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Le jeune thérapeutique.

Le 11/08/2015

Dans SANTE NI CAFE mais si possible avec humour.

Le jeune thérapeutique.

 Pour commencer je dois faire une mise au point relative à ma position sur le sujet.

   Comme certains le savent peut être une de mes copines, il y a une quinzaine d’années m’avaient apprises pas mal de choses sur la naturopathie de façon plus large dont la pratique du jeune fait partie intégrante.

 Si je suis la première moi, à lever très franchement le pied côté alimentation si je tombe malade  telle une bronchite, ou une grippe, ou quoi que ce soit de ce style, elle m’avait expliqué à juste titre que le fait de faire fonctionner son appareil digestif consommait beaucoup  d’énergie. Et que de pratiquer un jeune alors pour soigner ce type de maladie juste quelques jours le temps nécessaire permettait de mettre à disposition des défenses immunitaires, cette énergie économisée en quelque sorte , boostait le processus de défense de l’organisme. je complétais moi avec le l’echinacéa chaque jour.

 Mais en fait je n’ai jamais à le faire puisque je ne tombe jamais malade.

Je reconnais qu’en dehors de cette pratique du jeune, de courte durée et compte tenu de la ma situation financière (tutelle), je ne voyais pas vraiment le jeune autrement que comme une forme d’exentricité version « bobo, entre deux gueuletons » pour se donner bonne conscience.

 Je précise je n’ai rien contre les bobos hein, j’en suis une aussi, une bobo pauvre peut être mais bobo quand même j’y tiens absolument.

 En fait je voyais ça un peu comme les cures detox dont je n’ai absolument aucun doute que beaucoup se ventent de les pratiquer, alors que le frigo est plein de  coca, de chips, et de hamburgur.

 Car la cure detox c’est comme les sex toys chez les femmes il ya celles qui disent qu’elles en ont un et puis il y a celle qui ferment leurs gueules et qui l’utilise et qui considèrent que ça ne regarde personne.

 Et bien le jeune et le détox, c’est pareil.

Je trouve interpellant de voir qu'il ne se trouve personne pour financer, les recherches sur le secteur.pitoyable, me semble plus juste. Moi, je propose de lancer un plan de recherche européen, via un site de financement participatif. Oui je sais en theorie, ceux qui investissent ainsi p sont sensé ganger de l'argent si ça fonctionne; Et bien ça peut se concnnvoir via un projet de clinique qui aurait pour mission d'organisr des cures de jeune. ce qui donnerait une forme d'avoir, pour quand on decide de s'y coller.

 Bon sinon moije suis completement bluffée je reconnais;

 J'ai bien noté que ce documantaire a été ficelé aussi  "curieusement orienté vers moi", avec les pieds dans la rivière, et la clinique spécialisée en Siberie.(j'ai une copine là bas).

Bon sinon, en dehors des orientations qui ont été suggérées pour les prochains programmes de recherche, j'ai moi d'autres etudes à soumettre pour donner un eclairage dont je n'ai absolument aucun doute sur le fait que la psychiatrie  compte sur moi pour "lever le lièvre".

 1....Une étude  qui serait oreintée vers les troubles amimentaires. Anoéxie, boulimie mais ausi toutes les autrespathologies.

   Car s'il a été expliqué, que les resultatsétaient paticulièrement spectaculaires, face à certaines pathologies mentales, telle la schizophrénie et la depression si je ne connais pas bien la première, je connais mieux la seconde  qui halas, comme chacun sait fait partiede mon histoire;

  Ors, on sait que le comportement alimentaire, joue un rôle, soit dans le declenchement de la maladie et en devient ventuellement un symptôme, elle est aussi par voie de conséquence par sa modification, un signe de rétablissement.

  Je ne suis pas sûre d'être bien claire, là. je veux dire que les pathologies mentales sot aussi surtout, je pense généralement induites par une cheminement psychologique du patient qui fait qu'il arrive un moment où le cerveau ne suit plus. En ce qui me concrne, parlant de ce que je connais j'ai toujours comparé ça (kla depression) à une forme d'autonettoyage du cerveau.

