Je suis en train d'écrire un ouvrage, sur ce sujet, mais qui n'est pas encore terminé.
Je suppose que certains, me diraient, que de visiter un jardin, d'une telle renommée, ntionale et internationale, ne doit pas, parce que aux antipodes, socialment, des plus nombreux, presenter un grand intérêt.
Grossière erreur, parce que n'importe quel jardinier, quelque soit son milieu, riche ou pauvre, retrouve avec le sol qu'il cultive, ou avec celui qui en est l'empreinteur, en quelque sorte, quelque chose d'enfantin, qui est tout à fait simillaire, à ce que peut ressentir un artiste, devant sa page blanche, son papier à dessin, ou sa toile vierge... A moins quece ne soit que plus sobrement, un congère, l'hiver, immaculé, ou une dune de sable, qui vous donne l'envie, d'y écrire votre nom, qui s'effacera, au moindre souffle de vent.
Voilà, ce que devrait être jardiner, un retour vers l'enfance, et le bienfait ressenti, et rien de plus.
En ce sens, le milieu social, du jardin, ou de son propriétaire, en aucn cas, ne devrait entrer en ligne de compte.
