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Une cour des comptes, qui ne s'en laisse pas conter.

Le 07/02/2019

Oui, si le mot COMPTE sonne comme CONTE, peut être qu'il faut y voir un signe, non ?

 Et ça ne serait pas le première fois.

 (Je viens de terminer ma vaisselle, en écoutant les infos sur Europe 1, ce matin).

Au programme, léger rebond de popularité, pour Emmanuel Macron, "note président", qui fait ses classes, dans le one man show, là où on ne l'a pas encore informé, qu'il était Président de la République, et que pour le concours d’éloquence, il fallait s'inscrire sur France 2 avec Laurent Ruquier.

https://www.francetelevisions.fr/AC-casting-le-grand-oral

 Décidément, nous voilà, lui et moi, avec un sacré point commun, le casting est terminé. Quel dommage !

Oui je sais, certains diront que je l'ai un peu mauvaise... je parle de son rebond de popularité, et pas du casting.

Pas vraiment, en fait, lui et moi, ne jouons pas dans la même cour, pour ceux qui n'auraient pas encore compris.

Ce regain de popularité, dont il est question, ne profite strictement, qu'à lui seul.

Ce qui signifie, que ça n'est pas le projet, qu'il croit porter, et pour lequel ses ministres et députés le soutiennent, mais plutôt dans un comportement de satisfaction, aussi virtuel, que provisoire...

On est donc, ainsi, dans un culte de le personnalité, d'une part, un peu comme un coq, qui gonfle son poitrail, accompagné de quelques uns, qui se contentent, de ce qu'on vient de leur donner, ou qu'il s'est engagé à donner, relativement, au pouvoir d'achat.

Mais le"changement de paradigme", comme on dit, il n'a pas commencé à en poser, le moindre début d'élément...

Et ça, "les ravis de la crêche", ils le lui laissent, discrètement sous le coude....

  Sinon, allez réécouter, Michel Aphatie, sur Europe 1, qui parle du travail de la cour des compte, précisément, et qui remet assez bien, l'église au milieu du village, pour démontrer qu'il s'agit bien d'un changement de paradigme, ou de fonctionnement, "dans le fond", dont il est nécessaire de parler, et pas uniquement de sortir la calculette, comme l'a fait la cour des comptes, justement.

https://www.europe1.fr/emissions/ledito-de-jean-michel-aphatie/la-cour-des-comptes-nous-dit-que-les-finances-publiques-vont-mal-et-tout-le-monde-sen-moque-on-est-dans-le-deni-3853298

 La cour des comptes  ils ont leur calculettee, "ça passe, ou ça e passe pas"...

 Ensuite, on en déduit ce que l'on veut.

 Il faut juste avoir l'honnêteté, d'observer pouquoi ça ne passe pas, il ne sont ni philosophes, ni idéologues, et pas d'aventage au service, en principe, en tout cas, de qui que ce soit.

  Ce que ça permet de faire, par contre,  c'est d'observer de façon objective, ce qui déconne... Et d'observer que si tel secteur on va prendre par exemple, l'hôpital, puisque la ministre de la santé, ce mati, sablait le champagne,  (à moins qu'il ne s'agisse, que de sable mouvants, comme pour le mur de donald trump, sur mon aqurelle)pour avoir été félicitée, pour son travail, dans l'hemicycle de l'Assemble Nationale, hier, l'hôpital, dis je, est déficitaire, alors que la logique sur le plan politique, devrait être par exemple, que la notion même de déficit, soit un non sens total et absolu, des que l'on touche à l'être humain, à sa santé, "tout court", ou à son bien être.

 J'aurai pu vous la faire, version HEPAD, et ça aurait été parfaitement valable.

 Ce travail, de pure comptabilité, donc, est parfaitement necessaire, parce qu'il met en relief, la non adaptation de notre systême, vis à vis de ce qu'il devrai être, en réalité, enfin, pour peu qu'on envisage, d'adapter, sa politique, aux valeurs, qu'on pretend defendre, ce dont je doute, grandement, en ce qui concerne notre président Macron.

 Un autre exemple.

 Ils ont épinglé, là, le déficit des abattoirs...

 "Mais quelle idée, géniale"? Dites moi...

  A l'heure, où précisement, les créateurs de l'asssociation L214, sortent un livre, au sujet de la souffrance animale.

https://www.europe1.fr/emissions/linterview-de-nikos-aliagas/brigitte-gothiere-con-fondatrice-de-l214-on-continue-de-traiter-les-animaux-comme-si-on-etait-a-lepoque-de-descartes-3853346

 A aucun prix, les abattoirs, ne devraient fonctionner, sur des criteres de rentabilité.

https://www.francetvinfo.fr/bretagne-explication-dans-les-abattoirs_408159.html

 Ils devraient être nationalisés.

  La raison, c'est que les videos qui émanent de l'association L214, que je soutiens, moi qui ne suis pas vegan, pour information,  montrent une souffrance animale, qui moi, m'est insupportable.

  Mais ce que tout le monde refuse d'observer, c'est que les abattoirs sont dans l'obligation, d'être maintenus à flot, financièrement, pour des critères de rentabilité, obligeant, ainsi les patrons des abattoirs concernés, à une cadence de  travail, qui fait, qu'ils doivent abattre tant de carcasses à la journée, pour tenir le rythme...

    Imaginons, que cette cadence infernale, ne soit pas imposée... Des que les ouvriers des abattoirs observent, qu'un animal, réagit mal, ou met un temps anormal à mourrir, il est en droit, alors, d'arrêter la chaine pour s'assurer, d'y remédier.

   Je ne prétends pas que ça résoudrait tous les problèmes liés à la souffrance animale dans les abattoirs, mais je prétends que c'est la clé, pour qu'elle soit largement diminuée.

   Là, encore, la cour des comptes, met en avant, le fait, que  c'est la conception même, je dirai, "le statut social", des abattoirs qui est à revoir, et ce problème, relève, véritablement, d'une forme d'humanisme, et remet en cause, la position même de l'être humain, vis à vis de l'animal d'élevage.

 Aujourd'hui, sur ce point, d'autres pays, envisagent aussi, de modifier ce statut, et proposent certaines alternatives comme les abattoirs ambulants, et à petite échelle, ce qui presente, d'autre part, d'eviter, un temps soit peu, que les animaux, subissent, des trasports, penibles, et stressants.

 Je rappelle que je suis fille d'agriculteur, fille de cochonnier, pour être précise, et que je ne suis pas vegan,  plutot flexitarien, et que si j'ai de nouveau, l'occasion d'élever des volailles, je trouverai légitime, de les abattre, pour les manger.

 Je considére, pour ma part, que d'élever des animaux, à des fins de consommation, de leur viande, de leur lait, ou de leurs oeufs, pour moi, n'est absolument pas incompatible, avec un certaine ethique.

 Par contre, je suis adepte, personnellement, d'une nouvelle norme, dont je n'ai pas encore, entendu parler, qui consiste à ne jamais manger, d'animaux juveniles.

 J'exisge, personnellement, de ne manger que des animaux, non seumment adultes, mais qui ont vécu en liberté, si possible, et les plus heureux possibles.

 Donc, plus de cochon de lait, et plus de veau, et depuis des années, deja.

 Oui, et bien "c'est nouveau, ça vient de sortir".

 Comment ça s'appelle , ET BIEN JE NE SAIS PAS, j'attens les propositions.... Je pourrai vous proposer, "ADULTERIEN", mais ça fait référence à l'adultère !

 A moins que ça ne soit, "un adlute qui erre".... Dans son champs, peut être , en train d'observer ses animaux, courrir, dans l'herbe tendre ?

 Non, je ne sais pas, que les linguistes s'y collent.

 
 
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