  Ors si j'ai parfaitement compris que le jeune avait un effet particulièrement bénéfique sur le fonctiionnement des cellules du cerveau également, en plus du reste du corps, cejeune ne peut en aucune façon resoudre à lui seul les causes veritables de la pathologie mentale et que tout au plus, au m^me toitre qu'une serie d'une dizaine de séances d'hypnose, le patient s'en trouvera soulagé..... PROVISOIREMENT.

  ce qui en soit est deja tout à fait profittable et interressant.

   J'en reviens encore à moi, si le fait, d'avoir été soignée de cette façon avait pu m'éviter d'être sous neuroleptiques à très fortes doses à un an d'intervalle pendant deux mois, "c'eût été deja ça de gagné".

 Sur ce point je suis parfaitement d'accord. Imgnons un ados suicidaire. Comment percevrait il ou elle un jeune....

  Et l'anorexie, ça donne quoi ?

 on parle de traiter l'obesité.

  Ha c'est sûr, ne pas manger pendant trois semaines, inévittablement la patiente fond, ça ne fait aucun doute. Excusez moi, j'ai beaucoup de mal à ne pas en rigoler.

   Mais n'importe quel psy vous expliquera que dans le phenomène d'anorexie l'hyper activité et l'euphorie sont des symptômes liés à la maladie et là on va nous expliquer qu'elle fond, et est euphorique,  et que c'est bien la preuve qu'elle va bien,, et que tout se passe bien;

   Visiblement, je pense que ça n'a pas fini de cogiter côté psychiatrie, mais à un point que vous ne soupçonnez pas, car l'euphorie, est quequefois perçue aussi comme un symptôme, alors, je ne vous raconte même  pas, "le merdier, pour  détricotter tout ça".

 Je précise ma pensée.

   Je ne suis pas en train de me moquer, ni de ceux qui y croient, ni de ceux qui n'y croient pas, je dis juste que je pose l'index là celui d'une malade mentale, (officiellement, bien sûr, qu'on se rassure, mdr ), et que j'imagine juste certains patients qui n'ont pas fini de se gratter la tête.

  Je pense notamment à ces femmes (dont je fais partie), qui ont une fâcheuse tendance à l'embonpoint, alors qu'elles ne comettent absolument jamais d'excès (ce qui est mon cas) et qui en plus sont pauvres (ce qui est mon cas).

  Imagnez un peu. Il se trouvera bien un gros connard pour leur dire "et bien dis donc, grosse vache, t'es pauvre et bien écoute, on savait que pour toi c'était mieux ainsi, au moins comme ça, tou bouffera moins. Et tu sais quoi, maintenant, on va même rajouter "c'est bon pour ta santé, ta cure de jeune, tu te la feras à domicile, ça s'appelle OPERATION FRIGO VIDE.

 Excusez moi,si je reagis de façon aussi epidermique mais comprenez bien que je comprends fort bien le probleme, et je trouve effectiivement que la santé dedemain dot absolument integrer cette notion de jeune, pour moi, c'est juste absolument evident;

   Mais si j'oscille entre colère, et une énorme envie de pousser un gros coup de gueule, c'est juste qu'on attend de moi que je bosse "deja", sur les restos du coeur cet hiver, la faim dan le monde, etc...

  Je me demande ce qu'on attend d'ailleurs pour me faire la démonstration, absolument indubittable, du fait, que de dormir à la belle étoile, par moins 20° dans une tente  kechua, est une excellente expérience de vie, qui présente l'énorme aventage, de rendre la peau du cul, trois fois plus douces, et les ratiches plus  blanches !

 

Jeudi 1er octobre 2015.

 Un mail, que je viens de recevoir, suite à cette émission passée, sur ARTE.

L'incroyable force du jeûne

Chère lectrice, cher lecteur,

En mars 2012, la chaîne ARTE diffusa un reportage intitulé « Le jeûne, une nouvelle thérapie » qui connut un tel record d'audience qu'il fut rediffusé en septembre 2013. Le réalisateur, Thierry de Lestrade, publia de plus chez ARTE éditions un livre, du même nom, avec des témoignages supplémentaires et de nouvelles perspectives.

Pourquoi un tel succès ? Alors que le jeûne est habituellement associé à des pratiques religieuses (carême des chrétiens, ramadan des musulmans...), il n'était pas du tout question de Jésus, d'évangiles, ni même de spiritualités. Ce reportage était en effet consacré aux vertus du jeûne dans le traitement des maladies graves, notamment le cancer, et c'est évidemment cela qui explique les succès de ce jeûne nouvelle formule.
 

Jeûne contre médecine conventionnelle

Jeûner pour guérir. Avant tout, précisons que cette méthode thérapeutique est combattue désespérément par le système médical, coincé dans sa bulle « une maladie, un médicament », et qui ne saisit toujours pas les capacités naturelles de l'organisme à se rétablir.

Il est vrai que de nombreux jeûneurs se lancent dans cette pratique en quête de spiritualité et d'absolu. Ils contournent la science et se réfugient dans les néo-religions où les gourous de tout poil sont à la manœuvre.

Toutefois, le sujet intéresse aujourd'hui des scientifiques de haut vol, et même si les financements (il n'y a rien à vendre…) sont inexistants, les résultats sont tangibles, facilement reproductibles, et à la portée de chaque malade.

Le jeûne est en effet adapté à l'ensemble des pathologies du « trop » qui délabrent nos organismes : allergies, rhumatismes, maladies auto-immunes, hypertension, diabète, cancers, dégénérescence cérébrale… Toutes ces maladies ont un lien direct avec l’alimentation ou l’exposition à des produits chimiques.

Il faut avoir conscience de cette intoxication délétère pour accepter de se soigner par le vide, sans écouter les sirènes médicales qui se réfèrent encore à l'obligation vitale d'une alimentation pluriquotidienne, riche en céréales et en produits laitiers.
 

Comment les Etats-Unis ont séparé l'Eglise et le jeûne

C'est au XIXe siècle que des médecins, aux Etats-Unis, se sont penchés pour la première fois sur les vertus thérapeutiques du jeûne, hors de tout contexte religieux.

Il faut dire que le cadre était propice aux médecines douces. Les médecins « cowboys » américains faisaient encore plus fort que leurs confrères européens dans l'utilisation de méthodes fortes pour combattre les maladies. En plus de la saignée, des lavements et des vomitifs bien connus en Europe, la pharmacie du médecin américain était principalement composée de produits extrêmement toxiques : alcaloïdes (opium, apomorphine, digitaline) et sels de métaux tels que le mercure, le plomb, l'arsenic et l'antimoine.

Il ne faut pas s'étonner si c'est là-bas que le public a réagi avec le plus de vivacité aux excès de la médecine dure. Comme nous l'avons expliqué dans une précédente lettre, c'est aux Etats-Unis que l'homéopathie connaît le plus grand succès, avec 12 % des médecins qui la pratiquent au XIXe siècle.

En parallèle, plusieurs médecins s'efforcent de faire connaître les bienfaits du jeûne avec les méthodes de l'époque. Ainsi le Dr Henry Tanner se met en scène pour un jeûne de 40 jours, dans un théâtre de Manhattan, sous la surveillance étroite d'une cohorte de médecins suspicieux qui l'entourent jour et nuit. Son jeûne commence le 28 juin 1880. C'est l'événement de l'année : de nombreux badauds viennent en permanence encourager le jeûneur, tandis que les deux journaux leaders New York Times et New York Herald en font une rubrique quotidienne. Du coup, les journaux de tout le pays embrayent sur cette affaire.

La mesure de poids, de pouls, le rythme de respiration, sont annoncés régulièrement.

Les lettres d'encouragement affluent de toute la terre, et le jeûne se poursuit sans incident jusqu'au 7 août, comme convenu. Tanner a perdu 16 kilos, il est vif et bien vivant, et les mises en garde du corps médical contre les prétendus dangers du jeûne n'effraient plus personne.

