Dans les yeux d’olivier, on voit quelquefois la psychiatrie.
J’ai regardé cette émission, il y a environ quinze jours, mais je n’ai pas encore trouvé le temps d’y travailler.
Je viens de voir, que sur un site médical que je cautionne, un article, qui délivre quelques bases, qui expliquent certaines bases, dans cette spécialité.
http://www.docteurclic.com/encyclopedie/psychiatrie.aspx
Pour ma part, je ne me suis jamais aventurée à parler de névroses ou de psychoses, justement parce que je ne connaissais pas la différence. A présent, j’y vois un peu plus clair.
Voici le lien, de l’émission « dans les yeux d’olivier », qui parlait de ce sujet.
http://www.france2.fr/emissions/dans-les-yeux-d-olivier
C’est interpellant pour moi, de voir, que l’on explique, sur le site médical, que la névrose implique, que le patient ait conscience, de son problème, alors, que dans le reportage, on voir un jeune homme, qui est diagnostiqué schizophrène, et qui, selon j le reportage, que j’ai trouvé passionnant, est visiblement, parfaitement conscient de son problème, alors que la schizophrénie fait partie des psychoses, selon le site médical…..
L’article, dont je parle, sur « docteur clic », dit, sur la psychiatrie, la chose suivante, je cite :
Divers courants de pensées
La psychiatrie comprend plusieurs approches :
L'approche biologique : un dysfonctionnement cérébral est à corriger.
Bon, sur ce point, « soyons clairs », on en est à l’âge de Pierre (avec tout le respect que je lui dois), on en est environ au même degré de méconnaissance, que sur le domaine de la génétique.
Une précision, si je prétends cela, mon but, ne tend pas à humilier, qui que ce soit, chez les chercheur, et pas d’avantage, dans le corps médical.
Mais mettre l’accent, sur ce que l’on ignore encore, pour le moment, me permet, à moi, d’avoir la certitude, que de montrer quelquefois, le verre à moitié est le meilleurs moyen, d’une part, de rester humble, face à notre ignorance, et par ce fait, ne pas choper la grosse tête.
Et pour ceux, qui seraient en doute, relativement aux recherches, dans le domaine génétique, je vous renvoie, à l’émission d’hier, « la tête au carré », et coryez moi, ensuite, « vous ferez moins les malins ».
http://www.franceinter.fr/emission-la-tete-au-carre-stress-et-sommeil#comments
(c’est dans les news de l’émission).
Pour information, notamment relativement à mon expertise psychiatrique erronée, j’ai toujours moi, mis en avant, le fait, que le cerveau soit l’organe humain, le moins bien connu, principe quia notamment été à l’origine d’une exposition, qui a lieu actuellement, à Paris.
http://www.cite-sciences.fr/fr/au-programme/expos-permanentes/expos-permanentes-dexplora/cerveau/lexposition/
L'approche psychologique : un dysfonctionnement dans le mode de raisonnement est à corriger ( ex des phobies, des TOC...)
L'approche sociale : un dysfonctionnement dans l'environnement du patient est à corriger ( addictologie, dépressions...)
Je pense moi, que de façon générale, la psychiatrie, est trop orientée, vers une considération d’emblée trop médicamenteuse.
Ce qui me pose problème, moi, c’est que je crois énormément au pouvoir de l’auto guérison, et que les molécules médicamenteuses, paralyse ce pouvoir d’auto guérison.
Certes, je ne dis pas pour autant, que les molécules, ne sont pas quelquefois, nécessaires.
Quand un patient arrive, et que son état est tel, qu’il faut réagir en urgence, je peux le comprendre, quelquefois.
Le fait, qu’il représente un danger pour autrui, ou pour lui même, nécessite, une prise en charge médicamenteuse.
Mais il est tout à fait probable, que bien souvent, certains patients arrivent aux urgences psychiatriques, et qu’une prise en charge, via un magnétiseur, des lors que lui, est partant, serait parfaitement salutaire, sans a voir le moindre inconvénient, sur le fonctionnement de son cerveau, ne serait ce qu’en libérant, les pleurs, qui à ce stade, généralement, ne parviennent plus à sortir.
Oui, oui, VOUS AVEZ BIEN LU….
Parce que au moment où je vous parle, figurez vous, qu’il se trouve encore des psychiatres, qui n’ont pas encore assimilé, le fait, que le corps humain, possède, certaines fonctions, qui ne sont pas des symptômes, mais des « exutoires physiologiques », qui s’appellent les larmes, la colère, ou même la violence, des lors qu’elle est canalisée, bien sûr, vers un putching ball, ou quoi, que ce soit, de matériel, et qui ne puisse provoquer, le moindre problème, vers autrui ou soi même.
Oui, pleurer en psychiatrie, on vous dira « ha, vous voyez, vous n’allez pas bien »… reprenez donc de ces petites pilules.
Alors, qu’au contraire, le fait de pleurer, est un signe que le psychisme digère et évacue, sans altérer le raisonnement, et donc, le pouvoir d’auto guérison….
La preuve est, les femmes connaissent ça plus que les hommes, parce qu’elles pleurent plus, après une grosse crise de larmes, on dort toujours extrêmement bien, et profondément, et sans le moindre médicament.
