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"Une idéologie ne se combat pas par le code pénal". Marc Trévidic.

Le 30/01/2016

Dans SOCIÉTÉ.

http://www.humanite.fr/marc-trevidic-une-ideologie-ne-se-combat-pas-par-le-code-penal-597507

 Sur l'inutilité des debats, dont la politique, fait ses choux gras, aujourd'hui, je pense de même? il importe, aussi, pour moi,qu'elle ne soit pas reprise, dans la concatitution, surtout quand on voit à quel point, le conseil constitutionnel, tend à empêcher, le plus possible, la moindre avancée progressiste, tous secteurs confondus.

 Je veux dire qu'une fois enterrinné, dans la constitution, il deviendrait plus difficile encore, compte tenu de nos institutions, de revenir en arrière.

 J'ai précisé, moi, il y a quelques temps, que j'étais plus favorable à des périodes de trois mois, renouvellables, si necessaire (je précise que je parle de l'eat d'i urgence).

 Je le rejoins parfaitement, quand il explique, que ce qui importe, c'est de ses soucier, de ceux qui ne sont pas encore radicalisés, et d'elargir le debat, precisement, parce que c'est de prévention, dont il est question.

Et sur ce point, il n'est jamais arrivé encore,  les decennies qui ont precédé, que les gouvenements, aient pris la moindremesure, justement pour travailler en amont, en ce sens?..

 Nicolas Sarkozy, nous fait le coup de la confidence intime, version confessionnal laïc,  et je n'ai aucun doute relativement au fait, qu'il ait doucement oublié d'aborder le sujet.

 Oui, je suis assez fière, de ma formule "confesionnal laïc",  lui qui adore se faire prendre en photo, les deux mains ouvertes, pour se faire passer pour un curé, Dieu soit loué, le recrutement, l'écarte "d'office", on l'a echappé belle.

 Je cite :

  "Concernant la déradicalisation, gardons-nous de considérer que tout le monde est au même niveau. Il y a des gens très divers dans cette population. D’où ma méfiance envers toute mesure globale, comme le regroupement des mis en examen pour terrorisme à la maison d’arrêt de Fresnes. Les mettre ensemble, c’est risquer que les plus aguerris finissent le boulot… Dans mon livre, j’ai choisi un jeune intellectuel. Il ne se radicalise pas de la même façon et ne pourra pas être déradicalisé comme un jeune qui part faire la guerre".

 Et oui, parfaitement d'accord.

   Le probleme en fait, est aussi purement logistique, je p veux dire que le protocole judicaire, d'accompagnement, pour les sortir de la radicalisation, exige peut être, qu'ils soent regroupé, et là,moi, je n'ai aucune competance, pour en juger.

  Oui, j'ai bien utilisé, le mot "protocole", comme un protocole therapeutique, d'une certaine façon, puisqu'il s'agit, de tnter de deconstruire, un lavage de cerveau.

  Au sujet de l'assignation à residance, pour moi, quand le jeune a un travail, il est evident, que cette assignation, ne doit en aucune façon entraver son emploi. mais c'est vrai, que je n'avais pas pensé à le préciser.

  Au sujet du fait que nous ayons été  la cible privilégiée, c'est le revers de notre courage, il faut le reconnaitre aussi. c'est chez nous qu'ocfficiait Charlie Hebdo, ce qui a fait dire, à certains pleutres, qu'on aurait mieux fait d'en rabattre... Je ne suis pas en train de dire qu'ils abvaient raison, bien s$ûr, mais les faits sont là.

 je cite :

"Le religieux n’est qu’une partie des motivations. Si vous regardez l’Aqmi au Mali, les populations locales recrutées ne le sont pas sur des motifs religieux. C’est le jeune de Tombouctou qui n’a rien à faire, rien à bouffer. Ils lui offrent un beau pick-up, une belle kalach’ et un peu d’argent. Il n’a pas besoin d’avoir lu le Coran pour dire oui !"

 Et oui, parfaitement d'accord, les motivations, plus souvent qu'on ne le croit, n'ont rien à voir avec la religion.

 Quand je dis que nous etions leur cible préférée, rien ne dit que d'autres pays, en occident, ne courrent pas de risques au moins aussi graves que nous, pour être franche, je ne dispose d'aucun élément pour en juger.

  Mais en ce qui concerne bien des points relatifs à la plus ou moins grande tolérance, vis à vis de la pratique de l'Islam, aujourd'hui, il est tout à fait probable que nous soyons le  pays au monde, où le port du voile intégral soit interdit, en lieu public, par exemple....

Nous sommes aussi les seuls à revendiquer le fait d'aller fourrer notre nez, dans ce qui est dit dans les mosquée, ce dont nous devons être fiers.

 Ce sont autant de pratiques, que les djihadistes détestent.

 Bon, pour ce qu'il explique, à la fin, sur le fait, qu'il continue à  se sentir plus qu'impliqué, sur ces problèmes, je le comprends parfaitement.

  Moi, j'aimerai bien qu'il y retourne, pour information, peut être, dans un contexte au delà de nos frontières, mais plutôt au niveau eiropéen, comme je l'avais deja soccilicité.

   Ce qui fait sa force, à lui, c'est que les ayant beaucoup rencontrés dans le cadre de son travail, il a une perception plus globale, de la partie humaine des individus, dont il est question, ce qui lui donne bien des coups d'avance, que les djihhadistes, eux, n'ont pas.

 C'est un peu comme un psy, qui a plus de bouteille, qu'un petit jeune qui déboule, il va connaitre plus de ficelles que le jeunôt. Et bien voilà.

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