Dès lors, et aujourd'hui nous nous retrouvons peut-être dans des circonstances équivalentes, la voie est libre pour aménager des jeûnes au profit d'une population plus importante. De nombreux centres de jeûne voient le jour. L'éditeur MacFadden met en place à Chicago un « Healthatorium », centre de fitness où le jeûne se pratique avec des exercices de sport, des massages et des saunas. En parallèle s'organisent des réseaux de « drugless physicians », des médecins qui ne prescrivent aucun médicament et soignent en appliquant homéopathie, jeûne et manipulations (rappelons que l'ostéopathie fut elle aussi fondée aux Etats-Unis, en 1874, par A.T. Still).

Mais en quelques dizaines d'années, le corps médical est repris en main. Le savoir est verrouillé par le système universitaire avec un monopole de fait sur les « bonnes pratiques », celles que le « bon » médecin doit appliquer, sans quoi il se met en dehors de la profession, au civil comme au pénal…

Le jeûne est petit à petit délaissé pour devenir une pratique douteuse exercée par des illuminés ou des charlatans.

Mais les recherches sur le jeûne se poursuivent, par le plus grand des hasards, de l'autre côté du Rideau de Fer.
 

Le communisme : terrain d'expérimentation exceptionnel

Les régimes totalitaires sont propices aux expériences scientifiques novatrices à grande échelle, car ils instaurent à la fois :

  • une pénurie de moyens et de compétences, qui fait qu'on est obligé de chercher des solutions plus efficaces et moins chères ;

  • un système hiérarchique implacable, qui fait qu'une initiative « dans la ligne du parti » sera appliquée sans discussion et parfois sur des populations importantes et de longues durées. De quoi acquérir des résultats tangibles.

Des expériences en Union soviétique ont ainsi montré que le jeûne agit vraiment « à la base » de l'organisme pour rééquilibrer de nombreuses fonctions essentielles.

Le médecin Youri Nikolaiev est désigné en 1955 pour soigner l'alcoolisme forcené du fils d'un dignitaire du Parti, Nicolai Boulganine. C'est un sujet difficile qui a mis en échec de nombreuses équipes médicales ayant eu recours à la pharmacologie existante. Grâce au jeûne, il est débarrassé en trois semaines de son addiction, à la grande satisfaction de son père, qui ouvre la porte de plusieurs services à cette nouvelle thérapie.

Nikolaiev peut alors expérimenter le jeûne auprès d'autres catégories de malades. Il observe des résultats étonnants chez les dépressifs suicidaires, qui se sentent rejetés et dévalorisés au sein de leur groupe ou de leur famille. Au bout de deux semaines de jeûne, les voici généralement moins inquiets et plus intéressés par leur environnement et leur assiette.

Il en est de même des angoissés et des personnes atteintes de TOC (troubles obsessionnels compulsifs) ou d'enfermement psychique. Gavés de neuroleptiques et vivants dans une bulle, quelques semaines de jeûne leur permettent de revenir à des rapports sociaux normaux. Les taux de neuromédiateurs (adrénaline, acétylcholine) se normalisent, ainsi que les rythmes cérébraux.

Il met toutefois en évidence un critère fondamental de succès : le consentement des patients. Souvent, pour faciliter la démarche, Nikolaiev exige que les médecins jeûnent eux aussi au côté des patients.
 

Asthme et hypersensibilité

Ces maladies « modernes » étaient déjà bien répandues en URSS dans les années 50. Les malades, comme en Occident, avaient leur dose de ventoline (bronchodilatateur) et de corticoïdes. Des médicaments qui soulagent un temps avant de devenir inefficaces, voire délétères. Or, il y avait de nombreux asthmatiques parmi les patients en psychiatrie et on s'aperçoit que leur respiration s'améliore encore mieux que leur faiblesse psychique.

Le jeûne se transporte dans des services de pneumologie et un médecin comme Serguei Osinine peut se prévaloir de plus de 10 000 patients soignés par le jeûne, avec plus de 50 % de succès tangibles (reprise du travail) pour des malades qualifiés d'invalides. Il observe qu'au bout de 12 jours, les mastocytes, ces cellules immunitaires bourrées de médiateurs de l'inflammation (histamine, prostaglandines, leucotriènes et enzymes protéolytiques) se transforment et digèrent littéralement leur contenu. C'est un individu nouveau, en meilleure santé, qui semble renaître.

