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Les limites des thérapies "naturelles".

Le 09/09/2015

Dans SANTE NI CAFE mais si possible avec humour.

 Je dis bien "thérapies naturelles" entendant par là, celles qui sont opposées, aux médecines allopatiques, ou si vous preferez médicamenteuses.

 Je ne parlerai ici que de situations que j'ai cinnues ou que je connais encore quequefois reltivement à ma situation personnelle.

 Pour ceux qui sedmandent si telle therapie est naturelle ou pas je vais vous donner des exemples ou plus précisement, vous donner mon son de cloche.

 Je crois du comme fer moi au pouvoir de chaque individu à se soigner en grande partie par lui même.

   Je dis bien "en grande partie" parce que avor la pretention qu'il en soit autrement equivaudrait à considérer que ne pas aller bien pourrait trouver la guerison, en soi et uniquement en soi theorie, à laquelle je ne crois absolument pas, pour la simple raison, que je considère moi au contraire que c'est dans une forme de communication,  au moin, en partie que chacun trouvera le chemin de sa propre guerison.

  Je suis notamment beaucoup attaachée comme chacun sait à la theorie selon laquelle bon nombre de nos maladies, ont des orifgines psychosomatiques,   ce qui sig nifie donc, que c'est de souffrance psychologique dont il  est question.

  Ors ces souffrances là, si elle epeuvent trouver  un soulagement provisoire dans une travail interne et intime, ne peuvent veritablement être assassinées definitivement que par la prole en tête à tête devant un psy.

 Certes on peut pretendre aussi que la guerison, via un psy,  est une forme d'autoguerison ce qui est vrai, mais elle ne peut se faire que communiquant avec lui pendant les seances et donc se fait au minimum à deux.

 C'est pour cette raison et pour cette unique raison, que jamais je ne prétendrai jamais qu'on peut guerrir seul, sans communiquer avec qui que ce soit.

 En fait, si je tiens à parler de ça précisément, c'est que je sais à quel point le corps humain via son mode de communication involontaire, que sont le rire, le sourire, les pleurs, le cri, le soupir, le chant, la diction, la parole etc sont autant de moyens que chaque individu, peut utiliser pour  se porter mieux quand il a un coup dur.

   Mais ce  que j'ai expérimenté moi, il y a longtemps, quand j'étais hospitalisée à l'HP, c'est que souffrant psychologiquement de façon effroyable, ce qui n'est rien d'autre que le resenti de la depression,  c'est que les sens, se trovent parfaitement endormis....

 Je me souviens être allée en séances pour écouter de la musique et en discuter...

 Rétropectivement, je dois dire que ça ne manquait pas d'humour...

 Vous aviez environ,  6 ou 7 personnes, on vous incitait à y aller, bien sûr.

 Et vous racontiez pourquoi vous aimiez telle musique ou tel chanteur..... mais ce  qui me fait hurler de rire en y repensant c'est que ça me faisait chier mais alors comme vous n'avz pas idée, et pour cause.

   L'absolue totalité des malades en dépression, autour de cette table, ne racontait absolument pas la vérité, ce que ce qu'ils resentaient, quand il venaient d'écouter, mais UNIQUEMENT LE SOUVENIR QU'ILS EN GARDAIENT.

 Et oui en plus imaginez vous bien qu'on était shoootés comme des coureurs du Tour de France (désolée pour cette petite parenthèse je n'ai pas resisté à l'envie).........

 Transformant ainsi le malade, en véritable légume, dont le quotient émotionnel devait être relativement proche de la palourde échouée sur un banc de sable, en plein soleil, sur une plage de Bretagne.....

 En gros reytrospectivement je garde un souvenir non mitigé mais juste profondement insultant vis à vis de ma modeste personne.

 Insultant pourquoi  ?

     Insultant, parce que si l'expression du corps, consécutif à une émotion, a effectivement un pouvoir thérapeutique absolument merveilleux, et bien ça n'est certainement pas dans le cadre d'un HP, que ça risque de le devenir, et encore moins, AVEC UN ART THERAPHEUTE.

   Je veux dire que si vous avez chez vous un coup de blues et que vous vous dites "Tiens, je vais écouter tel truc, ça va me changer l'esprit, et me faire du bien"...   Sous cette condition et uniquement sous cette condition, alors, ce que vous allez écouter sera effectivement thérapeutique....

   Ou bien si accidentellement, vous vous retouvez confronté à une musique, en dehors du contexte hospitalier en ecoutant la rzdio par exmple, alors par l'effet de surprise et la charge emtionnelle, oui ça peut l'être....

   Mais enfin, si on vous dit "vous aimez tel artiste alors, vous irez l'écouter de13H 45 à 14h02, parce que madame Martin, elle va pas pouvoir libérer la salle avant...

   NON NON, je suis désolée, mais le pouvoir thérapeutique de la musique, c'est en dehors des murs de l'HP, et  à l'unique initiative du patient lui même, au minimum, et selon la restriction du quotient émotionnel imposé par le traitement médicamenteux.

  Et oui, parce que pour information, moi qui adore cuisiner en musique, pour information, je n'ai encore jamais surpris les légumes en train de se trémousser sur une musique, quelque soit la région du monde, dont elle soit originaire  !

  Le gros problème de la souffrance psychique, en fait, résulte dans le fait que ceux qui l'ont vécue véritablement, sont les seuls à pouvoir la décrire.

 Et même ceux qui l'ont vécue, quand ils la retranscrivent, ce qui très précieux, oublient de preiser que sur le plan physiologique,  c'est la perception de l'environnement, qui se trouve modifiée, de façon tres importante.

 Un peu comme si la connexion entre les sens et le cerveau était alternée.  enfin c'est pas "un peu" c'est exactement ça en fait.

 Il y a plusieurs artistes qui ont deja décrit cet etat là.

 J'ai en mémoire Bénabar. Je vous donne la video.

 
  Ainsi que Jeanne Cherhal, "je voudrai dormir" qui l'a enregistrée en duo avec Jacque Higelin.
 
 
 En fait, bien d'autres ont raconté différents types de souffrances. Mais peu les ont décrites, quasiment sur le plan psysiologique, comme l'a fait Jeanne sur une autre chanson, où elle s'adresse à son père."Les chiens de faïence".
 
 
  Je précise enfin pour information, qu'il va y avoir une conférence tout à fait interressante sur le sujet, dans la maison de la radio, à laquelle je compte assister, si c'est possible.
 
 
   Je précise que mon cas "si particulier" et donc mon expérience racontée ici, n'a pas pour objectif de remettre en cause en quoi que ce soit, les travaux des chercherurs et médecins, sur ce point.
 
   Mais chacun sait que mon parcours est suffisemment atypique pour que comme d'habitude, je ne réponde décidement pas à la norme. Je pense qu'il n'est pas necessaire que je développe.
 
   Encore une chose. Il est possible, enfin j'ai deja lu, dans des commentaires quelquefois, que certains ne comprennent pas pour quelles raisons certains artistes s'acharnent ainsi à décrire des états de souffrances diverses et variées.
 
 Enfin en gros, ils disent "ça ne sert à rien" on a plus qu'à se jetter par la fenêtre, et puis voilà".
 
   Et bien, pour informamtion, quand on ne va pas bien, entendre une version chantée de ce que l'on ressent, a justement un effet thérapeutique, parce que par le phénomène de catharsis, que les psychiatres connaissent bien, ces chansons, sont au contraire fort utiles, et très efficaces. Voilà pourquoi. En gros "on se reconnait".
 

 

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