"Comment sortir de la croissance".
Européennes: Hamon propose à la gauche de se rassembler derrière Varoufakis.
Le 23/01/2019
https://www.facebook.com/francoise.nielaubin.921/videos/253689852196596/
Moi, je suis d'accord, avec Benoit Hamon, c'est en effet, une bonne stratégie.
il faut préciser, que cette idée n'est pas ressente, et a dû, je suppose, faire son chemin.
Ca n'est pas la première fois, que Benoit Hamon, pointe du doigt, cette similitude d'idées, aussi, au cirque d'hiver, où j'étais présente, il avait fait un discours, tout à fait interpellant, et je dirai, "porteur", et stimulant, et bref, enthousiaste...
24 janvier 2019.
https://www.facebook.com/francoise.nielaubin.921/videos/254504458781802/
Européennes : les communistes font du pied à Hamon, Glucksmann se voit bien fédérer la gauche.
fbclid=IwAR0Jb4zdNqY7mvNBnSd7Y4LkI4VigxKcxgaWv0s9Jsf8I2C-y3kTVogBhNE
@Francoise Niel Aubin, je reste neutre, sur ce point, pour l'instant, c'est à Benoît Hamon, de donner son ressenti, je trouve, non ?
Je suis allée lire les commentaires, sous l'article, et un sujet y est abordé, au sujet du temps de parole, accordé à Macron, au sujet de ses consultations en région, devant les Assemblées de maires, et qui s'apparente effectivement, à une campagne déguisée, "europeano macronnienne", ce qui n'est pas tolérable.
Pour ce qui est d'attaquer, le PC aujourd'hui, et de railler, sa légitimité, chacun sait à quel point, la distance à été posée, vis à vis de l’idéologie première. Et s'il m'est deja arrivé d'en sourire, sur ce point, je pensais que c'était une chose acquise, mais il semble bien que ça ne soit pas le cas, pour tout le monde. NAVRANT, d'observer, que par ces temps de doute, certains qui n'ont probablement que ça à foutre sur les réseaux sociaux, ne sachent que déconstruire, la moindre idéologie politique, si critiquable soit elle.
Marlène Chiappa, chez Hanouna.
Le 23/01/2019
Elle prétend que procédant ainsi, elle va pouvoir faire dans l'efficace, avec ceux qui sont réfractaires au grand débat....
Apres tout, elle est ministre, elle fait ce qu'elle veut, non ?
Elle refuse de recevoir les associations de féministes, mais trouve cohérent, d'aller dérouler le tapis rouge, à Hanouna, pour lui donner une caution politique, et morale...
Je ne pense pas que je regarderai, et je recommande à chacun et chacune d'en faire autant.
Je ne pense pas, que ce soit avec ce type de stratégie, que d'une part, elle va convaincre, mai aussi, que l'émission sera hissée vers le haut.
En attendant, la chaîne, elle, rigole bien, parce qu'elle n'a rien à perdre, bien au contraire, c'est descendre bien bas, le débat politique.
Hauts-de-Seine : la procureur de Nanterre réclame des recrutements.
Le 22/01/2019
Je note, dans le bas de l'article, la chose suivante:
Rendez-vous judiciaire imposé, la rentrée solennelle fixe aussi le cap de l’année à venir. Pour ce qui est de la politique pénale, pas de surprise : trafics de stupéfiants et violences urbaines demeurent « des problématiques essentielles », souligne Catherine Denis.
De même que la délinquance économique et financière. En 2018, le parquet a ouvert 85 informations judiciaires dans ce type d’affaires, soit 81 % de plus que l’an passé. Et « resserre les liens avec l’administration fiscale » pour s’attaquer plus encore à la fraude.
Intrpellant, non ? Quand on voit que certains, "par pudeur", je suppose, oublient bêtement, d'en parler, au sujet du fait que ces problèmes, sont diectement liés, aux GAFA et à l'évasion fiscale et donc, ne peuvent être dissociés, de l'Europe.
Macron devant les maires de France ?
Le 22/01/2019
Je ne suis guère étonnée de leur ressenti.
Macron est un gran orateur, ça ne fait aucun doute, mais un grand orateur, ne suffit pas à faire un bon président.
Et s'il est au top, pour la ligue d'impro, sur le plan politique, ça ne fait pas de lui, un homme necessairement honnête, dans ce qui est sa démarche, sur le plan politique...Je trouve ça triste, pour tout dire, parce que le sentiment de malaise généralisé, qui a été resenti et décrit dans cet article, ne résoud rien...
