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Coaching, "on en parle".

Le 13/04/2015

Dans SOCIÉTÉ.

 

 Samedi 8 août 2015.

 Je précise que je suis en train de travailler à l'écriture d'un livre sur le sujet. Je le fais à la demande d'un psychiatre qui me l'a demandé, il y a plusieurs années.

 Mieux vaut tard que jamais.

   Mais pour l'heure, "comme le temps passe", et je sais fort bien, que beaucoup comptent sur le rentrée scolaire pour se remettre à chercher du travail.

 Alors, je vous pose ce que j'ai mis sur le sujet. J'y reviendrai prochainement, si necessaire.

   Ce sont les formateurs qui eux demandent à ce que la profession soit mieux encadrée  juridiquement. Pour ce coaching parlons franco.

 Une des questions qui doit et pas « devrait » être posée est celle-ci.

 « Pas encore travaillé ».

   Est-ce que les diplômes que vous avez obtenus sont réellement conformes, au projet professionnel, qui était le votre ?

   Dans le positif Ok, pas de souci.

   On doit alors lui demander quelle sont d’après lui ou elle les points qui sont à améliorer, pour qu’il ou elle soit plus persuasif pour convaincre qu’il ou elle est la bonne personne.

   C’est généralement sur ce point que le coaching de la recherche d’emploi, se concentre.

   Ils travaillent la présentation physique, l’apparence.

   Une piste qui pourrait être approfondie je crois, consisterait à proposer aux postulants, de mieux se renseigner sur les boites qu’ils prospectent, avant de postuler pour avoir plus de cartouches devant l’employeur.

   Je ne veux pas dire par là qu’il ne faille systématiquement vouloir épater la galerie. Mais je pense que lors d’entretien d’embauche, sur un secteur assez pointu, et que le postulant est vraiment motivé, plus encore parce qu’il s’intéresse à ce secteur, et est capable d’en discuter avec l’employeur, ça peut sans aucun doute faire pencher la balance. J'imagine bien que ce soit deja prévu, mais je soupçonne qu'on parle plus de l'environnement, et du travail réel, que l'employé ferait que du produit fini par exemple. C'est le produit fini qui doit faire l'objet de plus d'attention. Comment se positionne le produit, face à la concurrence, ou face à d'autres régions du monde, ne pas aller dans l'épate comme on dit, mais se renseigner sur le sujet. Ou bien savoir comment il est perçu, sur le plan environemental, écologique, quel sont ses détracteurs, et pourquoi, ce qu'il en pense, et pourquoi.

   Ca ne veut pas dire que ça va marcher pour autant, mais au moins ça leur fait des arguments pour convaincre. Et puis si ça ne marche pas, et bien au moins le chômeur ne l'a pas fait pour rien, puisqu'il a appris des trucs.

 Enfin je prétends cela parce que je me mes à la place de l’employeur moi c’est à ça que je serai sensible.

 Reste l’hypothèse ou le demandeur d’emploi cherche dans une branche plus par dépit, ou par raison alors que ça n’est pas  ce qu’il aurait aimé faire.

 Je pense moi, qu’il est du devoir du coach de lui faire comprendre que c’est lui, qui a tort.

 Je veux dire par là que s’il a un désir secret véritablement sur le plan professionnel, il a tout à gagner à tout faire pour le réaliser, pour la simple raison qu’il déploiera 30 fois plus d’énergie pour parvenir à ses fins, que s’il cherche  dans une branche,  qui n’est pas la sienne.

 Mais attention, qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit.

 Je suis parfaitement consciente que certains rêves professionnels sont hyper durs à mettre en place.

 Et bien dan cette hypothèse, il est encore plus important il me semble, de lui expliquer que ce rêve là, n’est pas aussi stupide, ou irréalisable qu’il  le croit et qu’il doit veiller à tout mettre en œuvre, pour y parvenir et s’il doit alors bosser dans cette autre branche qui ne l’enchante guère, le fait de prendre conscience du fait que ce rêve il fera le nécessaire pour le réaliser, même si ça n’est que dans une fonction associative, ou bien temps qu’amateur, servira de moteur pour trouver le travail « alimentaire » et surtout l'aidera psychologiquement.

