En fait ce soir je me rettrouve face à un probleme exitentiel qui consiste à parler d'un sujet grave, alors que moi je n'ai mais alors absolument aucune envie, d'être serieuse;
Et ça tombe bien puisqu'n va parler de caca.
Oui, je sais, je dois aussi parler de toilettes sèches mais enfin, ça sera dans un autre sujet.
Là, je veux parler de gluten parce que moi j'ai un souci, sur ce point.
J'ai toujours eu un e terrain à digestion difficile c'est comme ça. Ma vesicule billiaire est un peu feniante. j'ai pluto le sentiment de plutôt "manger bien"et je précise pour ceux qui n'auraient pas saisi que je n'ai pas dit "bien mangé" ce quia une autre signification.
Vous me direz "en quoi, ça consiste".
Vu mes faibles moyens, je vais au moins cher, et je tente toujours de manger locavore le plus possible. Je fais mes courses chez ALDI, parce qu'ils ont tout compris. (ne me remerciez pas pour le slogan, c'est gratuit, je ne suis pas à ça près).
Pour les produits qu'ils n'ont pas parce que trop spécialisés, je vais à champion.
J'en profite pour y acheter lmes galettes de riz, ma farine de sarazin, maïzena, sucre roux, etc.
Mon coach et ALDI, se debrouillent souvent pour que je trouve en promo des trucs que je voudrai, mais que je ne pourrai pas acheter, autrement. ¨Pour Champion, c'est pareil, je teste des prduits, qu'ils expermentent, souvent, et quelquefois, je donne mon avis. Ils sont en promo en bout de rayon, faut fouiller, et être curieux.
Pour la viande j'en achete peu pour commencer à cause de mes faibles revenus. Mais pour être franche, ça ne me manque pas plus que celà.
"Manger bien" pour moi, qu'est ce que ça signifie ?
Manger quasiment uniquemeent, des produits bruts, que je cuisine systèmatiquement moi même. Je dois ne manger environ que 3% de pri oduit cuisinés...
C'est u choix, que j'ai fait depuis plusieurs années pour la simple raison, que je considère que le fait de préparer à manger fait partie intégrante du repas.... Et qu'on a il me semble, une relation plus saine avec l'alimentation, quand on la cuisine véritablement. Je cultive un peu de légume aussi, mais bien peu. Sinon, quand c'est possible, pour moi c'est un principe de vie.
J'ai décidé il y a pas mal de temps aussi, de supprimer non pas les laitages entièrement, mais uniquement le lait. Le fromage, j'évite aussi, mais je ne supprime pas, parce que je considère que c'est un plaisir. le vin, j'ai envie 'apprendre. Mais seul, j'aurai l'air con, alors c'est pas la peine.
Faut juste que ja passe très vite devant le Conté, parce qu'une fois entamé le morceau, il ne fait pas une heure.
"Prosodie quand tu nous tiens".
Et pour le gluten precisement et bien je ne mange plus de pain du tout quasiment.
J'achete de la farine de sarazin et je fais mes galettes. j'en afais 4 par repas, (petites enfin moyennes), je les fais à chaque repas, pour ne pas être tentée d'en manger plus.
Il m'arrive d'être tentée par une baguette, alors je me fais plaisir.
Excusez les details, mais pour une personne qui n'est pas allergique selon les nalyses je ne pense pas qu'avec un repas equilibré et 10 m de baguette le matin preil le midi au gouter et au soir d'aller à la selle, 6 ou 7 fois dans la journée ce soit normal......
Alors, oui, je sais, ça emmerde (c'est le cas de le dire) bien les medecins, quand je raconte ça, ça les emmerde simplement parce qu'il refusent d'admettre la vérité.
Le gluten est un véritable problème de santé publique, n'en déplaise aux indutries céréalières.
Je suis responsable du fait, que dans les boulangeries aujourd'hui, les gâteaux indivuduels soient plus petits pour qu'il coûtent moins cher (un euro). Et j'en suis fière. C'est pas parce qu'on est trop rond, ou ronde, qu'on n'a pas le droit de se faire plaisir, sans pour autant s'empiffrer d'un truc énorme.
