Mercredi 14 octobre 2015.
Non, seulement, ils la rouvrent tout le temps, mais en plus, à présent, ils dechirent les ce hemises des DRH, et refusent de serrerla main, du president, à Saint Nazaire.
Pour commencer, je précise que je suis l'actualité, même si je ne commente pas à chaud, généralement, comme vous le savez.
J'ai entendu sur le sujet, notamment, que les ouvriers français, étaient décidement, "des plaies", dans la mesure, où ils donnaient une image "pitoyable", du monde du travail, à l'etranger. Enfin, de "notre monde du travail".
Et oui, oui, je suis absolument d'accord, sur ce point, effectivement.
Il est de toute évidence, reltivement logique effectivement, de constater que dans l'un des pays AU MONDE où l'être humain, soit le mieux respecté, c'est vrai, BIZARREMENT, ce soit aussi, "comme c'est étrange", celui où la notion de dignité humaine, soit AUSSI, la plus pointue...
Comme on dit vulgairement, "ceci explique celà".
Ce qui moi, me pertube, je dois dire, même je le précise, je condamne absolument, cette histoire de chemise déchirée, c'est que si des syndicalistes, en dsont arrivés, à cette extrêmité là, c'est qu'il setrouve derrière, une souffrance, qui elle, est veritable, et que je crains fort que cette donnée, ne soit sous estimée.
Moi, je propose la chose suivante.
Pour le plus ue le monde ouvrier, ne souffre, d'un tel sentiment, de se faire systemtiquement avoir, par le grand patronat, il serait necessaire, de faire ce que les politiques, ont deja suggéré, mais qui n'avait pas été suivi, qui consisterait à baisser les saliares des grands patrons.
Oui, je sais, on va me dire qu'ils sont responsables, de telle hauss du chiffre d'affaire, et que donc, ces salires, faramineux, sont parfaitement justifiés, ce qui moi, je dois dire, me fait juste bondir...
Et oui, pour info, moi, je donne à bouffer au râtelier, de tout ce joli petit monde, et je ne touche que 80€, par semaine, et avec ça, je dois payer mon essence, et me nourir.
Je trouve cet argument particulièrement bidon.
En effet, pour information, un grand patron, avec un salaire très élevé, et fixe, devrai, s'en contenter, et faire ce travail, pour lequel il ait été embauché... Et pourquoi donc, devrait il être payé, au proratat, de ce qu'il ait fait gagner, ou pire, qu'il va faire gagner, à sa boite ?
Et quand il la met dans le rouge, est ce qu'il ponctionne sur son PER, pour rembourser ?
Non, je ne crois pas.
Oui, je sais, j'avais entendu, qu'il y avait une grosse competition, entre les grands groupes, sur ceux qui doivent occuper, ces postes... 'ho la la, mon Dieu.... "IL Y UNE COMPET'.
Non, mais vous rigolez, ou quoi ?
Ceux qui sont vraiment responsables, en dehors de moi, des dernières trouvailles, qui permettent de mettre au point, de nouvelles strategies, ou de nouvelles inventions, en gros, qui se mouillent, ce sont ceux et celles, qui sont juste en dessous, et pas les PDG, qui je tiens à le rappeler, passent d'une grosse boite à une autre....
Alors, je ne sais pas comment on pourrait envisager ça.
Peut être, en faisant une sorte de moyenne, des salaires totaux, qui sont pratiqués, et déterminer une loi, qui interdirait, que le PDG soit remuré, au delà, de ce salaire, multiplié par 10 ou bien par 20, je ne sais pas, ou par 5, je ne vois pas je n'ai pas les données necessaires......
Pour le parachute doré, vous transformez, le parachute en montgolfière, et le doré, vous le refilez à "Férréro, roche d'Or".... (oui, je sais, je vais y venir).
Le problème est le suivant, en fait, il faut un signe fort, qui apporte quelque chose d'irreversible, sur le plan législatif, qui garantisse aux salariés, de ces grosses boites, d'être mieux considérés, et mieux protégés.
Il faut aussi revenir, sur la taxe, sur les transactions financières, de toute urgence, parce que là aussi, on a le sentiment de se faire entuber.
voilà, ça sera tout, pour aujourd'hui.