 Il ne faut pas oublier que les rêves d’enfants, qui sont tués dans l’œuf, sont typiquement ce qui alimente, les dépressions, du milieu de la vie, croyez moi et en avertir les demandeurs d’emploi, me semble juste un acte de bienveillance à leur intention.

 Qui ont déjà travaillé.

 En dehors du travail fait par les personnes du pôle emploi il est bon il me semble, de leur poser aussi cette question.

 Parce que le fait de ne pas être dans un projet qui tende à le ou la rapprocher de ses désirs profonds sont un handicap.

 Il est bon aussi, de faire un diagnostic d’ordre psychologique.

 Je reconnais que c’est un peu délicat. Mais je pense que le jeu en vaut la chandelle.

Les différents expériences expériences professionnelles doivent faire l’objet de groupes de paroles, de telle sorte que chacun puisse avoir ensuite, une vision plus positive de ces expériences.

 Je voyais un reportage sur des chômeurs qui se regroupaient régulièrement. Et qui allaient jusqu’à démarcher ensembles.

 Sans aller jusque là, le fait de se rencontrer et de ne pas rester isolés dans leur coin, permet de trouver une dynamique positive.

 Ça peut se faire sans psy ou sans coach.

 MAIS un bon coach dans le discours de l’un ou de l’autre verra des choses, positives ou tres positives, que les chômeurs eux même ne voient absolument pas.

 D’autre part, sans coach, lors de ces réunions quelqu’un qui prend la parole, plus facilement que quelqu’un d’autre (une ou un qui a une aussi grande gueule que moi, par exemple) de façon inconsciente, à cause du fait qu’il ou elle est en souffrance par ce que au chômage « accapare probablement le micro », ce qui est inévitable.

 C’est au coach justement de veiller à ce que ces réunions puissent donner la parole à ceux qui en ont le plu besoin.

 Un homme qui a trimé toute sa vie à monter des murs de parpaing et qui se retrouve le dos cassé, à devoir chercher un job n’a pas vraiment une bonne image de lui, le simple fait, de prendre conscience du fait qu’il peut par ce groupe parler de ses rêves de ce qu’il aurait aimé faire, et qu’il pense que c' impossible, alors que c’est faux ! peut simplement faire qu'il se passe d’antidépresseurs, et retrouve une forme de confiance en lui.

 Je pense moi, que ce type de réunion est véritablement importante, parce que le brassage social qui en découle avec pour seule constante d’avoir tous en commun de rechercher du travail,  peut générer des choses qu’on ne soupçonne pas.

 Se mettre à 50 piges, à vouloir apprendre à lire et à écrire alors qu’il n’en a jamais trouvé le temps.

Décider de donner un peu de son temps, dans une association.

 On parle du chômage relativement au non salaire, c’est un fait et c’est cohérent.

 Mais je pense que le rôle du travail consiste au moins autant, à  entretenir un lien social.

 Il me semble que ces réunions doivent être proposées surtout c’est très important, à toutes catégories, brassées ensembles, parce que c’est précisément par ce brassage, que l’enrichissement mutuel se fera.

 Il n’est pas question de l’imposer bien sûr. Mais il importe d’expliquer que c’est dans l’intérêt de chacun. Apres tout, quelque soit la boite où l’on travaille, je pense que la notion de solidarité et d’entraide ainsi que la connaissance des différentes catégories de travailleurs, qui sont dans l’ensemble de la chaine de l’entreprise, consommateurs compris, ne peut être qu’un enrichissement, et qu’il est donc dans l’intérêt de chacun d’y participer.

 Encore une fois si refus, ne pas imposer, ça serait parfaitement inutile.

 Je reviens sur la prise de parole.

 C’est pour ça que le coach est préférable.

 Parce que certaines personnes qui ont bossé toute leur vie dans des travaux durs et manuels, par exemple, (que je connais bien) n’ont pas l’habitude qu’on les laisse parler d’eux, de leur histoire de leur passé en temps que travailleurs de leur envies de leurs rêves.

 

Coaching de dirigeants.

Je suis moi, adepte de la nouvelle tendance qui se dessine et qui prête infiniment plus d’attention, à ses salariés .

Je sais bien qu’au sein du MEDEF, il se trouvera toujours quelques embouchés pour me laisser croire que chez eux « ça n’est pas si mal que ça ».

Mais jusqu’à preuve du contraire, le bien être du salarié lui, ne peut se calculer dans une entreprise qu’en étudiant le pourcentage des pathologies dont sont atteints les salariés regardant les arrêts de travail et leur motif….

Et sur ce point chacun sait qu’on en apprend de bonnes.

Un salarié qui est heureux dans son travail qui se sent estimé, reconnu et boosté, quand il bosse bien, sans que ça puisse nécessairement être lisible sur le chiffre d’affaire, soit dit en passant, sera infiniment plus productif, et mettra ses neurones au service de son entreprise, de façon parfaitement spontannée et naturelle.

Au contraire s'ils se sent méprisé, il n'aura s de cesse que de ne faire que le minimum syndical, dans le seul but de se proteger psychologiquement.

Je suis adepte de libre décision de congés quand la nature de l’entreprise le permet.

Je suis adepte aussi d’une plus grande rigueur, dans la communication entre les supérieurs hiérarchiques et leurs subordonnés qui se permettent de les appeler systématiquement sur leur temps de repos ou de congés.

Je pense que de façon générale il existe beaucoup de jobs où le travail est tellement prenant qu’il est difficile, une fois rentré chez soi de « couper » véritablement ».

 

De façon involontaire ainsi le salarié souvent reste préoccupé par des dossiers, sur lesquels il cogite.

 

Il me semble donc être que la moindre des politesses serait qu’on ne vienne pas me faire harceler ainsi jusque dans ma vie privée.

 

Mardi 22 decembre 2015.

 J'ai bien avancé mon livre sur le coaching.

   Certaines vidéos de certains "prétendus coachs", je dois dire, m'y ont bien aidée, au moins tout autant que ces derniers  n'ont jamais eu le moindre scrupule, à s'inspirer de mes propos sur le sujet, d'où la necessité d'en faire un livre.

 Ce matin, encore......

Bon, sous l'un de mes videos, où je m'en prends à lui, je trouve ce commentaire.

Vous, madame (si vous avez un mari à votre hauteur),

   C'est en bonne voie, merci de t'en soucier..... A propos, en quoi, "qui sont à la hauteur, est définissable ?

 Avoir un mari, qui est aussi un bon coach, peut être ? Tout le monde n'a pas cette chance, c'est un fait.

" Vous êtes une vraie connasse (hé oui on se le permet comme vous le faites).

 Ha, enfin, quelque chose de drôle, c'est franchemment dommage, que ça vienne d'aussi bas, j'ai hâte que ce soit l'un de mes pères spirituels qui s'y colle. Guy, on te demande au parloir !

La chose que vous êtes en train de faire, est de vous faire connaître sur le dos de Davis Laroche pour publier votre livre ou votre film.

   Pour information, ça fait bien des années que la totalité de la classe politique, et artistique, se nourrit de ce que je donne gracieusement, et en connaissance de cause, sur internet, et je soupçonne fortement qu'il ne soit pas le dernier à venir bouffer à mon râtelier. Seulement voilà, il est bien loin d'avoir mes compétences en psychologie, aussi, je suis plutôt navrée, de devoir le constater, et ça me fait plutôt de la peine.

   D'ailleurs, je présente mes excuses, à toute personne assez stupide, pour le suivre, lui, se trouvant ainsi pris au piège, dans des pseudo solutions, qui ne sont jamais que des arnaques.

   Publier quoi que ce soit, sur intenet, est un choix. Un choix, qu'il faut assumer.

Il publie ses vidéos pour donner une idée, si ça vous plait alors allez le voir...

 Ha non, non, moi, je reagis,COMME TOI TU LE FAIS LA......

 Et pourquoi, devrai je le voir ? Je n'en vois aucun intérêt, je n'ai pas besoin de lui, moi. Je ne fais que dénoncer un truant.

en gros, vous, vous êtes tellement bête (ho, putain, là, ça fait mal). que vous vous êtes fait baiser (curieux langage, à plus forte raison, pour un adversaire.... un cours de communication, peut être ?)

vous même et puis vous lancez ce discours sur David Laroche.

 je le repète...

 DAVID LAROCHE EST UN TRUAND ET UN USURPATEUR.

Ce que vous dites est complètement absurde et nul... lui a son jeune âge à réussi sa vie,

 "Reusir sa vie", comme c'est amusant, en quoi, il a "reussi sa vie".... Lui, considère, que de monter sa boite de coaching, en truandant son prochain, est une forme de reussite, moi, je suis infiniment plus difficile que ça.....

 Je n'accepterai jamais la réussite sociale, que si elle repose,  sur un travail HONNÊTE......

 Tu es en doute, relativement à ces propos ?

 Et bien regarde, je t'apporte la preuve.

https://www.youtube.com/watch?time_continue=3&v=y-RQH3_QA08

et vous la folle et l'hystérique jalouse vous avez fait quoi ?

 Et bien je dois avoir environ 1000 videos, à mon actif, sur pas mal de sujets, extrêmemeent divers, aux antipodes des valeurs que defend ton pote, visiblement.

 Et s'il est une chose dont je suis fière, c'est précisement de ne jamais pouvoir être attaquée, sur le fait que je l'ai fait pour l'argent, contrairement à David Laroche.

vous ne faites que parler.

     Ha mais non, moi, je ne parle pas pour parler, certainement pas, d'ailleurs, la preuve depuis plusieurs mois, je ne m'exprime que par écrit ! Parler pour parler, c'est une attitude de manipulateur, comme le font hélas, trop de politiques, ou de VRP.... Profession, vers lesquelles DAVID LA ROCHE serait bien inspiré de se pencher, d'ailleurs, quitte à être un truand, au moins, on saurait à quoi s'en tenir.

 Je parle là, plus encore des CRP, que des politiques, je précise.

femez votre gueule et allez voir ailleurs que d'utiliser "l'internet" comme vous l'appelez vous les vieilles ....

 A court d'arguments, des insultes.

"Les vieilles".mdr. Et bien merci, j'ai moi la sagesse, non seulement, de ne pas prendre ça pour un insulte, mais bien au contraire, pour une forme de sagesse, où jamais la vie ne ne m'a semblée aussi passionnante !

 

Mercredi 24 février 2016.

 

Coaching et famille.

 Et oui, car c’est bien là, le problème.

 Moi, c’est une chose à laquelle je ne crois pas trop.

 Un jour, j’étais allée à un salon à Paris,  le salon des métiers d’Art, je discutais avec une amie,  et son mari commentât, ce qu’elle faisait, puis balançât discrètement, « j’en connais une qui a plutôt intérêt de se renouveler, parce que sinon »….

 Elle c’était l’artiste et le savoir faire, et lui,  de toute évidence, se prenait pour son coach.

 Soit, ça n’est pas voué à l’échec nécessairement, ça n’est pas ma position, je précise.

   Ce type de conversation, dans le privé, « pourquoi pas », chercher à booster l’autre, lui faire une critique constructive, pour qu’il s’améliore, oui, je trouve ça vraiment bien.

    Mais pour être franche, vu de l’extérieur, j’ai été moi, très interpellée par le fait, qu’il parle ainsi d’elle, devant moi, entre autre, parce que je me disais que peut être, la seule chose qui avait de l’importance  à ses yeux, c’était bien ce don,  et qu’en gros, « sa pouliche devait être rentable ».

 Voilà, le sentiment, que moi, ça m’avait inspiré.

   Le risque réside dans le fait, que l’autre est parfaitement en droit de penser, qu’il ou elle n’est pas aimé, pour ce qu’il ou elle est au plus profond de soi, mais bien ce que le coach veut obtenir, comme « performance », et uniquement cela, voilà où réside le risque véritable.

    Alors, oui, je sais, j’imagine bien que dans certains foyers, dont notamment ceux qui bossent ensembles, ma réflexion va d’une part, en faire sourire certains ou certaines, voir, provoquer un réel rire de soulagement, (la pouliche, à n’en pas douter), et faire sérieusement grincer des dents, le connard de coach, qui veut « rentabiliser son placement ».

    Certes « coach spontané », quand on aime véritablement,  on l’est tous, d’une certaine façon, avec nos enfants, avec n’importe qui, que l’on aime sincèrement,  on a le devoir il me semble, d’être franc et sincère, de conseiller et stimuler.