Certes, sur des zones rurales, où la densité de population, est suffisamment satisfisante, les maires sont en droit de renvendiquer certaines attention, relativement aux services publics, par exemple.
Mais si la densité de population n'y est pas, c'est plutôt le non dit, qui équivaut à une verson, "dégagez, y'a rien à voir". Enfin, moi, c'est mon sentiment.
Je suis d'autre part, assez étonnée que les préoccupations des gilets jaunes, aient visiblement si peu été évoquées selon cet article.
23 janvier 2019.
https://www.facebook.com/francoise.nielaubin.921/videos/253658158866432/
Le 22/01/2019
Je pose le lien, pour avoir les commentaires.
Pour celles et ceux qui n'ont pas FB, je copie colle le texte. Merci, à Cindy.
[Vous avez dit violence?]
Un copié collé de "Cindy". Fiction ou réalité? Peu importe. Le récit a du sens.
"C’était il y a deux ans.
Je vais manger chez des copains, médecins dans un hôpital ardéchois.
Une soirée sympa : on mange, on picole, les gamins jouent dans un coin, finissent par sauter sur la table… On les couche, enfin tranquilles ! Mickael, notre pote, s’assombrit.
« Ça va ?, je m’inquiète.
- Ben pas trop… Il m’est arrivé un sale truc à l’hôpital. »
Il a mis un moment, Mickael, à raconter.
Il a repris deux fois de la tarte, fait un café…
« Il y a un mois, j’étais de garde pendant la nuit. Un patient arrive en urgence vitale, un problème cardiaque. On n’avait pas le matériel pour le soigner sur place, donc j’appelle tout de suite le CHU de Lyon pour le transférer. ‘Pas de problème, on l’attend’, ils me répondent. En attendant l’hélico, je lui prodigue les premiers soins… Et là, arrive un second patient en urgence vitale. Problème cardiaque aussi, sauvable aussi, avec un transfert immédiat à Lyon… Je rappelle le CHU.
‘Désolé, il n’y a qu’un seul hélico affecté pour l’Ardèche.
- Quoi ? Vous rigolez ? On en avait plusieurs, avant…
- Oui, mais avec la dernière réforme, il n’y en a plus qu’un.
- Mais je fais quoi, moi ? J’ai deux patients sur les bras…’
Il y a eu un long silence, et le mec m’a dit :
‘Ben vous choisissez, les gars.’ »
On ne disait plus rien, autour de la table. Et Mickael regardait ailleurs. Puis il a repris :
« Donc j’ai choisi. J’ai évalué la morbidité des deux, et j’ai sauvé le plus jeune, un quinquagénaire. L’autre est mort, il avait 63 ans. Il était parfaitement viable. Donc j’ai dû mentir à sa famille, en disant qu’on n’avait rien pu faire. Et ils m’ont cru. »
Léa, sa femme, a ajouté :
« Ça fait un mois qu’il dort plus, avec cette histoire.
- Ben ouais… J’ai pété les plombs. J’ai fait un courrier furax à l’Agence régionale de santé. Tu sais ce qu’ils m’ont répondu ? Qu’ils en prenaient bonne note… »
On a bu un sacré digestif, ce soir-là.
Deux ans plus tard, Mickael et Léa soutiennent les gilets jaunes.
Ils sont toubibs, ils ont une baraque incroyable, des salaires de cinglé – et ils sont souvent sur les ronds-points. Parce qu’à l’hosto, parce que tous les jours, ils sont confrontés à la violence de Macron, à l’ultra-violence de ses copains.
A leur violence qui tue.
A leur politique qui tue.
Au sens propre.
Le lendemain de notre conversation, Mickael m’avait envoyé un article du Nouvel Observateur (2 mars 2015). Son titre : « 22 000 postes supprimés dans les hôpitaux d’ici fin 2017. » Le journal précisait : « Le plan d'économies pour les hôpitaux est de 3 milliards d'euros sur trois ans. »
Ça n’a pas l’air violent, un article de journal.
Ni une annonce du gouvernement. De simples chiffres, des plans d’économies, des ministres en cravate qui les présentent à la télé à des journalistes en cravate.
Derrière, il y a des meurtres.
Ils les préméditent.
Le pire ?
Le pire, c’est qu’ils le savent.
