google-site-verification: google7d26736b1ef720ed.html

"La parole Libérée", insatisfaite de la décision des Evêques de France.

Le 17/04/2016

Dans SPIRITUALITÉ.

« La parole libérée », déçue, par la réaction jugée comme insuffisante, de l’épiscopat français.

   Vous pouvez consulter différents liens, qui expliquent d’une part, la position du pape François, sur le sujet, qui a le mérite, d’être clair et courageux, et la déclaration conjointe, qui a été faite, par l’assemblée des Evêques de France, ces dernières semaines, sur le sujet.

   La position du Pape François, renvoie, les Evêques à leurs responsabilité retendant, que ce sont eux,  gérant leurs archevêchés, qui sont les mieux à même, d’un juger.

    Lui, donne sa position, qui ne laisse entrevoir aucun doute, relatif au fait que l’Eglise ne doit proposer aucune tolérance, vis-à-vis du phénomène pédophile.

Plusieurs informations, ont été révélées, lors des différentes émissions, sur le sujet.

  Relativement, à la formation des prêtres, en séminaire, il a  été expliqué, que le formateur, ayant détecté, qu’un aspirant prêtre, serait attiré par les enfants, de telle sorte que ça puisse sembler suspect, ce dernier, lui interdirait alors, de persévérer  pour devenir prêtre.

   Ce doute, revêt la plus grande importance.

   Puisque un aspirant prêtre qui est attiré par les enfants, peut l’être simplement, dans un contexte affectif, professionnel, de la même façon, que peut l’être un aspirant éducateur, instituteur, ATSEM, ou n’importe quelle profession, qui soit lié à l’enfance.

   D’ailleurs, le fait, de chercher à faire carrière, dans une profession, liée à l’enfance, a souvent pour origine, il faut le savoir, des blessures d’enfance,  une carence affective, un traumatisme, vécu, pendant l’ l’enfance, ou diverses raisons, qu’on ne comprend  pas, sur le moment….

   Bien des professionnels, « aiment les enfants », sans pour autant être de futurs pédophiles, en puissance.

  Alors, j’imagine que certains parents, vont lever les yeux au ciel, et s’imaginer que mon Dieu (c’est bien le moment), mais nos enfants, sont donc des proies potentielles, absolument partout….

 GROSSIERE ERREUR…..

  A tous les parents, qui seraient tentés, par le fait, de ne plus faire confiance à personne, j’ai une information, de la plus haute importance, à leur transmettre, dans 80 % des cas de pédophilie,  c’est au sein même de la famille, que le crime est commis, c'est-à-dire, au sein même de la cellule familiale,  un oncle, un ami, un beau père, le père, un ami du père, un grand frère, etc, etc, etc….

 Alors, « pas de panique ».

 Alors que faire ? « Travailler en amont », pour que les enfants, eux, sachent se protéger eux même.

 Cette prévention, doit se faire, au sein des écoles, ainsi qu’au sein des familles .

 Mais j’y reviendrai  dans un autre contexte, là, je parle de la posture de l’Eglise, française, consécutivement, aux problèmes de pédophilie, qui ont été révélés  par la presse.

  Il me semble, moi, qu’un formateur,  que ce soit, dans le cadre du séminaire, dans le cadre d’un concours, pour devenir éducateur, instituteur, éducateur, enfin, n’importe quelle profession, où l’on soit en contact avec un enfant, on devrait faire signer, un document, qui pourrait être ce qui suit.

 « Je soussigné, « untel, né€ à tel, endroit, etc, etc, etc », déclare que de façon consciente,  ne jamais  avoir été victime, d’attouchements, ou de viol, pendant mon enfance ».

   J’ai bien dit, « de façon consciente », car selon  beaucoup de témoignages que j’ai lus, ces dernières années,  il a apparait, que certains jeunes enfants, surtout les premières années de la vie, qui en ont été victimes, se trouvent protégés, partiellement, par ce que l’on nomme le refoulement, qui moi, m’a protégée aussi, de certains souvenirs, même l’acte de pédophilie en lui même a toujours été un souvenir très clair et très conscient.

 De faire signer ce document, présenterait, de multiples avantages.

   D’une part, pour les candidats eux même, ça les obligerait, à se poser la bonne question, à savoir, « pour quelle raison, est ce que je souhaite faire ce métier ».

  Pour les institutions, que ce soit le clergé,  l’éducation nationale, ou que ce soit l’aide à l’enfance, eux se trouveraient couverts, juridiquement,  ce qui est important, si l’on considère les retombées ensuite, quand un problème grave  survient.

   Alors, certains je suppose, objecteront qu’avec de telles méthodes, le recrutement, lui, d’un seul coup, chuterait.

 C’est un point de vue que je respecte.

   Mais si je me fie à moi, (désolée, je ne dispose que de mon expérience, pour pouvoir en parler)  je pense que si l’on m’avait fair t remplir, un tel document, à l’époque,  je l’aurai dit.

   Par contre, c’est vrai, que j’aurai trouvé légitime aussi, qu’on me propose un suivi d’un psychologue, et qu’on m’accepte, pour le cursus, que j’aurai choisi.

 En cours de rédaction.

Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !