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Le créationnisme est un cancer de la spiritualité.

 Je vous livre là, le chapitre, de mon ouvrage à paraitre, sur le toxicité des livres sacrés.

Certains croyants doivent se dire, "oui, enfin, on sait bien, que ça n'est pas Dieu qui ait créé le monde...  On y croit, mais sur ce point, non"...

 Certes, et pourtant....

 C’est d’un créationnisme inconscient, dont il est question.

 Ce qui me dérange sur ce sujet, c'est que de dire dans une prière, le "Je crois en Dieu", précisément que Dieu serait à l'origine de toute création, distille dans notre esprit, cette idée comme disait l'autre, "à l'insu de notre plein gré", ou si vous préférez, de façon parfaitement inconsciente, ce qui induit, une déresponsabilisation du croyant, qui est aussi, un citoyen...

 Voilà, ce qui me semble, beaucoup plus grave qu'il n'y parait.

   Il serait interpellant par exemple, de faire un vrai sondage au sein de la communauté des croyants, pour déterminer quel pourcentage trie ses déchets, quel pourcentage s'informe véritablement sur le suivi des découvertes ou de la recherche scientifique, sur l'écologie, milite ou pas, quel qu'en soit la manière pour défendre l'écologie...

 Quel pourcentage a des actions dans des entreprises multinationales, qui sont coupables d’écocides, ou qui pratiquent un green washing avéré, y compris, par le biais de leurs fondations, se donnant bonne conscience en allant à la messe ou à la mosquée, etc......Alors, que dans les apparences ils sont persuadés qu'ils sont bien conscients du vrai problème, je veux parler du péril qui pèse, sur l'avenir de l'humanité, et de l'urgence climatique...

 Comment déterminer, avec le plus de précision possible, en quoi de façon inconsciente, dire dans une prière, que Dieu est le Créateur, interfère ou pas et dans quelle proportion, sur notre position sur le plan politique, face à l'urgence climatique. Voilà en gros, quel est l'enjeu qui se pose devant nous....

 Petite précision, pour ceux qui seraient tentés de m'accuser de faire un focus, un peu étrange  sur les cathos dont je fais partie, je vous informe que je suis en train de fignoler mon projet de livre sur le jardin, où je n'épargne il me semble personne, quand il s'agit, de prêcher pour l'écologie, alors que dans le quotidien, ou dans ses pratiques, au jardin, beaucoup devraient revoir leur copie, et ceci aux antipodes de la moindre notion de religion....

 Bon, je sais, certains me diront, que je suis bien pessimiste (est-ce bien raisonnable ?).

 « Franchement désolée », mais les faits sont là.

Revenons au créationnisme, théorie directement liée à l’hypothèse de l’existence de dieu, je le rappelle.

 Il se trame aux USA, une bien triste réalité, qui réside dans le fait que les courants évangélistes, qui font partie des protestants, nient en bloc, l’urgence climatique (en psychologie, on appelle ça, « le déni »), qu’ils s’entendent comme cul et chemise, avec les républicains, à grand renfort de ségrégation raciale, et pour tout dire, en soutien à peine dissimulé, aux suprématistes blancs.

 J’ai bien dit « évangélistes », qui étymologiquement, vient donc, d’évangile, et qui cautionnent, qui plus est, la version archaïque, et obsolète de la réussite sociale, version « le loup de Wall Streets »,  c’est-à-dire, prônant l’enrichissement personnel…..

 On est en droit de se demander, alors, où se situent là, les valeurs  de solidarité, et d’entraide, prônées, par le pape François.

 Quant à leur posture sur les réchauffement climatique, c’est le cadet de leur souci, puisque créationnistes, ils considèrent, que ça n’est pas une question d’humain, mais de dieu, et donc, n’ont pas à s’en préoccuper.

 Politiquement, par contre, puisque nous parlions de loup, soyez sans crainte, il est actuellement bien en embuscade, il s’appelle donald trump, il a un âge mental de 13 ans environ, selon l’avis des psychiatres, il était arrivé au pouvoir, par la bonne grâce de poutine et de ses lieutenants, combiné avec l’approbation non dissimulée des gafams, à l’époque…

 Et si l’on considère que trump, en étant devenu un jour, président des USA, est comparable au soulier qu’un représentant de commerce, mettait jadis, au pied de la porte pour qu’on ne puisse plus lui interdire d’entrer, je me fais fort de me saisir d’un bon marteau, pour l’en dissuader, puisque la faucille,  (la faucille et le marteau, c’est une bonne image, pour parler des USA, non ?), ne me semble pas physiquement, ce qu’il y aurait de plus efficace.