Et qu’ils ne veulent pas que ça se voie. Ça ferait tache, sur la photo de famille. Il faut que cet assassinat silencieux, massif, caché derrière des statistiques, des données chiffrées et des tableaux, continue à être occulté.
Depuis deux mois, l’invisible est jaune. Tout jaune, partout, couleur soleil, on ne peut pas le manquer il hurle : « Nous voulons vivre ! » Et il se voit. Un des premiers gilets jaunes traduit en correctionnelle pour avoir foncé, tête en avant, tête nue, à Paris, en mode rugby, sur un escadron de CRS, a dit à la présidente du tribunal en guise d’excuse : « Je voulais juste avoir une vie meilleure. »
Il a été condamné.
Pour violences sur agents dépositaires de l’autorité publique.
Car voici l’argument magnifique, colossal, imparable, qui tourne en boucle depuis deux mois, des télés aux journaux, en passant par les politiques et les sociologues : les gilets jaunes sont « violents », et on peut tout comprendre, tout entendre – sauf leur « violence », injustifiable. Qui occulte la violence des autorités, massive, mortelle, quotidienne.
L’ami Macron vient de faire une lettre aux Français.
Il reprend le refrain cent fois entendu : « Il y a une condition : n’accepter aucune forme de violence. Si tout le monde agresse tout le monde, la société se défait ! »
C’est vrai, Manu.
Tu nous agresses.
Hollande, dont tu étais le ministre, et Sarkozy avant lui, et tous les autres, nous agressaient aussi.
Et « la société s’est défaite », des hôpitaux ardéchois aux gares du Pas-de-Calais, des ouvriers licenciés aux chauffeurs ubérisés, des caristes d’Amazon aux caissières de supermarché.
Maintenant, sur les ronds-points, on refait la société. Et le monde. On panse les plaies.
Sans toi.
Car il y a trop longtemps que tu nous agresses.
La violence, c’est toi. Toujours, tout le temps, partout, dans les chairs de nos pères, dans les retraites de misère, dans les dos brisés de nos mères, dans les produits respirés, dans les 3x8 enchaînées, tous vos coups portés, tous vos poignards plantés.
Eh, Manu, tu sais quoi ?
Au Burkina Faso, il y a un an, tu as déclaré : « Je suis d’une génération dont un des plus beaux souvenirs politiques est la victoire de Nelson Mandela sur l’apartheid. C’est ça l’histoire de notre génération. »
Alors je vais te dire un dernier truc, un truc sur ton plus beau souvenir politique.
Mandela n’a pas combattu l’apartheid en faisant des bisous et des grands débats.
Il était le fondateur et le chef militaire de la branche armée de l’ANC.
C’est pour cette raison, et cette raison seulement, qu’il a passé 27 ans en prison.
Parce que lui et ses hommes organisaient des sabotages, des dynamitages, des déraillements, des explosions. Des attentats, aussi. Mandela et ses hommes plaçaient des bombes dans des cafés. Aux yeux du monde entier, c’était alors un « terroriste ».
Tout ça, on a préféré l’oublier, pour faire de Mandela un gentil grand-père réconciliateur.
Tu l’as oublié aussi.
Mais Mandela ne l’oubliait pas, lui, et quand on lui demandait s’il le regrettait, il répondait : « C’est toujours l’oppresseur, non l’opprimé, qui détermine la forme de la lutte. Si l’oppresseur utilise la violence, l’opprimé n’a pas d’autre choix que de répondre par la violence. »
Dans la France des gilets jaunes, Manu, tu vois qui est l’oppresseur ?
Ou tu veux un dessin ?
A samedi ! Cindy"
Le patois normand en danger, la Région Normandie décide de lancer un vaste plan de sauvegarde
Le 21/01/2019
La relation, qu'on entretient, avec son patois, est toujours delicate...Enfin, pour certains, pour moi pas vraiment, parce que j'ai toujours été consciente, de detenir en mon sein, et vue la taille ma poitrine, cette metaphore, est non negociable, cette matière culturelle aussi intimement liée à chacun de mes os, que la merde de mes souliers, qui ont si peu voyagé, marchant dans la cour aux cochons, un jour de pluie, en hiver...
On n'y peut rien, c'est comme ça, c'est en nous, et on rigole comme des couillons, entre nous, parce que ces mots, tout autant que l'accent, soit dit en passant, sortent de notre bouche, et trahit nos origines, aussi sûrement, que la rosée du matin sur un petale de rose qui vient d'éclore, au lever du jour.
