http://www.france2.fr/emissions/toute-une-histoire
Hier toute une histoire consacrait son emission à ce probleme de santé publique, et notamment, aux traitements chirurgicaux, qui passent aux yeux de certains, pour la solution miracle.
Ainsi, différentes personnes, présentes sur le plateau ont témoigné.
Désolée pour les premnom, je n'ai pris aucune note.
Trois femmes qui ont subi cette operation, et une qui va la subir, avant l'été.
Chacune teloigne de son parcours personnel, et donne son resenti, avant, pendant et apres l'operation.
J'ai trouvé cette émission extrêmement intéressante, parce qu'elle a eu lemerite de briser un mythe qui consiste laisser croire qu'il suffit d'avoir le courage de passer sur la table d'operation, pour qu'enfin, le probleme soit résolu.
Je ne parle pas des personnes concernées aupremier chef, qui elles, conscientes du probleme sont allées aux infos, mais plutot du qu'en dira t on, ou de l'entourage, qui passe son temps à culpabiliser, ou à reprocher, à la personne obese, de simplement être ce qu'elle est.....
Car se contenter de reprocher à une personne d'être obese, c'est juste oublier que derrrière cette silhouette, il y a aussi une identité, une personnalité, et une histoire.
Moi, personnellement, je ne subirai jamais, je pense une telle opération...
JE M'AIME TROP POUR FAIRE COURIR UN TEL RISQUE A MON CORPS AVEC LES CONSEQUENCES PHYSIOLOGIQUES QUE CA INDUIT.
J'avais expliqué dans un article sur le sujet, que ces opérations étaient un leurre, si d'aventure, on imaginait que ça serait systèmatiquement la solution, sans raiter en amont, pendant et apres le probleme, sous l'angle psy.
Et j'ai pu constater,hier, que j'avais une fois de plus, en le nez fin, comme on dit chez nous.
Car dans l'obesité, il y a d'abord et avant tout, un probleme psy, qui est derrière, ce quia parfaitement été expliqué, hier, dans l'emission.
Certains me repondront,"oui, mais enfin, il existe un terrain, familial, aussi, ce qui est vrai.
Mais ce terrain familial, précisement, n'est pas QUE GENETIQUE, il est aussi culturel, et trangénéraltionnel.
hier, nous a vons vu une mamy, qui ayant subi cette operation, s'est fait gentiment remonter les bretelles, par sa fille, qui elle aussi, a visiblement se terrain là.
De façon officielle, elle reprocheà sa mère, sur le plateau, d'avoir choisi la solution de facilité, en subissant cette operation, expliquant qu'elle aurait pu l'eviter, et faire plus attention à ce qu'elle mangeait.
Elle a dit textuellement à sa mère, "on ne tereconnait plus, tu ne ris plus, tu ne souris plus".
De façon consciente, elle serait eventuellement d'accord pour voir sa mère, ne plus avoir ce problème d'obésité, mais de façon inconsciente, elle reproche gentiment à sa mère, de l'avoir trahie.....
De façon générale, quand quelqu'un a un vrai problème d'obesité, je préconise moi, systèmtiquement, de consulter un psy, d'abord. et pour être franche, aux vue de l'emission d'hier, je suis parfaitement confortée dans cette idée.
On parle de génétique... Oui, mais c'est juste oublier qu'un traumatisme, aisse destracesdans le genome, pendant trois générations, et nitemment, en ce qui concerne, les traumatismes sexuels.
Je rappelle que concernant les adolescentes qui souffrent du trouble du comportement alimentaire, il doit y avoir 75 %, qui en sont là, à cause d'un problème de viol, pédophilie, ou autres agressions sexuelles. Ca n'est pas systèmatique, mais c'est un fort pourcentage.
Ors, on sait que ces traumatismes laissent des traces dans l'ADN, sur trois générations.
Ainsi, il n'est pas impossible, que dans certains cas, certaines personnes soient devenues obèses, en relation directe avec des traumatismes sexuels, qu'elles aient subi elles, ou que leurs parents, ou grand parents, aient subi.
J'ai trouvé particulièrment parlante, et efficace, l'expression des petites poupées russes.
Chaque individu, est unique, et a une histoire, plus ou moins rejouissante.... Pour certains, ou certaines, il y des valises à porter qui sont bien plus enconbrantes que pour d'autres.
Chacun fait de son mieux, pour les assumer, certains refusent de le reconnaitre, d'autres moins, et assument, certains les font porter par d'autres, les femmes de la famille, les ainées, notamment, de façon inconsciente, en sont chargées, et de façon parfaitement inconsciente...
On nous a expliqué,hier, et javais deja tenu ces propos, moi, qu'une personne qui était obèse, le devenait pour resoudre un probleme psy, et que si on l'en empêchait, le probleme restait entier.
Ainsi, doit on admettre, que l'obesité, d'une certaine façon ne serait qu'un symptôme, plus qu'une maladie, en emlle même.