Avec la Perestroïka, c'est la fin du système de soins gratuits. Les cures deviennent payantes, les hôpitaux se doivent d'être rentables, il faut vendre des médicaments – une belle page de la médecine est tournée.
 

Le jeûne mal vu en Occident

En Occident, la pression médiatique et médicale a réduit le jeûne à un quasi exercice physique dévolu aux hurluberlus du new age. Et la menace des accusations de sectarisme refroidit bien des initiatives.

En Allemagne, cependant, ainsi qu'en Suisse, plusieurs lieux de jeûne en milieu médicalisé fonctionnent en permanence. C'est le cas de la clinique Buchinger à Überlingen qui a développé sa propre méthode, à base d'eau, tisanes, jus de fruits, bouillons de légumes, tandis que d'autres pratiquent le jeûne hydrique (eau uniquement) [2].

Le réalisateur du reportage d'ARTE y a rencontré des praticiens convaincus et des « malades » en pleine santé, dans les domaines les plus divers.
 

Hypertension

Pour l'hypertension, les résultats sont visibles au bout de quelques jours : triglycérides et cholestérol se normalisent, et la tension se restreint à des normes correctes, ce qui permet d'arrêter les prises de bétabloquants.
 

Goutte

Pour les maladies d'accumulation comme la goutte, il en est de même, et les résultats sont généralement acquis, au prix d'une hygiène de vie très bien acceptée.
 

Diabète de type 2

Dans le cas du diabète de type 2 (baisse de l'efficacité de l'insuline), la mise en route d'un jeûne fait immédiatement baisser le taux de glucose du sang, ce qui met au repos le pancréas, et permet aux cellules de retrouver une sensibilité normale à l'insuline. Là encore, les médicaments peuvent le plus souvent être mis de côté, avec des principes alimentaires plus naturels. (la suite ci-dessous)
 

Annonce spéciale

Ils n'ont plus le diabète !!!

Il existe un régime alimentaire expérimental qui a permis à ceux qui l'ont suivi de se débarrasser définitivement de leur diabète.
 

 


Suite de la lettre de ce jour :
 

Dépression

Concernant les « malades de l'humeur », les résultats en Allemagne confirment les études soviétiques. A condition de les débarrasser de leur carcan chimique, les malades retrouvent un esprit positif, avec les changements hormonaux correspondant : hausse du cortisol au petit matin, de la dopamine dans la journée, et de la sérotonine le soir, baisse de l'insuline et des hormones thyroïdiennes. L’efficacité à long terme dépendra en revanche des causes initiales de la dépression.
 

L'étrange découverte du Dr Valter Longo

Il y a bien quelque chose qu'une diète sévère fait changer dans nos organismes, mais quoi ?

C'est la question à laquelle s'est attelée un chercheur américain désormais célébrissime : Valter Longo. Il commença par imposer des jeûnes très sévères à de simples levures de raisin et s'aperçut qu'elles étaient nettement plus vigoureuses lorsque, après quelques mois, elles se retrouvaient dans un environnement de croissance favorable.

Ils réitéra son expérience en comparant des souris ayant jeûné à des souris bien nourries. Exposées à des médicaments de chimiothérapie (l'étoposide), le résultat fut sans appel : les souris ayant jeûné sont à quasi 100 % des survivantes, contre 35 % dans le groupe de contrôle [3].

Mieux, il constate que le jeûne protège les cellules saines contre les effets délétères de la chimiothérapie, mais pas les cellules cancéreuses qui, elles, restent sensibles au poison et continuent à être détruites normalement [4].
 

Des résultats largement ignorés par la communauté médicale

La publication des travaux de Longo fait grand bruit dans les médias mais reste sans écho dans les congrès professionnels où se préparent les traitements de demain.

