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Le dépression, les plantes plus douées que les psys ?

Le 24/01/2016

Dans SANTE NI CAFE mais si possible avec humour.

"La dépression est pour moi une des pires maladies. Elle vous prive de l’envie de vivre".

 Comment peut être medecin, est sortir une connerie aussi énorme ?

 Au contraire, je pense moi, aussi étrange que ça puisse paraitre, que la depression est la maladie mentale, la moins inquiétante, car la plus guerissable, de toutes les maladies mentales.

 Que ce soit probablement la plus difficile à gérer au sein d'une famille, ou bien au sein d'un couple, encore, je peux l'entendre.

  La raison première pour laquelle c'est la plus difficile à gérer repose sur ses origines, qui recèlent la méthode thérapeutique, qui va consister à comprendre la maladie, afin de trouver le chemin intérieur, pour parvenir à la guérir.

  La seconde raison pour laquelle ce soit la plus destabilisante, réside, dans le fait, qu'au sein même de cette maladie bien réelle, se trouve nichée, une multitude de causes, qui ne sont éventuellement, rien d'autres que les symptômes de la famille en question, ou du couple, ou en relation, avec un traumatisme quelconque, relatif au passé du patient.

  C'est pour cette raison que cette maladie est aussi tabou, c'est que c'est le signe, non pas d'une faiblesse de la personne, qui devient donc, un patient, ou une patiente, mais met l'accent, sur le fait que cette depression, elle ne s'est pas fabriquée toute seule.

 Je regardais ce midi, 13H15 sur France 2,

http://www.lezappingdupaf.com/2016/01/sainte-anne-les-soigneurs-de-l-ame-dans-13h15-le-dimanche-ce-24-janvier-sur-france-2.html

 (Je reviendrai sur l'émission, ailleurs).

  Avec le service d'urgence psychiatrique, à sainte Anne, à Paris, et une jeune fille avait été admise, amenée par son père, qui l'avait fait interner, parce qu'elle petait les plombs... PREPA, il n'y guère de doute, helas, que cette jeune fille, avait de bonnes raisons, pour faire "prepa", comme papa, aussi, le fait d'exiger toujours plus, de ses enfants, ou plus précisement, d'exiger qu'ils soient conformes à nos desirs, constitue t il, une cause assez fréquente, de pétage de plombs, chez les jeunes gens et donc, aussi, de conduite à risque, soit dit en passant.

 On n 'élève pas des enfants, pour qu'ils deviennent des adultes conformes à nos désirs, mais pour qu'ils deviennent ce que eux, ont envie de devenir, ce qui est différent.

 Définir, dans quel poucentage, ces  causes sont liées à la famille d'origine, au couple, ou à n'impote quel autre cause est abslument impossible, puisque par définition, chaque être humain est singulier, et donc, l'est tout autant par son cheminement, et les causes, qui l'ont amené à cette depression.

 Ensuite, "elle vous prive de l'envied e vivre", c'est plutot subjectif, comme definition, parce que certains qui ont connu cet enfer, n'ont absolument jamais eu envie de mourir. ce qui est mon cas.... Au pire, "une terrifiante mauvaise passe".

 D'autre part,  il est parfaitement connu que certaines dépressions, extrêmement violentes, dans un delai très court, peuvent amener au suicide, alors, que donc, aucun signe y compris, de l'interieur, pour le patient, n'avait été décrypté, ou en tout cas verbalisé, et donc, pouvant inquiéter l'entourage, qui alors, aurait reagi, peut être.

  Le problème est que cette dernière s’installe souvent progressivement. Au départ, vous vous sentez simplement triste, mélancolique, fatigué. Vous pensez que votre état est normal, passager : « chacun connaît des périodes de haut et de bas », pensez-vous.

 Mais votre état bientôt s’aggrave et vous finissez par perdre toute joie de vivre et même tout attachement à la vie.

Votre vie devient un enfer, mais vous pesez aussi lourdement sur le moral des autres. Votre entourage souffre, il est entraîné lui-aussi dans l’enfer de la maladie.

Car il s’agit bien d’une maladie, aussi clairement que le rhume, la grippe ou le cancer. On attrape la dépression comme un virus ou un microbe.

 Bon, là, encore, une énorme connerie, non, on n'attrape pas une dépression, comme on attrape une autre maladie, il s'agit effectivement, d'une maladie, une maladie mentale, mais de là, à tenir de tels propos, c'est juste parfaitement mensonger.
 

   Ce que je trouve malhonnête, dans cette posture, réside dans le fait, que faisant passer la depression, comme une autre maladie, consiste à vouloir déresponsabiliser le patient, ainis que son entourage, relativement à son rôle actif, pour guerrir......

  C'est aussi con, que de dire à un accidenté, que pour remarcher, il lui suffit de rendre ses petites boules roses !