Mon boulager m'a dit que de faire du pain avec des céréales ancestrales, ça posait un problème... Mais j'ai vu, qu'il se fait livrer sa farine en sacs... Alors....
Vrai ou faux ?
Moi, je dis qu'en revenant à les céréales ancestrales, qui seraient de meilleure qualité, et qui seraient donc garanties par un label, le gluten, alors, serait mieux assimilé et ne poserait plus que moins de problèmes, ou plus de problèmes pour les intolérants comme moiau minimum et peut être m^me que certains llergiques avec le temps, parviendraient à rééduquer leurs intestins.
Il serait bon aussi, que le boulagers ainsi que les magasins fassent des fforts pour proposer differents types de farine comme la farine de chataignes, qui est juste excellente, notamment en patisserie.
Quand vous cuisinez, il faut melanger plusieurs farines, moi je le recommande.
Sinon, j'ai acheté hier de l'huile de colza, parfumée à l'huile de noix.... J'ai trouvé ça très bon.
Dimanche 6 mars 2016.
https://mrmondialisation.org/ce-boulanger-qui-luttait-contre-le-pain-moderne/
En cours de commentaires.
La mode du sans gluten.
Depuis plusieurs années, nous assistons à cette mode, qui incite à ne manger que des aliments sans gluten.
Les industriels de l’agro alimentaire, eux, se frottent les mains.
J’ai déjà eu l’occasion de parler de ce problème, les années passées, notamment, en ce qui concerne mon cas personnel.
Il est assez interpellant, si je puis me permettre, parce que précisément, alors le nombre et la consistance des selles, étaient anormales (désolée pour les détails, mais c’est là que réside, le seul symptôme que retienne la médecine), et ayant passé les examens de laboratoire, on me certifiât que je n’étais pas atteinte de la maladie céliaque.
Mon problème lui, alors ne se trouvait pas réglé pour autant.
Le regard naturopathe s’imposait alors à moi, comme pour bien d’autres soucis de santé, soit dit en passant.
Sur les conseils d’une amie, je supprimais certaines catégories d’aliments, pendant un laps de temps donné, trois semaines, généralement, suffisant, pour y voir plus clair, afin de comprendre.
Quelle est la différence, entre allergique au gluten, et intolérant ?
L’allergique vraie au gluten, va développer des symptômes plus prononcés, et plus inquiétants, que les intolérants.
L’intolérant, lui, ne verra rien de particulier, probablement, sur ses analyses, comme moi, et pourtant, le problème reste entier.
Les causes, sont, à mon vis, bien plus complexes, qu’on ne le soupçonne.
La cause première, réside dans le fait que les blés utilisés, aujourd’hui, dans l’industrie alimentaire, dont nous sommes les premiers producteurs, sont des blés qui sont issus d’une sélection, qui date de quelques décennies, seulement, et qui n’ont eu, pour objectif unique, que de produire, une plus grande quantité.
Ou si vous préférez, sur un épi de blé, là, où on devrait avoir dix grains, ou en a quinze.
Je donne ces chiffres au hasard.
Une autre sélection a consisté, à l’intention des céréalier, qui n’étaient pas éleveurs, à produire un blé « court sur patte », pour avoir le moindre paille possible, puisque c’est la longueur de la tige, qui donne la paille.
Parallèlement, à ce travail de sélection, l’INRA, en parfaite complicité, avec les lobbies chimiques, a parfaitement ignoré le fait qu’il eut été nécessaire, alors, de veiller parallèlement à cela, à ce que la résistance aux maladies, fasse l’objet de la plus grande attention.
La raison était alors dans la fait, que ça répondait, aux ambitions politiques, concernant l’agriculture, qui voulait qu’elle soit industrialisée et dont les traitements chimiques, faisaient partie intégrante.
C’est encore le cas aujourd’hui.
Je ne dispose d’aucun élément, qui puisse affirmer, ou contredire, le fait, que l’INRA, alors, eut été corrompue, ou pas, par les lobbies de l’industrie chimique, mais je suppose, que des juristes, ont déjà du travailler sur le sujet, et y travaillent encore.