Aujourd'hui, les oncologues (médecins spécialistes du cancer) restent arc-boutés sur deux idées force :

  • Les malades qui subissent des radio/chimiothérapies sont en état de faiblesse, donc il faut les nourrir à tout prix ;

  • Le cancer est dû à une modification structurelle des gènes des tissus tumoraux, sans retour possible à leur expression normale.

Or, on constate qu'après 48 heures de jeûne, un grand nombre de gènes modifient leur expression. Certains se mettent en veilleuse, d'autres se mettent en route. On note en particulier un ralentissement brutal de la machinerie dévolue à la division cellulaire : les cellules cancéreuses cessent de se multiplier à la même vitesse.

De plus, on note un ralentissement de la production du facteur de croissance IGF-1, qui est un puissant stimulant du développement des tissus en général… et des tumeurs en particulier.

Il est donc particulièrement regrettable que la piste du jeûne ne soit pas suivie avec plus d'intérêt par la majorité des médecins.

Pour finir, voici quelques précautions à avoir en tête avant de commencer un jeûne :

  • Pendant le jeûne, l’organisme perd de la masse grasse mais aussi de la masse musculaire. Or le système immunitaire utilise les protéines des muscles pour créer des cellules tueuses naturelles qui luttent contre les tumeurs et les virus. Le jeûne est donc déconseillé aux personnes qui ont trop peu de masse musculaire car elles risquent de voir leurs capacités immunitaires se réduire.

  • Les personnes qui souffrent d’une maladie hépatique ou rénale chronique devraient prendre un avis médical avant de commencer un jeûne.

  • Et surtout, pour les maladies auto-immunes, le jeûne ne permet pas une guérison à long terme sans une modification en profondeur des habitudes alimentaires, et en particulier la suppression des céréales à gluten et des produits laitiers [5].

Face aux réticences de la communauté médicale, je suis convaincu que le changement viendra par la base, lorsque les patients réclameront massivement de bénéficier des plus récentes avancées de la médecine, surtout lorsque celles-ci sont… naturelles.

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis, avec Effervesciences

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Sources :

[1] Forte hausse de la consommation alimentaire en Tunisie pendant Ramadan

Consommation alimentaire durant le ramadan En hausse, selon une étude de l’UGCAA

[2] Voir la liste des établissements en Allemagne

[3] Le jeûne protège les cellules saines des souris contre la chimiothérapie

[4] Starvation-dependent differential stress resistance

[5] Julien Venesson, Gluten, comment le blé moderne nous intoxique, Thierry Souccar Editions, 2013.

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Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie

Santé Nature Innovation est un service d'information gratuit de SNI Editions. Pour toute question, merci d'adresser un message à contact@santenatureinnovation.com

Dimanche 4 octobre.

Le jeune sous l’angle spirituel, ou religieux.

   J’ai déjà eu l’occasion de parler, de cette pratique, à plusieurs reprises.

   A l’heure, où la faim dans le monde, sous l’éclairage du phénomène migrant, devient de plus en plus préoccupant, en occident, ce dernier, est pratiqué, pour diverses raisons.

  J’ai déjà parlé du jeune thérapeutique, c’est ici :

http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/blog/sante-ni-cafe-mais-si-possible-avec-humour/le-jeune-therapeutique.html

    Pour ma part, j’ai toujours été particulièrement méfiante, vis-à-vis du jeune, en ce qui concerne, notamment, le fait  qu’il soit prescrit dans un contexte religieux.

   J’émets les mêmes réserves, en ce qui concerne, les interdictions, ou recommandations, d’ordre alimentaire, y compris, le mode d’abattage, des animaux destinés à la consommation.

   Ce qui m’interpelle, n’est rien de moins, que de déplorer le sacré paradoxe, qui consiste à voir les religieux, soit prendre le pouvoir, soit, vouloir peser, le plus lourd possible, en politique, au point, de se confondre véritablement, avec ce dernier…..

   S’il veulent le pouvoir, qu’ils tentent déjà dans un processus démocratique, d’encourager, l’agriculture, pour que les populations, puissent se nourrir….

   Ceci est une boutade, je précise, je sais fort bien que certaines religions ont toujours eu cette sagesse, là, alors, que l’Islam, jusqu’à preuve du contraire, n’a jamais été capable, de parler agriculture, ce qui est bien la preuve qu’on est bien loin d’un contexte de bienveillance…..

   Je n’ai pas , moi, à détailler, les raisons, profonde, qui ont pu généré, le désir, de chaque religion, d’avoir recours au jeune…. Ça n’est pas mon travail, et surtout, pas mon désir.

   Je connais une femme, Rika Zaraï, pour ne pas la nommer, qui avait prétendu, elle, que le fait, que chaque religion du livre ait préconisé le jeune, était bel et bien une indication, du fait, que ce soit, quelque chose, de bon, et de salutaire….

 Loin de moi, le désir, de remettre en cause, sa bonne volonté, qui était réelle.

 Mais c’est précisement, par cet argument, que moi, je m’en éloignerai, toujours.

   Je reconnais, qu’un jeune,  d’une journée, une fois par semaine, par exemple, ne peut pas faire de mal, si l’on est dans un contexte psychologique sa satisfaisant.

   Je reconnais, que le jeune, doit faire l’objet d’études, sur le plan clinique, fce à certaines pathologies, pour moi, c’est véritablement, une évidence. Les travaux qui ont été faits  en Russie,  sur ce point, sont tout à fait interpellant,  et si j’ai déjà donné des pistes de recherches, j’en donnerai d’autres…

 Mais  hier, nous avons eu un autre éclairage, interpellant, relativement, à des stages de « jeune et randonnée ».

   Une fois le stage fait, et les analyses faites, le médecin, qui lui n’était ni pour  ni contre, n’a absolument pas été convaincu.

   En  fait, l’image que j’a moi, du jeune, de façon générale, relativement  à sa prescription religieuse, et donc, spirituelle, était plutôt d’imaginer, que les raisons ancestrales, auraient été de expérimenter, dans son propre corps,  le sentiment de faim, et d’ainsi, mieux comprendre, ce que la faim, peut être source de souffrance  vis-à-vis d’autrui….

   En somme, une forme d’altruisme religieux, qui aurait été ainsi programmé, par les religieux, qui en auraient fait, de cette façon, un rite, « utile ».

 Oui, je sais, je suis une grande naïve, ce qui me fait sourire ce matin, c’est que j’ai la quasi certitude, que les religieux, eux m^me, ont très probablement, une explication, toute autre, que la mienne.

   En fait, cette idée, venant de moi, n’a jamais servi à autre chose, qu’à chercher à comprendre, et pour dire vrai, «  j’ai pas trouvé mieux » .

  En fait, ce qui me fait rire, ce matin, c’est que sous éclairage, du repartage, hier, et selon les constatations, du médecin, regardant les analyses, au bout d’une semaine, le sentiment, que j’ai à présent, et qui ne fait, que conforter celui, que j’avais déjà, quand j’ai vu, le reportage sur le jeune thérapeutique, en Russie, c’est que le coté psychologique, est infiniment plus important, que le côté physiologique…..

   Ainsi, quand on fait un jeune d’une semaine, en groupe, comme dans les stages, de « jeune et randonnée », on choisit, de le faire, au départ, parce qu’on pense qu’on en a besoin.

   Le véritable effet du  séjour, est bien plus, le fait, de changer, d’espace, de contexte social, et d’activité, que le jeune en lui même…..

  Alors, je repense à mon idée de départ, au sujet  du fait, que les religions auraient imposé  le jeune, pour l’expérimenter  dans son corps, et donc, être mieux à même de comprendre la sensation de faim, « par altruisme »….

    Et le croisant, avec le contexte psychologique, je réalise, à quel point,sous l’angle religieux, imposé, qui plus est, c’est d’une remarquable connerie, et intellectuellement, parfaitement indéfendable.

 Je m’explique…..

 Imaginez, que vous avez envie, d’expérimenter, le jeune ? vous là, qui me lisez.

 Selon votre histoire personnelle, la place, qu’a pris, la cuisine, dans votre vie, le plaisir, que vous ayez trouvé, ou pas, à cuisiner.