Non, elle est une maladie, oui, c'est certain, mais une maladie psychosomatique, c'est certain.
J'ai té touchée par cette femme, qui explquait, qu'elle avait jeté toutes les photos d'elle avant. mais quelle horreur. c'est exactement ce qu'il ne faut jamais faire. rangez les dans une boite à chaussure, si vous voulez, et rangez les au grenier, mais ne commenttez jamais l'irreparable, vous defaire de votre ancienne personnalité.
Quelque soit le changement que vous operiez, dans votre vie.
En dehors d'un passé de criminel, serial killer, violeur, assassin, dictateur, tortionnaire, violeur de vieilles dames, vous ne devez jamais créer de façon intentionnelle, une réelle rupture, irreversible, envers les personnages que vous avez été, depuis votre plus tendre enfance, pour la simple raison que ces différentes personnes, qu'on a été, ont connu aussi, même si ce sont de mauvais souvenirs, des moments, qui ont été heureux, même si c'était de petits moments, et qu'en cas de gros coups dur, on ne sait pas ce que l'avenir nous réserve, il n'est pas impossible un jour, que vous ayez besoin de vous replonger dans ces photos, et que le simple fait d'en reparler, avec un proche, vous permette de retrouver la surface, bien plus vite que vous ne l'auriez pensé.
J'ai été touchée aussi, par cetteamman, qui accompagne sa fille, qui a sub cette operation, et qui disait, "qu'est ce que j'ai mal fait".... Et bien tres probablement, "rien, madame", vous n'avez non seulement rien fait de mal, tresprobablement, et ieux, vous accompagnez fort bien votre fille.
La vie n'est pas un long fleuve tranquille, certains enfants sont plus sensibles que d'autres, et la genese du probleme de votre fille, n'est tres probablement pas le symptôme d'un manqued e votre part.
Quand vous observez d'autres jeunes, autour de vous, où tout semble rouler tout seul, soyez sans crainte, "ils font tres bien semblant"... Certains ont recours à l'alcool, aux drogues, se racontent des histoires pour se rassurer, trouvent des bouc emissaires, les personnes sans probleme, ça n'existe pas !
Et puis il faut être franche, élever des enfants, ça n'a jamas été du tout cuit, alors, arretons de culpabiliser, lisons, discutons, informons nous, et surtout surtout, n'acceptez jamais de boire comme du petit lait, des discours tout fait, qui vous demandent de ranger vos neurones, pour penser à votre place. s'il est un secteur, où on doit être critiques et vigilents, c'est bien en ce qui concerne, la famille, l'education, et "le prêt à penser".
Mais pour en revenir au probleme de l'obesité, je dois moi aussi, continuer à maigrir.
Je persiste à penser moi, que la chronobiologie, est une bonne méthode, et moins agressive.... Car selon le moment de la journée, l'amiment qu'on ingère, n'est pas assimilé de la même façon, selon l'heure en question.
Il me semble moi, que de choisir de ne plus a chetrde plats tout préparé, est un bon moyen, de modifier, la façon de s'alimenter, et son rapport à la nourriture.explorer de nouveaux aliments, ou de nouvelles cuisines.
Mais si l'on est conscient d'avoir un mode alimentaire dévié, il faut vraiment consulter un psy, pour moi, c'est évident que vous pouvez maigrir beaucoup plus facilement, parce que lui, va s'attacher à trouver les causes, et donc,vous serez plus forts pour mener ce combat là.
9 juin 2021.
Depuis plusieurs années, j'ai travaillé, à l'écriture d'un livre, sur le sujet.
Pour diverses raisons, je n'ai pas pu encoe, le mener à bien, mais comme mes livres finissent bien par sortir, au d fur et à mesure, considerant, d'autre part, que je viens de terminer, l'actualisation, de mon ouvrage, sur les GAFAMS....
Je me suis dit: "bon, allez, je m'y recolle".
Pour celà, je me suis dit, que d'aller fouiner, un peu, côté documentaire, serait enrichissant.
Je vous recommande donc celui ci:https://www.arte.tv/fr/videos/078145-000-A/accepte-ton-corps/
Par contre, j'observe que le problème n'est soulevé, que dans ce qu'il interroge, dans notre façon de parvenir, à nous adapter, "ou pas", aux dictats qui nous sont imposés, ce qui est salutaire, bien sûr, et tous ces temoignages parleront à beaucoup, c'est certain.
Mais le côté "santé publique", et notamment, le lien direct, qui existe dans 80 % des cas d'obésité et d'anorexie, trouvant son origine dans des traumatismes sexuels, ainsi que tout le côté psychologique, n'est pas abordé.... le lien direct, dans l'addiction au sucre, ou au sel, entierement induits par l'industrie agroalimentaire, n'est pas non plus abordé.
Ce que moi, par contre, j'ai fait....Je vais donc remettre l'ouvrage sur le métier.