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Vous avez dit "pension de famille".

Le 26/11/2015

Dans SOCIÉTÉ.

 Bon, que je vous explique.

 Il y a d'une part, ce projet de maisons trangénérationnelle.

 Vous pouvez retrouver cette idée, en suivant ce lien.https://plus.google.com/104822654194545442326/posts/VeqSnmbGawR

 Tiens je vois que l'idée a fait des petits aux USA.

http://geopolis.francetvinfo.fr/bureau-washington/2014/05/13/la-maison-transgenerationnelle-alternative-a-la-maison-de-retraite.html#comment-1044

 Et puis il y a, enfin, il devrait y avoir les pensions de famille.

 J'ai trouvé ça, sur intenet.http://www.unafo.org/les-pensions-de-famille.html

 OK, bon, quelqu'un est à la rue, ou en situation de précarité, il peut être accueilli dans ce type d'etablissement.

  Ensuite, de façon générale, dans le langage courant, l'expression "pension de famille", revêt un caractère d'hebergement moins cher que l'hôtel, et qui présente cette connotation familiale.

  Enfin, moi, c'est comme ça que je le conçois et je soupçonne de ne pas être la seule.

  Aujourd'hui, si vous prenez Paris, par exemple, on se retrouve avec  un problème de logement, dont certains sont loués au noir, sous le statut de chambre ou meublés, qui posent problème aux hôtels, qui souffrent ainsi d'une concurrence déloyale.....

  Ca, c'est autant de logements, qui ne sont plus disponibles, en location,qui plus est.

 L'an dernier, comme encore aujourd'hui, je cherchais deja à déménager à Paris.

 Puisque mes moyens sont faibles, je tapais donc, sur google, le mot "pension de famille", à Paris.

 Quelle ne fût pas ma surprise, de tomber sur des hôtels, qui se faisaient allegrement passer pou tel !

 Je les appelais pour leur demander les tarifs, et ils m'annonçaient bien sûr, le prix de la chambre d'hôtel....

 Je leur ai expliqué qu'ils pratiquaient une publicité mensongère.

 Il réside, aujourd'hui, en france, un véritable vide juridique, sur la dénomination réelle, du type de logement.

 Pour moi, c'est quelque chose de grave.

 Pour le mot, "auberge de jeunesse", soyez sas crainte, "même topo", je vérifie.

Bon, visiblement, l'expression est mieux protégée.

http://www.adveniat-paris.org/index.php?id=16

 Une communauté religieuse, pourquoi pas ?

http://www.hifrance.org/

 Je pense moi, qu'il faut d'une part, protéger l'apellation "pension de famille", de telle sorte qu'il soit interdit, de se revendiquer comme tel, si ça n'est pas le cas.

 Et ensuite, reinventer ce statut.

 Je sais que certaines ONG comme la fondation Abbé Pierre, en ont ouvert.

 Mais je pense que des particuliers, pourraient parfaitement en ouvrir, aussi.

 En quoi devraient elles être différentes,  des pensions de famille à caractere social, comme celles ci ?

http://www.unafo.org/les-pensions-de-famille.html

 Et bien pour moi, il faut que des personnes seules, et à revenus modérés, qui ont beaucoup de mal à joindre les deux bouts, aient la possibilité de vivre, en collectivité, ou en tout cas, que ce soit, proposé.

 Une chambre individuelle, salle à manger, lingerie, salle télé, communes, WIFI, dans chaque chambre, de telle sorte que les étudiants puissent bosser.

 Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que le systême de colocation, je connais bien, parce que ma fille à Londres, est logée de cette façon.

   Et bien pour info, quand un grand logement, est loué à pluieurs, cette colocation juridiquement est assumée par un seul et si d'aventure l'un d'eux ne paie pas son loyer, et bien c'est celui qui est locataire officiellement qui est redevable et responsable.

  J'avais deja soulevé le problème, il y a plusieurs années, mais je n'ai jamais entendu encore, que ce problème ait été soulevé.

   Ce que je trouve grave, moi, c'est qu'il doit exister des personnes à faible revenus, qui souhaiteraient éventuellement tester la colocation, pour réduire les frais, et donc, mieux s'en sortir financièrement, et comme la législation leur fait courir ce risque, et bien ils préfèrent renoncer.

  J'ai entendu, sur France Inter, ce matin, que statitiquement, les personnes qui vivent seules, tombent plus malades que celles, qui vivent accompagnées.

  Et pour ceux, qui seraient tentés d'argumenter sur le fait que de vivre seul, soit le sommum de l'egoïsme, ou de l'individualisme, je tiens juste à préciser, que si tel n'était pas le cas, jadis, ça ne signifiait pas pour autant, que les gens étaient plus heureux.

 L'espérance de vie, était plus courte, le travail, bien plus dur.

 Je veux dire que pour avoir la prétention de vivre avec quelqu'un, encore faut il se sentir digne de mériter sa compagnie.

   Et que souvent, pour ne pas dire toujours, les personnes, qui font le choix de vivre seule, sont des personnes, qui ont vécu des choses, qui les ont vaccinées à vie, de vivre avec quelqu'un.

  D'ailleurs, il est bon de réfléchir, avant de porter un jugement, car bon nombre de couples, choisissent de ne pas se séparer, par pure lâcheté, et ne vivent que comme deux personnes seules.

 Certains diront "oui, mais enfin, ils ne sont pas seuls".

   Je suis moi adepte, du vieux diction "mieux vaut vivre seul que mal accompagné", parce que vivre avec quelqu'un qu'on n'aime pas, est un moyen d'entraver son cheminement personnel, ou de s'interdire d'être heureux, auprès de quelqu'un d'autre.

 La mort d'un Amour donne la vie à un autre", telle est ma devise.

 
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