fort longtemps que j’ai observé cela, chez mes congénères, et sur moi-même.
Je pense que l’un des meilleurs vaccins, non pas contre la connerie, mais contre les certitudes trop profondément ancrées, réside dans le fait, d’une part, de partager ses pensées sur le sujet, et d’en tenir compte, au minimum, mais aussi, de reconnaitre que la notion de doute, soit ce rempart bienveillant, qui garantit, notamment, le fait de s’obliger à être perméable aux idées des autres, et à leurs jugements.
Cette idée est plus vérifiable encore, en ce qui concerne la politique.
Quand au syndrome du vieux con, ou de la vielle conne, ça m’arrive assez souvent, Et je dois a vouer, que ça n’est jamais bon signe.
Mais en vérité, je réalise, avec l’habitude, que ça a du bon, parce que d’en arriver à se le demander, et surtout, à le dire, et le formuler, en soi, démontre la distance que l’on prend vis-à-vis de soi même, et donc, permet d’en rire.
Et s’il est un bien précieux, pour tout à chacun, c’est bien d’être capable d’autodérision.
Christiane Taubira, OEPC, 9 Juin 2018, "baroque sarabande".
Le 18/06/2018
La dernière fois que j'ai vu Christian Taubira, c'était pour un meeting qu'elle faisait, en banlieue parisienne, pour soutenir Benoit Hamon, avant le premier tour des présidentielles.
Peu de gens le savent, mais cette femme incroyable, fait l'admiration d'un pourcentage très important des français, parce que son courage, et sa hargne, à défendre ses idées, combinés à une incroyable culture, fait l'admiration du plus grand nombre, et notament, chez les femmes moi comprise, pour qui elle est un veritable exemple.
Bien sûr, elle a ses détracteurs, qu'il s'agisse de John Deere, ou d'un Soméca, bien sûr, c'est une chose indégnable...
Excusez moi, cette blague d'un genre douteux, est susceptible de n'être comprise, que des jardiniers, et adeptent à la fois de la motoculture de plaisance, que des afficonados de la traction agricole....
Merde, alors... Voilà comment on sème son auditoire....
Ce jour là, donc, j'allais l'écouter, j'avais besoin de me rassurer, pour tout dire, compte tenu de la position, qui était la mienne, face à ma curatelle, à l'époque, ou tutelle, je ne sais plus, sans vraiment le réaliser, j'avais besoin de croiser son regard, juste elle et moi...
Il n'y a rien de plus parlant, qu'un regard franc, n'est ce pas ? Aussi n'avais je pas vraiment conscience, que c'était bien ça, que je venais chercher.
Ce sentiment, de me faire broyer par une Justice, que j'avais depuis le début du mandat de François Hollande, me posait véritablement conscience, et la lettre que m'avait envoyée son secrétariat, il y a quelques années, au sujet de la situation personnelle, me semblait bien mince, pour vraiment observer, en toute objectivité, si elle et moi, étions bien sur la même longueur d'ondes.
Littéralement submergée, telle une groupie, par ses fans après son discours, mes chances étaient bien maigres de pouvoir la rencontrer, et comme je ne suis pas du genre à faire la courses aux selfies, je m'apprêtais à partir, pour rejoindre la gare st Lazare, et retrouver ma Normandie...
Puis elle apparût, soudain physiquement plus disponible, alors, je tentais ma chance... J'ai pu lui serrer la main, et ne la lâcherai, qu'une fois croisé son regard....
Je n'avais rien calculé, vraiment, je ne faisais que suivre mon instinct, comme je l'ai toujours fait, et comme je le fais toujours... Au bout de quelques instants, voyant que non seulement, je ne lâchais pas ses doigts, mais qu'au contraire, je les pressais, elle me regardât, puis un sourire franc et ému me parvint, pour satisfaire mon manque, de ce que j'étais venue chercher, sans même en avoir eu véritablement conscience....
Je repartais ravie d'avoir reçu ce cadeau, en en comprenant soudainement la valeur, en revenant vers ma Normandie natale.
Pour ce qui est de sa prestation, et de ce livre, qui vient de sortir.
J'ai le sentiment que d'avoir choisi délibèrément de parler d'auteurs, et d'en faire la critique, est un objectif, et un angle, qui, je crois, devrait être plus répandu...
Non, mieux que celà, toutes formes artitiques confondues, serait mieux encore....
Suis je moi, un ecrivain ?
Je ris, rien qu'en redigeant cette question... Parce que je sais qu'on souhaite, que je me considère comme telle....
Je suis dylexique, ce qui complique singulièrement, mon rapport à la lecture.
Ecrivant d'autre pat, deux heures par jour, en moyenne, des articles, ou bossant en interne, sur des livres à paraitre, d'autre part, je ne peux pas être au grenier et au sous sol en même temps.
J'ai entendu dernièrement, que sur le plan cérébral, cette posture était parfaitement cohérente, ce que je crois.
Il est en effet assez difficile, d'être parallèlement, sur le plan cérébral, en même temps, dans une posture de perception, et dans une posture de création, simultanément.
Ca ne veut pas dire que ce soit impossible, mais juste que ça n'est pas très facile, un peu comme si on devait, faire fonctionner intellectuellement, deux machines internes, différentes, l'une de l'autre, alors, que précisément, elles sont complèmentaires, l'une nourrissant l'autre...
C'est bon, là, j'en lâché combien en route ?
Bon, la bonne nouvelle réside dans le fait que ne déployant pas encore grand énergie pour trouver un éditeur, je dois le reconnaitre, j'en ai un, qui m'a renvoyé un courrier, pour me dire, qu'il est interressé....
Dans le but de mettre toutes les chances de mon côté, pour prendre mes distances avec les plus hautes instances philosophiques, qui gravitent autoir de la sphère agricole, avicole, aupres des quelles, le Goncourt, les Prix Nobeaux, pluriels des prix Nobels , et les lègion d'honneurs, semblent faire grise mine, j'ai décidé d'appeler, mon livre comme suit.
"Des cocottes et puis des coin coin, mais surtout des cocottes"....
On m'avas expliqué, il y a quelques temq ps, que pour donner plus de chances à un livre, il etait souhaitable de trouver un titre court, et accrocheur, alors, je me suis dit que d'en prendre le contrepied, tenait tout aussi bien la route.
Comme chacun sait, j'ai travaillé sur certains sujets infiniment plus profonds et plus importants, ou en tout cas, utiles, je l'espère, à de potentiels lecteurs.
Mais si j'aimerai que ce soit ce livre, qui soit édité en premier, c'est que ce dernier est exempt de la moindre souffrance relative à mon parcours personnel, ce qui n'est hélas pas toujours le cas, des ouvrages à paraitre, sur d'autres sujets....
En somme, c'est un peu comme si j'arrivais en littérature, par la petite porte, armée de mon nez de clown, pour commencer par la récréation ou l'école buisonnière, voilà quelle est mon ambition, dans cette démarche.....
Pour en revenir à ce que dit Christiane Taubira, pendant cette émission, plusieurs points ont attiré mon attention.
Oui, le fait, de faire une pareille démonstration, aussi altruite que cultivée sur le plan littéraire, pose le problème de refiler des complexes à bon nombre de lecteurs, qui pourtant, sont aguerris et lisent beaucoup.
C'est un problème effectivement.
Mais les propos qu'elle tient sur la littérature en général, et notamment sur le fait que certains auteurs, puissent être dépourvus, des valeurs altruites, qu'on serait sensés attendre, quand on ouvre un livre, sont si justes, et intellectuellement si bien observées, qu'on ne peut que se ranger à son jugement, fort subtile.
Car enfin, pourquoi, lit on un livre ?
Est ce pour jouir d'un sentiment de deja vu, qui nous renverra une image sage, de n'avoir surtout pas couru le risque d'être dérangé dans ses certitudes ?
Est ce au contraire, pour augmenter les chances, au contraire, de l'être ?
Est ce dans l'espoir d'un simple depaysement poétique ?
Est ce pour jouir d'une aussi belle langue, qu'est la nôtre, la langue française, et uniquement celà ?
De se voir révélé, qu'un être humain, puisse être une vermine, par certains ouvrages, dont il est l'auteur, ou en temps qu'être humain, et parallèlement à celà, par d'autres ouvrages, proposer des lives absolument merveilleux, ou interpellant, est une chose qui devait être dite, et expliquée, et il semble bien que ça ait été son ambition.
En somme, il en serait tout autant des écrivains, comme de n'importe quels autres artistes, toutes disciplines confondues, on peut donc avoir la cerititude, qu'on puisse être un génie, dans sa spécialité, et un être peu recommandable, en temps qu'homme, ou par une partie de son oeuvre...
Je savais deja celà, mais de se le voir confirmé, dans le domaine de la littérature, ne me semble pas inutile.
J'ai notamment beaucoup ri des joutes verbales, entre Yann Moix, planqué derrière son admiration "sans bornes", et qui malgré tout se donne un mal de chien, pour l'astiquoter, du mieux qu'il le peut, et je n'ai pas boudé mon plaisir.
J'ai trouvé passionnant, d'autre part, les propos qui sont tenus, qui observent la relation, entre la littérature, et le politique.
Je soupçonne que certains d'entre eux se mettent à écrire, plus pour compenser les frustrations, de ce qu'ils n'auront pas réussi à faire passer, enfin, pour peu qu'ils aient eu l'ambition de mettre en pratique, certaines idées neuves, ce qui reste à démontrer, autant que pour transformer les souffrances que ça ait généré, que pour assouvir une passion véritable, pour la démarche d'écrire....
Est ce repréhensible pour autant ?
Dès l'instant que quelqu'un est célèbre, il se trouve toujours un éditeur, pour lui demandenr d'écrire un livre, alors que pendant ce temps, tant de talents potentiels, attendent alors, que leur soif, de reconnaissance, en temps qu'auteurs véritables, n'attendent que d'être reconnus, alors, que ceux qui sont sollicités, n'observent cette démarche, le plus souvent, que comme accessoire.
Et encore, je n'ai pas abordé le problème des "co auteurs", non signalés officiellement, par l'édition.
Reste le souci d'une part, des correcteurs, qui n'existent quasiment plus, et le problème est abordé, mais aussi celui des traducteurs, qui forment à eux seuls, parait il, une forme nouvelle d'esclavage moderne...
Quoi qu'il en soit, et même si effectivement, la forme d'altruisme littéraire que Christiane Taubira nous montre là, peut sembler inaccessible, son enthousiasme, et sa joie, face au verbe, est d'une telle amplitude, et d'un tel partage, qu'elle nous embarque tous, et temps pis, si c'est pour des livres plus modestes, et plus faciles d'acces, pourvu que ce soit, "des fenêtres ouvertes, par lesquells les idées circulent".
Et pour moi, ça, c'est juste fondamental, toutes catégories littéraires confondues.
J'ai beaucoup apprecié, aussi, ce qu'elle prétend, au sujet des politiques, en ce qui concerne leur méfiance, vis à vis de la philosophie, et sur ce point, je rejoins entièrement son extrême inquietude.
J'ai le sentiment, (je n'avais pas ce sentiment, sous le mandat de François Hollande), que l'acces à la culture, au sens extrêmement large, et quelque soit l'âge, soit une fait, naturel, et perçu, comme aussi essentiel, et pour tout dire, à mes yeux, absolument vital, qu'il devrait l'être...
La méfiance, à peine dissimulée, au moins autant que sous le mandat de Sarkozy, m'apparait comme absolument toxique, comme si l'on craignant, que dès son jeune âge, un enfant, puisse trouver ombrage à se voir signifier, qu'il lui soit progfitable, de reflechir, à des problèmes existentiels, comme la mort, ou n'importe quel autre sujet philosophique, alors, que ça serait au contraire, j'en ai la certitude, le meilleurs moyens, de fabriquer des citoyens responsables.
Je signale qu'à ce sujet, un collctif de profs de philo, a rédigé un manifeste sur ce point, comme quoi, nous ne sommes pas les seuls à relever ce problème.