  Mais beaucoup de personnes frappées par la dépression refusent de reconnaître qu’elles sont malades. C’est un immense problème, c’est même sans doute l’obstacle principal au traitement de la dépression.

    Oui, ça, c'est vrai, mais ça n'est pas de cette façon, et selon ce discours, que les choses risquent de changer, la honte elle est bien réelle, et se trouve généralement parfaitement liée aux causes qui l'ont générée, telles que le manque de confiance en soi, la culpabilité relativement à des échecs passés, et non digérés, ou des traumatismes, qui n'ont eux aussi, pas été traités, des deuils qui n'ont pas été fait, et quelquefois, des blessures, bien plus anciennes, remontant à plusieurs générations, que notre inconscient, traine, avec lui, ou elle.

 Ce qu'il faut dire, aux personnes, qui souffrent de depression, c'est la chose suivante.

    Pour commencer, et ça, c'est une certitude, c'est que les causes, qui génerent une depression, ne sont dues que pour un relativement faible pourcentage, de sa responsabilité. En effet, bien plus souvent, ces personnes, uniquement, parce qu'elle sont hyper sensibles, perçoivent et se retrouvent encombrées de souffrances, qu'elles ont glanées, de façon parfaitement involontaire (c'est pourquoi, elles ne sont pas responsables), et doivent les porter.

  Simplement, parce qu'elle n'ont pas le choix !

 C'est exactement comme si vous deviez porter les emmerdements, de vos parents, grand parents, arrières grand parents, quelquefois, frères et soeurs, amis, etc, qui se sont confiés à vous, malgré vous, et que vous ayez du les porter, il est donc, parfaitement comprehenssible, qu'à un certain moment, cette situation, devienne juste parfaitement invivable, et ce, à plus forte raison, si l'on a soit même une histoire, qui n'a rien à voir, et qui pour des raisons plus personnelles, est aussi douloureuse.

  Savoir toutes ces choses, sur le depression, est de la plus grande importance, parce que ça ôte une grande part, de responsabilité. Ors, la depression fait son nid précisement, dans la culpabilité, toutes origines confondues.

  D'ailleurs, des les premières seances, chez le psy, son premier travail, une fois passé quatre ou cinq seances, à poser un diagnostic, une forme d'etat des lieux, va consister à amener le patient, à prendre conscience du fait, qu'il n'a pas à porter ces responsabilités, car pour que ce soit vraiment efficace, l'objectif, est de l''aider à en prendre conscience lui même, et non le lui dire, ce qui serait d'une efficaité bien moindre.

   Ce qu'il importe de savoir, et ça, bien peu le disent, je comprends le milieu des psys, sur le sujet, mais les patients, qui eux, comme moi, s'en sont sortis, sont bien peu locaces sur ce sujet, qui consiste à expliquer que de faire un travail thérapeutique  ne nécessite aucune capacité intellectuelle, mais juste le besoin visceral, d'admettre, qu'on a grandi avec d'énormes oiullères, qu'on nous a imposées, qui ont obstruée notre vue, et notre perception des choses, qu'on detient tous, en soi, des dons insoupçonnés, comme autant d'outils, qui ne demandent qu'à être utilisés, pour se fabriquer comme dit Michel Drucker, (un de mes papas de télé), ses propres béquilles.

  Quelque soit les emmerdements, qu'on ait pu croiser dans sa vie,  qu'ils soient récents, ou plus anciens,  je suis absolument persuadée moi, qu'au moment du traumatisme, quand il y en a un de particulier, le cerveau, lui, met en route, un processus, qui sert à fabriquer, ces béquilles.

  Un peu comme un oeuf, qu'une poule inconsciente aurait pondu, et le travail du psy consiste  justement, à amener le patient, vers cette renassance. on ne change pas pour autant, on devient plutot plus riche, d'avoir transformé, de façon positive, ce qui nous empoisonnait. On est alors, la même personne qu'avant, mais enrichie.

 Et ce travail, celui dont je vous parle, ne peut en aucune façon, se faire autrement que par la parole,  face à quelqu'un de competent, et bien intentionné,  à intervalles régulier.

  Vous trouverez dans ce numéro de Plantes & Bien-Être la liste des symptômes caractéristiques de la dépression : si 5 à 7 d’entre eux vous correspondent, il est probable que vous souffrez de dépression légère.

Il n’y a aucune honte à avoir.

Et il ne faut surtout pas vous inquiéter. Au contraire, c’est une bonne nouvelle de reconnaître la réalité : « Notre corps aime la vérité » disait magnifiquement le Dr David Servan-Schreiber. Or vous allez voir que la phytothérapie (médecine par les plantes) est LE traitement à privilégier systématiquement, car ses solutions sont efficaces [2].

 Bon, les conneries, ça suffit, à présent.