   Moi, je l’ai été, je le sais fort bien,  nous le sommes tous, quand un ami vous demande un conseil, se confie à vous, et que vous mettez au point une stratégie, pour parvenir à l’aider, d’une certaine façon, c’est une forme de coaching, mais un coaching spontané.

   Dans le milieu sportif, notamment, quand un père ou une mère,  coache son enfant, dans sa carrière sportive, généralement,  ça tourne mal, ce qui est bien logique, car le rôle du coach risque d’empiète de façon toxique, sur le rôle de père ou de mère.

   Entre frère et sœur, c’est carrément suicidaire, pour moi, je n’y crois pas, à moins que ça ne soit que provisoire, ou de façon purement sporadique.

   Je sais qu’il existe des familles, dans le milieu artistique, qui y parviennent, mais je pense que la réussite est rare. Ou bien alors, il ne m’est jamais arrivé encore, qu’on me donne l’opportunité, d’avoir un regard positif, sur ce point.

  La raison, c’est qu’au sein de toute famille, il existe de façon inconsciente des rivalités, qui sont non dites, et que l’un est le coach,  de l’autre, il intoxique, le lien fraternel…..

 Ça ne signifie pas que ce soit voué à l’échec, nécessairement, mais ça me semble infiniment plus périlleux, encore, qu’entre un parent et son enfant.

   De façon générale, le coaching en famille, je le déconseille, parce que  pour celui ou celle qui est coaché, il est quasiment impossible de déterminer véritablement, si le coach, l’est pour se mettre en valeur lui, transposant, sur le coaché, une frustration, le fait, qu’il ou elle n’ait jamais pu se réaliser, le plus souvent, dans la spécialité en question, ou bien si c’est « affectivement désintéressé ».

   Les risques sont limités, cependant, si la communication, est vraiment très bonne, mais pour moi, c’est vraiment risqué.

29 octobre 2019.

Pour ceux qui s'étonnent de mon silence, depuis quelques jours...

 

Je travaille, deux heures par jour, sur un livre qui concerne l'autorité, en général, et plus particulièrement, dans le cas de problème sur ce point, en ce qui concerne le contexte de rupture, violences conjugales, et couples recomposés.

 

J'y ai encore passé deux heures, cette nuit...

d'autre part, ce matin, m on m'annonce, à l banque, ce matin, que la CB, "sans contact", indispensable, pour recharger sur une borne, prévue, dans les municipalités, ne fonctionne plus.....

 

Autrement dit, mes emmerdes, au sujet de la recharge de ma voiture électrique, continuent, mieux que jamais.

 

Conséquences, impossible, de faire autrement, qu'à faire passer, ma propre personne, avant le reste, et veiller à mon équilibre personnel, avant que de penser aux autres, c'est à dire, à la politique, sachant, que de toute façon, ça n'est certes pas ici, que je trouve mon équilibre.

 

Si je donne ces précisions, c'est pour bien signifier, que mon silence, n'est pas un choix, de ma part, mais bien la conséquence de postures, qu'on m'impose, et auxquelles, je n'ai pas d'autre alternatives, que de m'adapter.

 

Observé, ce matin, que le livret de Renault Assistance, avec les numéros de téléphone, ont mystérieusement, disparu, de ma voiture, quand j'ai fait, une nouvelle tentative, ce matin, et qu de puis plusieurs jours, on ait veillé, à ce que mon compte bancaire, au Crédit Agricole, ne soit plus consultable en ligne, alors, que j'avais 39 de fièvre, afin, de s'assurer, que je risquais d'être dans le rouge, ce matin, et de ne pas l'avoir vu venir...

 

Comme vous pouvez le constater, "on prend bien soin de moi".

 

Suis je bête, avoir pris, la somme de 20€, au distributeur, dimanche matin, était irresponsable...

 

Un paquet de biscuits, "petits écolier", et une baguette de pain, non mais quelle démesure !

 

Depuis un peu plus d'une semaine, de séjour, à Pacy sur Eure, en fin de compte, en dehors de mon logement, qui est vraiment e au top, je n'ai connu, qu'une somme d'emmerdements, quelle que soit l'angle, sous lequel, j'observe, ma situation.... Pas un resto, pas une sortie, et des courses, uniquement, quasiment, dans le coin, des dates limites de péremption...

 

Interessant, non ? Coté coaching ?

 

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