J'ai un peu de mal à comprendre comment on peut être contre la reconnaissance de ce probleme de la sexualité des handicapés.
Que ceux qui sont contre cette solution regardent ce probleme et nous proposent des solutions qui sont différentes.... Je ne demande qu'à les entendre.
Si vous lisez bien cet article, vous remarquerez que cette jeune femme precise qu'elle ait choisi de se prostituer selon son choix veritable. Ce qui arive quelquefois. Comme quoi la prostitution n'est pas sytemtiquement synonyme de detresse, sous toutes formes.
Mais je pese qu'il importe veritablement, de ne pas perdre de vue que ces cas sont rares, et que le plus souvent c'est bel et bien de detresse veritable dont il est question quoi qu'en disent certaines.
Pour ce qui concerne la sexualité des handicapés je précise que j'ai deja eu l'occasion de developper le fait que le plaisir d'ordre sexuel, ou si vous preferez l'orgasme, est un besoin naturel, et que si dans l'esprit de certains, c'est "le mal" ça n'est que par la faute des religieux qui depuis des siecles nous ont inculqué cette fameuses histoire du pecher originel.
Quand votre corps à soif vous cherchez à boire.
Quand vous avez faim, vous cherchez à manger.
Si vous avez sommeil, vous allez dormir.
Si vous avez mal physiquement vous allez tenter de trouver un moyen pour ne plus souffrir.
Si vous avez des demangeaisons vous allez vous gratter.
Si vous avez froid vous allez chercher un moyen de vous rechauffer.
Si vous avez froid, vous allez trouver un moyen de vous rafraichir.
Et si vous avez besoin d'avoir du plaisir sexuel, il en va de même.
Ce qui ne signifie pas que ce besoin doit être satisfait, n'importe comment, ou avec n'importe qui.
Pour ceux qui me connaissent "ça ne risque pas".
Bien au contraire.
Mais accepter d'écouter ce que notre corps nous dit, et trouver une solution pour ne plus "avoir mal" au sens large, me semble, pour le moins le minimum syndical.
Mieux vaut avoir recours à la masturbation, que de preter son corps à un ou une imbecile dont le lendemain, on se dira "mais quelle imbecile je fais il ou elle n'en valait pas la peine".
Et pour ce qui concerne les handicapés precisement, trouver à redire sur le fait qu'ils aient besoin d'être aidés, c'est oublier que précisement ils ne peuvent en aucune façon avoir recours à la masturbation.