Tariq Ramadan a été acquitté par la justice suisse, mercredi 24 mai. Le procureur avait requis trois ans de prison contre le célèbre islamologue poursuivi pour viol. Mais le tribunal a estimé ne pas avoir assez de preuves. Un camouflet pour la plaignante, qui se bat depuis cinq ans. Elle a décidé de faire appel de ce jugement.
Voici, le verdict, dont il « jouit », c’est le cas de le dire, je lui conseille de faire bombance, et de surtout bien en profiter, parce que ça ne va pas durer.
En effet, dans le domaine du viol, apparaissent deux profils il y a les opportunistes, pour qui, c’est l’occasion qui se présente, qui induit l’agression ou le viol, et puis les violeurs et pédophiles, « au long court », qui tissent leur toile habilement, sur le long terme.
Parmi cette seconde catégorie, se trouvent tous ceux, qui ont un ascendant, sur la victime potentielle, quelle que soit, la nature, de cette ascendance.
Un enseignant, un éducateur, un maitre, un animateur, un encadrant, un prêtre, un chef spirituel, un mentor, toute personne qui a un ascendant sur une autre, que cet ascendant, soit d’ordre éducatif, familial, professionnel, artistique, ou spirituel (c’est plus condamnable, encore), se trouve alors, en situation de mettre sur pied, ce que l’on appelle, une emprise psychologique, qui induit, quiconque, qui est en admiration, ou se sent redevable ou tributaire, de ce mentor, comme pouvant entrer, y compris, sans s’en rendre compte, sur le coup, comme pouvant devenir la victime, de la personne que précisément, il ou elle admire…
Oui, j’ai bien dit, « il ou elle », puisqu’on sait, qu’au sein de l’église, notamment, il y a aussi, des petits garçons, ou des ados, qui en sont victimes.
Il m’est arrivé, à plusieurs reprises, depuis des années, de pointer du doigt le fait que ces professions, qu’on peut objectivement observer comme étant d’avantage à risques que d’autres, sur ce sujet, devraient, sans aucun doute, quand il y a plainte de déposée, faire l’objet d’une qualification supplémentaire, au sein de la justice…
Mais je dois vous raconter un truc.
Un jour, quelqu’un de mon entourage, qui ne connaissait pas mon histoire personnelle, et quelqu’un, que j’aimais profondément, me dit, au sujet de la pédophilie, sujet que visiblement, il ne connaissait, pas, la chose suivante…
Nous sommes, dans le pays de Caux, profond…
« Tu sais, Françoise, quand une gamine, « va » avec son père, quand même, elle l’a bien cherché »…
Sous entendant, qu’en aucune façon, « pensez donc », le père incestueux, ne devrait, être accusé de quoi, que ce soit….
J’ai failli hurler, tellement j’étais outrée….
Je lui a repondu, la chose suivante :
« le rôle d’un père, c’est d’aimer son enfant, dans le sens, de le protéger, de veiller sur lui, et c’est à lui, et à lui seul, de veiller, à ce que jamais, au grand jamai, il ne se sente autorisé, à outrepasser ce droit, et l’enfant, ne dot jamais craindre, d’un père, ou d’une mère, qu’il se prenne, pour son petit ami, ou son partenaire sexuel, vous êtes devenu fou, ou quoi , vous réalisez, un peu, ce que vous me dites, là ?
Il faut dire, qu’en tant que « burotin », comme on disait, à cette époque, la bienveillance, venant des parents, il n’avait jamais connu, et ça, il n’en était pas coupable….
Les burotins, après guerre, celle de 39/45, c’était les enfants de le DDASS.
Une fois les choses mises au clair, nous n’en avons plus jamais reparlé.
Pour cette catégorie, dont je parle, là, il en est exactement, de même…..
Dans l’ensemble des relations, qui existent, entre ces personnes, qu’on admire, qui nous enseignent, qui sont payée, aussi, pour veiller, sur nous, et nous protéger, quand nous sommes, leurs protégés, élèves, enfants, stagiaires, personnels, aussi, ces gens, là, quelque soit, leur tendances, leurs discours, ou leurs théories, ont un devoir, déontologique, et de bienveillance, vis-à-vis de nous, et donc, doivent, même, j’ose l’affirmer, montrer l’exemple.
Cette histoire de deux categories, dont je vous parle, là, est extrêmement importante, et devrait faire l’objet, d’une bien plus grande attenton, de la part de la justice.
Parce que ces accusés, de vio, toujours, qui agissent, sur le long terme, sentent, les faiblesses, d’une proie potentielle.
Il est courant, d’observer, par exemple, que les victimes, aient commencé, à l’être, parce que leurs, parents, traversaient, une passe difficile, quelle, que soit la cause…
Alors, il sent la faille, comme ce à flatter l’enfant, ou la femme, pour lui expliquer, qu’il ou elle, est très spéciale, aimable, qu’il ou elle pourrait faire, avec lui, de grand progrès, etc, et l’emprise s’installe….
Là, par exemple, il est pour moi inconcevable, qu’un homme, qui se dit « mentor », ait agi, ainsi…
Le phénomène d’emprise, psychologique, est interpellant, à lui seul, parce qu’il aveugle.
Et c’est ensuite, alors, qu’on réalise, qu’il y ait eu, clairement, ce qu’on appelle, « abus de pouvoir ».
C’est la conscience de la position d’abus de pouvoir, sur le corps d’autrui, qui signe le ressenti de viol.
Mais j’ai juste une question, qui me taraude…
S’il n’y avait pas eu, abus de pouvoir, comme la victime le prétend, pour quelle raison alors, aurait elle porté plainte ?
ha, bien sûr, la maniulation, bien sûr...
c'est tellement facile, et surtout, malhonnête, alor, que précisément, cette position, elle non plus, "ne peut pas être prouvée"....
Quand au fait, qu'il y ait eu viol, et que les juges, pretendent, qu'il n'existe pas de preuve...
"Desolée".... Mais "un fesceau d'indices concordants", doit, exister, probablement, c'est à dire, "qu'est ce qui a changé, dans sa vie, depuis ce jour; a t elle fait des confidences, à son medecin, à des amies, à des collegues, est ce qu'elle a été suivie, par un psychologue, parce que y compris, par une pretendue victime, d'une agression, il existe des indices, justement, qui semblent insignifiaint, sur le coup, mais qui retroxpectivement, à eux seuls, prouvent, justement, qu'il y ait eu traumatisme, et ceci est valable, d'ailleurs, pour n'importe quel traumatisme, par la souffrance ressentie.
D'ailleurs, cette expression de "fesceau d'indices concordants", vaut tout à fait, aussi, dans le cas, de l'accusé, puisqu'il semble bien, qu'il y ait eu d'autres victimes.