google-site-verification: google7d26736b1ef720ed.html

L'optimisme peut il être une forme de spiritualité ?

Le 26/08/2015

Dans SPIRITUALITÉ.

 Je me pose cette question, parce que je viens de tomber sur un article qui relate le sauvetage d'un chien, qui a du voir les pires horreurs.... Et puis je regardais en bas ensuite d'autres articles.

 Je reviendrai sur certains plus qu'interpelants qui sont des pretextes à revenir sur certains de nos combats, et sur lesquels je vais revenir ensuite.

http://positivr.fr/chien-sauvetage-parasites/

 Pour moi la réponse est OUI, bien evidemment.

 Mais je rajouterai bien vite, OUI MAIS.

  Pour commencer je n'ai aucun doute sur le fait que certins, que je peux comprendre sont tres probablement en train de me taxer de mièvrerie, voir d'inconscience.....

  A ceux là, je repondrai, qu'adopter la "positive attitude" (un brin d'humour vers la "quiche attitude", ne peut pas faire de mal, mouarfff !)n'empêche absolument pas en son fort interieur de rester lucide, je veux dire, PARFAITEMENT LUCIDE, non seulement sur la relativité et la fragilité de ce qui peut nous rendre heureux, mais aussi, sur la necessité absolue, et parfaitement lucide, de garder à l'esprit, ce qui fait la valeur d'un être humain,  en temps qu'acteur, de sa propre vie.....

  Ce qui est interpellant, par contre, et dont personne jamais ne parle sur le sujet, réside, dans le fait qu'on n'aborde jamais, et pour cause, les véritables raisons qui génèrent que beaucoup sont en réelle difficultés, vis à vis de cet optimisme.

  La raison du fait que ce soit tabou, n'est rien de moins que cette incapacité au moins equivalente à de veritables boulets que certains trainent leur vie entière, est la materialisation d'une souffrance extrêmement profonde qui rmonte à plusieurs générations quelquefois, et qui estinversement proportionnelle, d'ailleurs au sens de l'humour.

 Le sens de l'humour, est en effet, il me semble, non pas une politesse vis à vis de son prochain enfin "encore que" je dois admettre, quelquefois, mais plutôt une forme de mecanisme d'autodefense justment pour se proteger, des agressions exterieures, afin que la souffrance d'autri, devienne "gérable".

 Et si l'on n'ose jamais parler de l'incapacité de certains à riire, ou bien à être optimistes, c'est uniquement parce que ça nous renvoie à nos propres blessures et nos propres souffrances et que donc, ça nous dérange !

 Alors "pourquoi l'optimisme".... Et bien, "pour l'effet papillon", clin d'oeil à Bénabar. Ou si vous détestez absolument  la bonne chanson française avec ces "mièvreries", comme je cous comprends ! l'effet domino......

 Parce que c'est là, que reside l'interêt en fait, c'est que l'optimisme, c'est contagieux, et que du coup, quand on n'a pas la pêche, qu'elle soit "met le bas", parce qu'à poil t'as l'air con, ou pas, quelquefois un truc qui nous emmerde, et qui nous pourrit la vie, une fois cette petite dose d'optimisme, avalé, ce problème nous semble juste pas si important que celà. Ce qui est généralement le cas objectivement.

Mais j'insiste veritablement, sur le fait que l'optimisme, n'empêche pas la lucidité, vraiment.

 Mais on peut sedmander effectivement, pourquoi, ou plutot, qu'est ce qui fait, que certains (dont je fais partie), sont par nature plus optimistes que d'autres......

 Pour être franche ccette question, plus psychologique que philosophique pour être franche, je me la pose regulièrement, pour êtreparticulièrement concernée par le "probleme" preciement quand il fauit defaut chez les autres, notamment.

   Oui je dis "chez les autres", parce qu'en ce qui me concerne, "je sais gérer", je sais que c'est passager, toujours.... L'histoire de quelques heures, tout au plus.

 Mais, LES AUTRES..... Pourquoi les autres quelquefois sont incapables d'adherer à une forme d'optimisme voilà ce qui moi m'importe.  Et donc en comprendre les raisons.

 Pour en comprendre les raisons, je ne peux donc que me demander comment cet optimisme nait.

 Il n'est question, bien sûr, que de sensations, d'observations, puisqu'on est dans le resenti, et l'expérience....

  Mais à bien y réfléchir, j'ai précisement là, encore une sacrée experience.

  Puisque mon père lui était un clown....Mais avec hélas, une certaine proportion à fuir véritablement ses responsabilité dans bien des domaines, une sorte d'éternel enfant qu'il fût, toute sa vie. Courageux, pour certains sujets ou projets, qui lui tenaient à coeur, avec une charme et un pouvoir de seduction au sens large, qui faisaient de lui, une homme très attachant.....Et incroyablement optimiste et rieur.

   C'était un homme qui avait beaucoup souffert enfant, notamment parce qu'il  était né 9 mois, apres le déces d'une petite fille, qui était adulée comme une petite reine.....

 Sa mère sa vie durant n'a jamais pu lui pardonner, d'être né, alors que sa fille était morte.

 En psychologie, on appelle ça "l'enfant de remplacement".

 Aujourd'hui, on peut choisir le moment où on va avoir un enfant. Et quand les parents perdent un enfant, ils ont le choix d'attendre, que le deuil de cet enfant soit fait, etm^me si lenfant à naitre sera aussi un enfant de remplacement à chaque fois, d'une part les parents, n'ont pas à culpabiliser en quoi que ce soit, d'en avor plus ou moins consicnece mais en en parlant "juste ce qu'ilfaut", cette donnée p sera integrée, des le depart, et la vie, continuera son cours.

 A cette epoque (1933), l'entre deux guerre il en était tout autrement. Et pour a voir reçu toutes ces confidences lors de crisesde larmes absolument incroyables un jour par mon grand père paternel, quand j'étais jeune femme, j'ai toujours eu l'intime conviction que son sens de la derision, et sa predisposition, à rire de tout, à l'exces, je dirai même,  ne faisait que cacher cette blessure originelle, celle d'avoir vecu alors que sa soeur ainée était morte.

 Et chose pour le moins interpllante, l'homme que j'ai épousée à 18 ans, ne povat pas blairer mon père et etait même si l'humour etait présent, infiniment plus sécurisant, que mon père l'avait été vis à vis de moi.

 Par contre lui, mon ex,  a toujours été quelqu'un de prod fondement pessimiste, qui contrebalançait, mon optimisme à moi.....

 En fait, les pessimistes, sont des sortes de boulets vraiment; je vous jure, qui doivent je pense, se poser des questions, notamment,dans la vie de  tous les jours.

  Parce que dans la réalité, les pessimistes, bouffent l'énergie des autres, qui m'ont de cesse, que devoir toujours les remonter, un peu comme l'horloge de  Big Ben, qui a tendance à deconner ces temps ci, ou comme un vieux coucou suisse, et ça use, putain de merde, mais ça use, comme vous avez pas idée.

 Mais pour finir, quand je fais le rattachement, entre le rire et optimisme, parlant de façade, ou bien de souffrances cachées, c'est Florent Peyre qui avait fait un sketch absolument bouleversant d'intelligence sur le sujet.

 

Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !