Moi, je dis que tant qu'on observe pas les jeunes des banlieues, revendiquer haut et fort d'aller direct en tôle, pour y pratiquer les rodéos urbains dans l'enceinte même des prisons, on a une marge de tolérance, parfaitement acceptable non ?
C'est là, qu'on peut observer, quand même, à quel oint politiquement, certains, les plus réacs, comme d'habitude, ont une perception de la psychologie humaine, dans un contexte de difficulté face à l'autorité, en général, mais surtout quand ça dérape, au point d'être poursuivi en justice, et d'être condamné, au point d'aller en prison....
Je ne prétends pas, qu'on ne puisse pas se poser des questions, sur ce sujet.
Je prétends que d'avoir, une attitude qui condamne ces activités, dans une telle proportion, induit simplement le fait, que pour ceux là, politiquement, la qualité de vie, dans les prisons, les repercussions, sur le long terme, du fait d'avoir été condamné à des peines de prisons, à savoir, que ça broie purement et simplement l'individu, ça leur passe simplement, à 500 mètres au dessus de leurs neurones....
La prison détruit, on le sait...
Les gardiens de prison sont souvent en difficulté, face à certains prisonniers, tout le monde le sait.
Mais il n'y a pas un de ces tocards, là, ministre de la justice compris, visiblement, qui se pose la question de savoir, si de la part des prisonniers, tous condamnés à de courtes peines, je le rappelle, ce type d'activité, ne serait pas de nature justement, à ce que les relations entre les gardiens et les prisonniers, soient facilitées, non, ce type de raisonnement, visiblement, ça leur passe, là encore, au dessus de la tête.
Fin octobre, sortira mon ouvrage sur l'autorité, "au sens large", c'est à dire, des la maternelle, jusqu'à sentir le sapin, et donner à manger aux asticots, en fin de vie, que ce soit dans le cadre familial, scolaire, urbain, etc, etc, et donc, aussi, face à la police.
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