Oui, vous avez bien vu, comme je négocie à merveille, les paradoxes n'est ce pas ?
Passer de la merde aux cochons, à la rosée sur un petale de rose, certains hésiteraient... Et bien moi....... Pas du tout.
Bon, maintenant, certains se demandent, si je le parle, la réponse est NON...
Mais mon langage fleuri, ce qui est la moindre des choses pour une jardinière, en est inprégné, probablement, sans que réellement, j'en sois consciente.
Ce qui est étrange, avec le patois, ou une langue régionale, c'est que c'est un outil de langage, comme le sont toutes les langues, mais qui ne peuvent en aucune façon, enfin, il me semble, s'apprendre...
Au mieux, peut on prétendre, je crois, parvenir à comprendre, celles et ceux qui le parlent.
Ce qui n'est deja pas si mal !
Je réalise, y songeant fortement, que la raison pour laquelle le patois, desormais, connait un regain d'interêt, n'est pas uniquement lié, et c'est heureux, à une identité, culturelle, contrairement, à ce que certains voudraient...
Désolée, les porte couilles, du rassemblement national, mais sur ce coup là, je vous coupe l'herbe sous le pied, comme on dt vulgairement, HAUT LA MAIN...
Non, la véritable raison qui justifie ce regain d'intérêt, reside dans sa proximité avec la notion d'authenticité, et donc, opposé au mensonge...
Pour cette raison, (désolée, pour les politiques, mais je n'ai pas le choix), si mentir, quelque soit la raison, n'est que rarement salutaire et productif, sur le long terme, ça ne peut l'être que moins, encore, si vous vous riquez sur la pente savonneuse, de vouloir paraitre, par le langage patois, quelque soit la région....
Ha, pour qu'on se paie votre tête, par contre, aucun souci, votre avenir est assuré, en temps que source d'inspiration !
En ce sens, ce regain d'intérêt, pour les langues régionales, ou les patois, sont parfaitement assimilables, au rire, ainsi qu'à la dérision.
ON NE TRICHE PAS !
8 sur 10.... que j'ai fait, au test.
si j'avais eu l'epreuve au Bac, nom de Dieu, peut être que je l'aurai eu, la vache !
Bon, j'ai eu10 sur 10 au test, c'était bien la pein de m'emerder avec le BAC !
Le label "Humanitude", pour les EHPAD.
Le 21/01/2019
Oui, j'avais vu ce reportage, et je trouve ça absolument excellent. Ca se rapproche aussi, du principe Montesori, qui peut aussi s'adapter aux maisons de retraite. Je remarque aussi, l'importance, du bénévolat, qui me semble aussi souhaitable, parce que ça permet une ouverture de l'etablissement, sur l'extérieur.
Marielle Franco, martyre du fachisme brésilien, par mafia interposée,
Le 21/01/2019
Tout est dit, je crois, non ?
Mais je ne suis pas etonnée.. Bolsonaro, "au minimum" complice, effectivement, parce qu'en matière de criminalité, comme en bien d'autres domaines,"qui ne dit mot, consent".
Le Bresil, helas, avec l'election de cet homme, commence une passe des plus difficile, où les valeurs les plus altruites, comme le soutien aux minaurités, quelque soient la nature de leurs maginalités, ethniques, sociales, ou familiales, migrantes, peut être, risquent d'être véritablement piétinées, et ça n'est certes pas, les evangelistes, complices de bolsonaro, qui risquent de hisser le pays vers le haut, desormais.
Pour tous les pauvres qui ont cru en les évangelistes, pour soutenir leurs souffrances, je suis bien triste, d'éclairer votre lanterne, sous cet angle...
Mais l'argent, que vous donne les evangelistes, pour faire face à la pauvreté, puisqu'ils sont complices avec boslsonaro, qui ne s'est fait baptiser, que pour avoir vos voix, cet argent, vous dis je, n'est rien de moins, que l'argent du diable en personne...
Pour ma part, je préfererai mourrir de faim ou demeurer dans la pauvreté, plutot que de devoir quelque choses, à ces gens là.
Un proverbe, dit, "quand on te donne quelque chose parce que tu es dans le besoin, regade bien, cette main, puis le bras, et à qui ce membre apartient, et réfléchis, si on est pas, par ce don, en train d' acheter quelquechose, ton âme, par exemple.
Visiblement, beaucoup de bresilien, se snt fait rouler, dans la farine.... Ca me rappelle autre chose, d'ailleurs.