Alors qu'à présent il se trouve quelques "intellectuels", pour surfer sur ce traumatisme, pour le cas où onse désinterresserait d'eux, je suppose (je veux parler d'Emmanuel Todd je précise que je dois revenir sur son cas en particulier), ceux qui sont concernés au premier chef j'entends par là, les artistes eux même, et pas uniquement les dessinateurs, eux, se posent la question...
S'il veulent traiter d''un sujet en particulier, le peuvent ils, ou pas...Et comment faire pour "toucher son objectif", sans s'attirer les foudres des ennemis de la liberté d'expression.
Il est vrai que dans l'hypothèse où la reparuton du nouveau Charlie Hebdo, eut été mieux assumée de par le monde, dans la presse générale, le reflexe de solidarité vis à vis de la liberté d'expression aurait joué son rôle, et ces ennemis, dont je parle, auraient été plus encluns à se poser les bonnes questions.
Ce qui je trouve étrange, pour ma part, c'est que certains sujets qui moi me semblent infiniment plus tabous, parce que "sacrés" à mes yeux, ne semblent absolument pas l'être aux leurs.....
Que l'on vende des jeunes femmes pour les violer "institutionnaliser ainsi le mariage d'hommes adultes avec des enfants", ou de jeunes femmes ne les choquent absolument pas, au moment ou par le monde pourtant officiellement on commémore la fin de l'esclavage en différents pays.
Qu'y a t il, de plus sacré, pourtant que la Vie d'un être humain ? Qu'il soit homme, ou femme, qu'il soit un enfant, ou un bébé... Qu'y a t il, de plus sacré que celà..... Je ne comprends pas... Comment, par le biais de certaines religions on puissent oublier ainsi, à quel point depuis sa naissance, c'est le regard de notre mère, qui nous a éclairé, quand on tombait en jouant, quand on avait faim, qu'elle nous donnait à manger. Quand on avait honte, de ne pas être à la hauteur, et que de simplement croiser son regard, nous réconfortait et qu'il n'y avait qu'elle, et elle seule qui pouvait comprendre.
Qui a aimé ces tortionnaires, aujourd'hui, qui violent, qui pient, qui torturent, que sont devenus leurs souvenis de tendresse et d'attention que leurs mères pourtant, j'en suis certaine ont bien du leur apporter....