   Selon, qu’un souci, d’ordre psychologique, vous ayez, eu dans votre vie, comme réflexe, de manger plus, de façon inconsciente, ou de manger moins, « c’est selon », comme on dit.

   Selon, que vous avez été rond (ronde), selon, que cette situation, ait été générée, par tel fait, ou pas,selon qu’on vous l’ait reproché, ou pas, selon, le fait, que vous ayez réussi à maigrir, ou pas, de façon, pérenne, ou pas, et que donc, vous décidiez, de faire ce jeune, la façon appréhender psychologiquement, la période de jeune, sera diamétralement, différente……

 Ce que je cherche à mettre évidence, n’est rien de moins, que le fait, que le jeune, ne peut être salutaire, que dans la mesure, où le contexte psychologique, est favorable, et qu’il a été validé, par un médecin, en amont…..

 J’ai vu ce reportage, sur  « jeune et randonnée »….

   Et si je me dis que pour certains, c’est bien, bon, ok… Chacun s’impose les tortures qui l’arrange, soyons clairs…..

   Excusez moi, je crois que c’est mon estomac vide, ce matin, qui aiguise mon sens de l’humour, mais je dois dire que voyant ce reportage, hier, (mon ventre n’était pas vide), et les voyant boire, ce truc infecte, j’ai pu faire autrement que de rigoler, je me suis dit « putain, si c’est pas bon, ne buvez pas  pas ! Mais quels cons !).

 Je veux dire par là, qu’il ne fut pas me demander de militer, contre la faim, dans le monde, et m’imposer, de parler du jeune, comme ça, sans en attendre, autre chose, qu’une cris de fou rire….

 Car enfin, si vous avez d’un jeune, soyons, clairs….. SOYEZ PAUVRES…. Et puis voilà, comme ça, au moins, es choses sont claires….

   Ce qui je crois a enfoncé le clou, c’est le montant du stage, alors, là, je dois dire qu’on touchait le summum.

  Certes, je n’irai die que ces personnes, sont des escrocs, ça n’est pas ça, mon propos….

 Sur le côté detox, par contre, je pense que le médecin à tort.

   L’appareil g digestif, a tout à gagne, d’être quelquefois, mis au repos, pour une forme de nettoyage mais comme il le dit si bien, 24h, suffit largement, et c’est aussi mon point de vue.

   Je ne dis pas que le jeune, sur le plan thérapeutique, sot nul, ça n’est pas ça, mon propos, bien au contraire.

   Je dis juste que le contexte psychologique, pèse infiniment plus lourd, qu’on ne le soupçonne, ça, pour moi, c’est une évidence.

   Ce contexte psychologique, est de toute façon parfaitement connu, relativement  aux troubles  de l’alimentation, anorexie, et boulimie.

    En fait, ce qui moi, m’irrite, à la base, c’est que je soupçonne, que certaines personnes, en pratiquant  ces stages, ne fassent qu’occulter, d’autres problèmes, qu’il refusent de regarder en face.

 De façon générale, il existe des phénomènes de mode, relativement, à l’alimentation….

   On constate certaines choses, certains faits, sur son corps, certains troubles, et beaucoup prêchent, pour des méthodes miracles, le jeune en fait partie….

  Je serai curieuse de savoir, considérant le fait que le certificat médical, ne soit même pas demandé, comment les responsables, du stage, réagiraient, si un postulant, est extrêmement maigre….. Ou bien qu’il soit, au contraire, atteint de surcharge pondérale…..

   Comment ils réagissent, si, le postulant, ne vas vraiment pas bien psychologiquement….. Son argument, pouvant être qu’il vaut tester. Bon, et puis après ?

   Je veux dire, que pour moi, « c’est bien léger », je suis désolée, « c’est bien léger ».

 Sinon, sur la pratique du jeune, sur le plan thérapeutique, compte tenu  des expérimentations qui ont été faites  en Russie, sur le sujet, je pense qu’il faut vraiment fouiller, sur ce point, car il semble bien que le jeune, dans un contexte particulier, et encadré, soit source de certaines guérisons, qu’on n’aurait pas soupçonnées, auparavant.

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