   Il n'existe aucun médecine douce, qui puisse pretendre être plus efficace que la parole, et j'ose l'affirmer, devant un professionnel, dont c'est le métier, et pas un guignol, qui joue les apprentis sorciers, et qui peut faire plus de mal encore.

Des plantes contre la dépression ? Encore beaucoup de personnes considèrent que soigner la dépression par les plantes ce n’est pas crédible.

 Ha, mais ça n'est pas que ça ne soit pas crédible, c'est juste parfaitement mensonger ! Ce qui est infiniment plus grave, encore.

 En effet, les depression, il en existe des types bien differentes, ces depressions, seuls de veritables professionnels, sont aptes, à les soigner,  de façon durable....

   Car il est là, le problème, en fin de compte, c'est ce que pratiquent les dérives sectaires, ou le Front National, faire croire à un patient, ou une patiente, que les médecins, sont des charlatants, des vendeurs de médicaments, et que leur mal "n'est pas si compliqué".....

 le message subliminal, c'est donc, "evitez de penser, et suivez notre chemin".....

 Mais de quel chemin, parlons nous, dites moi ?

 Vous savez, comment travaillent les recruteurs, qui foutent le grapin, sur des ados, qui sont en deroute, pour le djihad ?

 Et bien précisement, de cette façon, en posant l'index, sur un malêtre, un probleme existentiel, justement, exactement simillaie, aux questionnement, qui ne va pas manquer, pour faire face à une depression.....



Mais c’est pourtant la science qui le démontre, à partir d’une analyse qui, vous allez le voir, est extrêmement rigoureuse.

Vous excuserez le côté un peu « technique » de mon propos, mais il est indispensable pour comprendre comment les plantes peuvent agir effectivement sur notre moral, en régulant les neuromédiateurs cérébraux (sérotonine, dopamine, noradrénaline).

 Oui, mais ça, je ne nie pas, mais ça n'est pas de depression, dont il est question, mais uniquement, de dprime, ce qui n'a rien à voir, justement.

   Le problème réside, dans le fait que la depression véritable, elle, généralement, a deja envoyé des signaux, depuis des années, ces signaux, se sont les symptômes qui sont décrits, ils sont apparus, un peu, comme des signaux lumineux, qui disaient un peu, comme une petite sonnettes, généralement, à la poussée des feuilles, ou la tombée des feuilles "attention, danger, il va falloir faire le grand nettoyage".

 Moi, aussi, j'ai fait ça, d'accord ? Et par des médecins, de médecine douces, parfaitement compétents, je le précise.

Et puis un jour, ila bien fallu que je me rende à l'évidence,  je devais affronter mes demons interieurs, et les faire taire à tout jamais, ça m'a pris des années, c'est vrai, mais j'ai reussi, et j'en suis fière.

 ABSOLUMENT AUCUNE AUTRE METHODE QUE LA PAROLE NE PEUT AMENER A UN TEL RESULTAT.

Les chercheurs avaient en effet déjà constaté de faibles niveaux d'un produit du métabolisme de la sérotonine, l'acide 5-hydroxyindoleactique (5-HIAA), chez les personnes en proie à la dépression.

 Moi, pour soigner le mal "profond", je précise, je n'y crois pas une seule seconde.

De la même façon, on a trouvé une faible concentration en dopamine dans les synapses (zones de contact et de transmission de l’influx nerveux entre deux neurones) dans les dépressions de type mélancolique, état où l’on constate une baisse de l’activité motrice, de la motivation et de l’initiative.

La noradrénaline, en concentration insuffisante, est associée à des comportements de détachement social, caractéristiques de l’état dépressif.

Vous allez découvrir que quatre plantes médicinales sont reconnues comme ré-équilibrantes des neuromédiateurs déficitaires impliqués dans la dépression :
 

  • Sur la sérotonine : safran, griffonia et millepertuis ;
     
  • Sur la noradrénaline : millepertuis ;
     
  • Sur la dopamine : pois mascate.
     

La rhodiole est également efficace en période de burn-out et semble constituer un excellent traitement alternatif de la dépression, d’après une étude récente publiée dans la revue scientifique Phytotherapy par l'école de médecine de l'Université de Pennsylvanie.

 Le meilleurs remede au "burn out", réside, dans le fait de trouver une stratégie, pour s'en protéger, ou changer s  d'activité, et pas en avalant des trucs, c'est juste complètement con !

Vous trouverez dans le dossier de Plantes & Bien-Être un tableau de synthèse permettant d’identifier la plante la plus adaptée en fonction des différentes situations (stress, dépression apathique, dépression réactionnelle etc. ). Avec, à chaque fois, la forme de la plante à privilégier, la posologie, et les points d’attention à suivre scrupuleusement lors du traitement (par exemple ne jamais associer de médicament avec la prise de millepertuis, éviter certaines plantes chez la femme enceinte etc.).

 En gros, allez voir un homéopathe, et ne jouer pas à l'automédication, avec ces plantes, je vous prie.

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