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SECHERESSE.

https://www.francetvinfo.fr/meteo/secheresse/infographies-trente-et-un-jours-sans-pluie-visualisez-la-secheresse-de-cet-hiver-en-trois-graphiques_5671145.html#xtor=EPR-51-[infographies-trente-et-un-jours-sans-pluiedans-l-hexagone-visualisez-la-secheresse-inquietante-de-cet-hiver-en-trois-graphiques_5671145]-20230221-[bouton]

Sur le plan de l'agriculture.

Sécheresse estivale, « une bombe à retardement ».

  Chaque année, le phénomène se répète, certains départements, en février, sont déjà en alerte rouge, pour un degré de pluviométrie insuffisante, ce qui a pour conséquence, que les nappes phréatiques souterraines sont anormalement basses, ce qui induit alors, pour les étés qui suivent, une situation qui ne peut être que catastrophique.

 Les agriculteurs défilaient hier, pour prévenir de leurs difficultés à venir, dans le cas de restrictions d’eau, pour leurs cultures.

 Pour ce qui concerne le maraichage, je conviens que cette doléance est légitime, puisqu’il convient de raisonner sous l’angle locavore, pour limiter les transports, dans l’intérêt de tous….

 Pour ce qui concerne la culture du maïs, par contre, je ne suis pas d’accord.

 En effet, on sait que le maïs, est gourmand en eau….

  Cette culture, dans les zones les plus à risque, sur le plan de la sécheresse, peut parfaitement être remplacée, par les pois fourragers et autres légumineuses,   qui sont moins demandeuses en eau.

 Un dicton, dit qu'il ne faut jamais mettre tous ses oeufs dans le même pannier.

 Plus que jamais, cette maxime vaut aujourd'hui. Il est bon de constater, d'autre part, que philosophiquement, elle va parfaitement à l'encontre, de la politique productiviste, qui induit de pratiquer l'agriculture, comme on pratique, dans n'importe quelle autre industrie.

 L'AGRICULTURE NE  DOIT PAS ÊTRE UNE INDUSTRIE.

L'exigence d'adaptabilité qui  s'impose aujourd'hui, tant par le changement climatique, que par les risques liés aux problèmes de santé publique, relativement aux traitement chimiques, doit imperativement inciter les agriculteurs à diversifier le plus possible leurs productions, quelles que soient leur nature.

 Il n'y a pas plus sourd, que quelqu'un, qui ne veut pas entendre, et je comprends fort bien qu'on ait du mal, à accepter cette exigence d'adaptabilité.

 Si l'on observe le problème de l'eau, aujourd'hui, et bien au delà, de notre territoire tout autant, alors, qu'on observe à la surface, chaque été  une baisse des plus inquitantes de beaucoup de cours d'eau, certains agriculteurs persistent dans un deni, qui frise le ridicule.

 C'est ce qu'on cultive, qui doit s'adapter au climat,  et pas la politique qui doit obeir aux desideratas d'une agriculture intensive, qui induit que la denrée des plus chère, c'est à dire, L'EAU, soit ainsi accaparée par l'agriculture seule.

 J'entendais, hier,  un producteur de vollailles BIO, qui menaçait de stopper son activité, pour voir ses volailles BIO, rempalcées par des volailles importées, de je ne sais quel pays.

 Il oublie juste de préciser, que nous, ici, en France, sommes le premier exportateur de vollailles, non BIO, dans les pays arabes, par exemple.

 Alors, aujourd'hui, tout le monde s'écrase pour dénoncer cet etat de fait, mais on trouve légitime de jouer du violon, sur cette concurrence, quand elle nous dessert...

  Je veux dire, que l'aspect mondialisé de l'agriculture, est un probème en soi, il serait stupide de le nier, mais argmenter de la sorte, me semble malhonnête...

 A quoi rimerait, dites moi,  d'assouvir leur désir de "non adaptation", (désolée, si je frappe fort),  si en fin de compte, les zones d'activité, voient leurs habitants, fuir, parce qu'il n'y a plus d'eau nulle part, à l'usage des habitants...

 Oui, JE CARICATURE.... 

 Mon grand père maternel,  que je n'ai pas connu, helas, disait la chose suivante:

 "Pour mieux comprendre quelquechose, il faut le grossir". Et il avait raison, métaphoriquement, ça signifie, "il faut l'emplifier".

 Ainsi, aujourd'hui, courant apres le soleil et la canicule, (c'est tellement bon, d'aller se fabriquer, en payant tres cher, son futur cancer de la peau, suis je bête)chaque été beaucoup se ruent, dans le sud de la France,  creant, sur le plan logistique, une multitude de problemes en chaine, comme la pénurie de medecins, pour soigner tous ces vacanciers...

  Pour ne citer que celà.

 On assiste chaque année, à des situation tellement catastrophiques, au sujet de l'eau, que certains villages menacent, de ne plus être habités, parce qu'il n'y a plus d'eau courante l'été, ce qui risque de donner purement et simplement, des villages fantômes, alors que ces villages, avaient fait l'objet de restaurations concernant le bâti, ce qui, reconnaissez le, est un comble......

 Et pendant ce temps là, avec leurs énormes tracteurs,  des agriculteurs revendiquent, de voir leurs droits, à ponctionner les nappes phréatiques, dans le but, de maintenir un agriculture intensive, qui va aux antipodes de l'intérêt général.

 Alors, ma question est la suivante...

 Qui consomme, ce qui est produit, des lors, que ces zones, seraient desertées ?

Trouvez vous logique, ou cohérent, que l'agriculture, ainsi, s'accapare, l'eau ?  Qui pour rapel, appartient à tout le monde.

 Que d'autres, vont devoir se serrer la ceinture, ne fait aucun doute, pourtant, je le rappelle.

 Mais inspirez vous donc, je vous prie, de ce qui se cultive,  en Espagne, ou en Afrique du nord, et je ne plaisante pas, et ensuite, on sera en droit de consiédérer, que oui, vous cherchez à vous adapter.

Faire payer les gros consommateurs d'eau.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/secheresse-la-metropole-de-montpellier-a-decide-de-faire-payer-davantage-les-gros-consommateurs-d-eau-2321679?at_medium=newsletter&at_campaign=inter_quoti_edito&at_chaine=france_inter&at_date=2023-03-06&at_position=1

 Oui, moi, je trouve ça legitime, je pense que c'est une bonne idée....

 Il faut aussi, stopper comme certains maires le font,  l'accord des permis de construire.

https://www.francetvinfo.fr/replay-jt/france-3/12-13/secheresse-dans-le-var-des-communes-decident-de-suspendre-les-permis-de-construire_5675621.html

 Dans les zones qui sont les plus fragilisées, sur  le plan de l'eau, il faut de toute urgence, faire installer des systemes de recuperation, des eaux grises.

https://www.ecohabitation.com/guides/2522/la-recuperation-des-eaux-grises/

 Moi, si j'en avais les moyens, je n'attendrai pas, que le gouvernement proposent des subventions, pour m'y coller, JE FERAI.

 Pour la piscine, personnellement, je la transformerai en serre  semi enterrée.

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