Le problème reste toujours le même, de façon générale, c’est que le corps, est perçu, comme une entité, qu’on voudrait museler, ressembler, à ce que l’on souhaite, ou pire, à ce qu’on voudrait, qu’il soit, via les couvertures de magasine, et les medias, et ne pas pleurer, fait partie de la panoplie.
AUTORISEZ VOUS A PLEURER ET ENVOYEZ CHIER CEUX QUE CA DERANGE.
Y compris les psychiatres, ça va sans dire.
Le façon générale, d’ailleurs, quand quelqu’un ne va pas bien psychologiquement, je considère moi, que le fait, pour un patient, d’avoir la franchise, d’avouer, qu’va très mal, et qu’il prétend, ne jamais pleurer, s doit être considéré, comme un symptôme de dépression, beaucoup plus inquiétant, sur le plan psychique, que bien d’autres symptômes, qui servent de référence, enfin, pour moi, c’est une évidence.
Depuis ses débuts, la psychiatrie est composée d'une multitude de courants de pensées différents, de théories opposées, d'écoles contradictoires.
Oui, alors, là, difficile de dire plus juste, MERCI, je connais, et j’en ai bien fait les frais, pendant des années. Au moins, ça présente l’avantage d’être honnête.
C'est pourquoi le psychiatre devra à chaque fois adapter le traitement à son patient : prise en charge psychanalytique développée par Freud, thérapies cognitives ou comportementales, traitement médicamenteux...
Bon, moi, je trouve que cet article est vraiment honnête, parce qu’il met l’accent, sur le fait, que chaque patient est unique. Et ça, pour moi, c’est juste essentiel.
Moi, je pense que même parmi certains patients qui ne sont suivis que par des psychiatres, il s’en trouve beaucoup, qui devraient être suivis, par un psy en parallèle, avec une séance par semaine, pour faire un vrai travail thérapeutique.
Moi, j’ai été suivie, par les uns et par les autres, parallèlement…
Et pour en avoir discuté, avec d’autres patients, dans les salles d’attente, ou avec d’autres patients, pendant mes internements, le travail, fait avec un psy, est entièrement méconnu du grand public…
Mais à un point, absolument incroyable….
Alors, il arrivait, « quand j’étais bien lunée », que j’explique, et que je développe, mais bon, ça n’était ni le lieu, ni le moment, dans une salle d’attente…..
Mais mon sentiment, à moi, discutant avec ces patients, le plus souvent, c’est l’absolue certitude, que l’éventualité de proposer un tel travail à son patient, ne traverse même pas l’esprit des psychiatres, et moi, ça me fout dans une colère noire….
Simplement, dire au patient, « quand vous discutez avec moi, est ce que vous vous sentez mieux ?
Généralement, c’est OUI, (enfin, dans la mesure, où la confiance est établie, ce qui ne coule pas de source)…
Alors, pourquoi, ne pas expliquer au patient, selon ce principe, que s’il consultait un psy, il aurait alors, peut être l’occasion de comprendre, vraiment, pourquoi, il souffre, et qu’il pourrait porter sur lui, ou elle, un regard, compatissant, et plus indulgent (je veux dire, le patient, vis-à-vis de lui même)..
Car oui, pour ceux, qui ne seraient pas au courant, un patient en psychiatrie, se sent coupable d’être malade, suis-je bête, j’allais en oublier la base, décidément, « comme je suis distraite »….
Parce que ce que les psychiatres refusent de voir, c’est que qu’un patient, qui travaille avec un psy, est regardé, effectivement, d’une façon un peu étrange, c’est vrai, mais ça n’est pas pour les mêmes raisons, que d’être suivi, en psychiatrie !et non.
Quelqu’un, qui est suivi par un psy, ce que l’entourage, va dire c’est « Et bien dis donc, jamais je n’aurai cru, qu’il ou elle, aurait ce courage là »….
Et l’image qu’ils ont en fait, c’est qu’à partir de maintenant, il va falloir « faire avec » et éviter de trop le faire chier, notamment.
Alors, que quelqu’un qui voit simplement le patient devoir aller chez le psychiatre, qui va aller chercher son ordonnance, pour avoir ses petites pilules roses, et bien il s’enferme dans un statut de patient lobotomisé, et bien pire, lobotomisé, aux yeux de ses proches ! Avec tout le mépris que ça implique, relativement au statut de malade mental.
Certes, je ne nie pas qu’un traitement médicamenteux soit nécessaire, je sais d’autre part, que certains patients, sont vraiment réfractaires, au moindre travail thérapeutique, par la parole, mais encore faut il, pour cela, avoir la certitude, que ce travail, lui ait effectivement été proposé, à intervalles réguliers.
Pour ce qui concerne, l’émission « dans les yeux d’Olivier », j’ai trouvé cette émission, vraiment géniale.
Géniale, à tout point de vue, vraiment.
Il court, sur les maladies mentales, certaines d’entre elles, notamment, certains préjugés, absolument terrifiants, et qui marquent au fer rouge, des destinées d’une vie entière…
Et ça, croyez moi, je connais aussi.
Moi, j’assume, MERCI, comme disait Loïc Lantoine.
Bon, je vous donne le lien, je ne voudrai pas vous priver une telle pépite.