 La vraie question qu’on doit se poser, devrait être la suivante :

 « Est-ce que le fait d’être parvenu au poste le plus prestigieux politiquement, président des USA, suffit à légitimer qu’on rempile, et qu’on s’en trouve davantage conforté ?

 Certes, on pourrait évoquer, l’expérience.

 C’est sans compter, la valse des collaborateurs, pendant la totalité de son mandat à l’époque, qui accrédite sans le moindre doute, son incapacité à travailler de concert, avec des personnes infiniment plus compétentes que lui.

 L’expérience, d’autre part, dont il serait question ne peut en aucune façon être mise en avant, si l’on considère, que partout, dans le monde, où pendant son mandat, il ait du interagir avec d’autres présidents d’autres puissances, il n’en a été, en vérité, que la marionnette, tout juste bon, à être raillé, manipulé, et donc, via les réseaux sociaux, ayant diminué de façon substantielle, l’influence des USA, sur la scène internationale, au point d’avoir ringardisé, dans des proportions insoupçonnées, l’expression « rêve américain ».….

 Difficile, de toute façon d’évoquer le prétexte d’expérience, pour un poste de chef d’état, avec un âge mental de treize ans.

Un enfant de treize ans, souvent, comme n’importe quel enfant, joue, souvent, aux jeux vidéo…

 Trump, c’est le golf…. Tempêtes de neiges, ouragans, inondations, feux de forêt, quelque soit la calamité, qui tombe, sur un des états, de son pays, les USA, et qui sont des preuves incontestables du réchauffement climatique, lui, il joue au golf, et il s’en vante….

 Certains trouvent peut-être que je m’éloigne de mon sujet.

 Que nenni….

 La relation que trump, entretient avec son « public », puisque c’est bien de cela dont il est question, ou de « fan club », disons, réside dans une forme d’adulation….

Ors, l’adulation, précisément, est psychologiquement une des dérives observées dans le culte au sens large, et donc, en relation directe, avec les religions..

 On touche là, philosophiquement, ce qu’on appelle  le syndrome de l’homme providentiel, celui-là même qui précisément, est à l’origine des films, partout dans le monde, du super héros.

 Spiderman, l’homme araignée, etc, etc…..

 Sauf que le nécessaire, c’est de bien discerner la nuance, entre fiction et réalité. Avec le métavers qui se profile, qui plus est, je n’ose même pas imaginer sur cette population, les ravages qui risquent de se produire.

 L’homme providentiel, c’est comme le prince charmant, ça n’existe pas, et visiblement, le « fanclub », de donald trump, ne l’a pas encore compris.

 De tous temps, les humains ont adoré des hydoles, ce qui équivaut, toujours, à un déraisonnement, c’est-à-dire, la perte de son libre arbitre.

 On adule n’importe qui, sans se poser vraiment la question de savoir si cette personne, le mérite, ou pas….

 Certes, on peut se demander, si exiger de quelqu’un qu’on admire implique obligatoirement, d’être quelqu’un de parfait, la réponse est non…

 Il n’en demeure pas moins, qu’il est bon d’y regarder à deux fois, si l’on observe qu’on se construit sur des modèles, et que dans l’hypothèse, où les modèles sont toxiques, voir, très toxiques, comme dans le cas de trump,  c’est extrêmement préjudiciable, sur son propre devenir, et notamment, sur nos choix de vie.

 Vu à l’extrême opposé alors,  on peut aussi tomber, sur un mentor toxique, comme ça se produit, dans la cas de dérives sectaires, par exemple, qui ont mené les USA, vers des massacres de masse, ou des suicides collectifs.

 Certes, avec trump, nous n’en sommes pas loin…

 Mais ce qui s’est produit au capitole, pourtant, devrait faire réfléchir, ceux qui le soutiennent, et se poser les bonnes questions au bon moment, enfin, il me semble….

 Et pourtant, là, effectivement, face au titre de mon ouvrage, « toxicité des livres sacrés », force est de constater, qu’il n’y en a aucun…

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