Quoi, qu’il en soit, depuis les années 50, du siècle précédent, il fallait produire le plus possible, que la qualité n’y soit pas, était et demeure secondaire.
J’imagine que disant cela, les céréaliers, eux, vont crier au scandale, comme je les comprends.
Je n’accepte les insultes, que s’ils m’autorisent à prélever quelques cheveux, pour les faire analyser, ensuite, on en reparle.
Qu'autant de personnes, aient véritablement des problèmes d'intolérance au gluten, ça n’est pas eux, qui doivent se poser des questions, mais les céréaliers, et l’industrie alimentaire, qui doit se demander pourquoi le gluten, d’aujourd’hui pose autant de problème.
Quand on soupçonne, d’avoir ce problème l’attitude à adopter, ne consiste pas aller voir son médecin, et faire des analyses.
Je ne parle pas de problème intestidaux sévères, bien sûr, mais plutôt, de suspission, qui ressemble plus à un problème qui semble chronique comme c’était mon cas.
Le challenge, consiste à supprimer toute nourriture, qui est transformée, réapprendre à cuisiner, et ne manger ainsi, que des aliments sains, et sans gluten.
Je dis bien ENTIEREMENT SANS GLUTEN.
Donc, plus de pain, plus de biscuits, plus de pâtisserie, plus rien de transformé.
Il ne s’agit pas pour l’instant, de suivre un régime sans gluten, mais juste d’y voir clair, pour avoir la certitude, que c’est bien sur le gluten, que le diagnostic doit être posé, ou pas.
Si du côté de vos intestins, tout rentre dans l’ordre, ça veut donc dire, que c’est bien le gluten, qu’il faut incriminer.
Méfiez vous de certains produits, qu’on pense non transformés, et qui le sont, pourtant, ce sont les soupes toute faites.
Chassez, pendant ces trois semaines, la moindre trace de gluten.
Si malgré cela, les symptômes persistent, il est possible aussi, qu’il y ait un souci avec les laitages, ou bien avec uniquement, le lait de vache.
Prenez vous en main, et par le jeu de la déduction, vous saurez, très précisément, ce qu’il en est.
Si vous êtes effectivement, intolérant.
Ne paniquez pas !
La valeur affective que l’on accorde, à certains aliments, tient une place considérable, dans notre culture.
Elle est imbriquée, aussi, avec l’histoire familiale, par la symbolique qu’elle revêt, et peut aussi parfaitement interférer, avec cette intolérance, ou même cette allergie.
Ainsi, je suis moi, absolument certaine, que certaines personnes, sont allergiques, à certains aliments, ou certaines substances, uniquement, dans un contexte donné, ou en un lieu donné.
Un livre vient de sortir, qui prétend que nos intestins sont notre cerveau, tellement la variété innombrable des bactéries qui tapissent les intestins sont nombreux, je suis absolument certaine, qu’on en est aux prémices, de découvertes absolument vertigineuses, sur ce point.
Pour ce qui concerne l’industrie céréalière, « appelons les choses par leur nom".
Depuis plusieurs années, moi, parmi bien d‘autres, avons soulevé ce problème de santé publique.
Des passionnés, depuis des années et des années, ont préservé jalousement des variété de blés, et autres céréales, que moi, j’appelle ancestrales.
Leur particularité, réside dans le fait, que leur gluten, ne trahit pas l’espèce humaine, sur le plan de la santé, et que donc, elles sont parfaitement tolérées….
Je le sais, parce que j’ai testé cette farine, qui est en vente, chez carrefour.
Ils appelle ça, « céréales anciennes ».
Et je n’ai eu aucun problème de digestion.
Alors, qu’une excellente baguette, dans une bonne boulangerie, 12 heures environ, les problèmes intestinaux réapparaissent.
J’ai testé aussi, une baguette, "label rouge", mais je dois refaire un essai, et je vous dirai.
Pour ceux, qui seraient en doute sur ce que je pretends, au sujet du taux de vitamines, et mineraux, quand on compare des cereales anciennes, avec les cereales actuelles, c'est prouvé scientifiquement.
http://cursus.edu/evenement/20503/les-cereales-anciennes-decouvrir/#.VuQ9jUd-gkg
