Bon, que les choses soient bien claires, moi, je fais du mieux que je peux. Et ce que je vois c'est que "la Marie", et bien elle e a le dos bien large.
Aujourd'hui, on se retrouve avecla situation suivante, certains groupes internationaux, qui sont traiteurs, ou si vous préférez, sont les transformateurs, s'abritent derrière la reglementation laxiste de la communauté europenne, pour justifier le droit, qu'ils considèrent comme legitime, de ne pas etiquetter leurs produits, reltivement, à l'origine des de differentes matières premières.
Car il est là le problème aujourd'hui, quand il s'agit de protéger nos élevages, en "non transformé", il existe un label "viande française".... Peut être n'est il pas parfait, mais au moins, il existe, et ça semble fonctionner.
Non, le problème réside à présent, dans le poucentage de viande, qui est destiné à la transformation, charcuterie, plats tout préparés, etc.
Je viens de m'inscrire à l'instant, sur le site des plats "Marie".
Je les ai moi, choisis, eux, parce que quand j'en achète, c'est ce que je prends.
Je suis donc à présent, une consommatrice chouchoutée, tellement chouchoutée, que pour un peu, au bout d'un bon quart d'heure de lecture sur leur site, j'ai l'absolue conviction, que le truc que je vais acheter sous cette marque, "c'est moi qui l'aurai fait", comme disait Valerie Lemercier, fille d'agriculteurs du pays de Caux, pour ceux qui ne seraient pas encore au courant. Trop forts ces publicitaires.
BREF.
J'ai roulé ma bosse là bas.
Je vous ai concocté quelques captures, non pas de poulet au grain, version, "batifolons dans les champs, avant de terminer à la casserole", mais plutôt, pour parer à l'éventualité, que le groupe fermerait bizarrement son site internet, une fois l'article déposé.
Alors, pour la declaration "ethique", de la société LCD, je vous en offre un copié collé.
Dans les relations qu’il entretient avec ses salariés et avec les tiers, LDC entend toujours agir avec rigueur et transparence, dans le respect des conventions internationales, et des lois et règlements nationaux, et en prenant en compte les contextes culturels locaux.
Alors, "les tiers" en question, ce sont les bouseux, qui eux, se coltinent le travail, en bas de l'echelle.
Je cite :dans le respect des conventions internationales, et ils ne précisent même pas "les cons", les conventions européennes.....
Et enfin, la totale, je cite :et en prenant en compte les contextes culturels locaux.
Alors, comment se fait il, alors, que cet etiquettage, ne soit pas decidé, par la marque elle même ?
Je veux dire moi, par là, qu'il existe une réelle contradiction, entre le fait, de pretendre respecter les lois internationales, et parallèlement, veiller au respect du contexte culturel régional.
Alors, je vais vous dire, moi, en plus de ça, ce qui me choque, c'est que si vous regardez la capture d'ecran, que j'ai faite, vous voyez un onglet, "téléchargez", le document pdf.
ors, une fois que vous cliquez dessus, voilà, ce que ça donne :
%PDF-1.4
%âãÏÓ
118 0 obj
<</Linearized 1/L 206562/O 120/E 30229/N 9/T 205973/H [ 489 193]>>
endobj
133 0 obj<</DecodeParms<</Columns 4/Predictor 12>>/Filter/FlateDecode/ID[<5C15D622A6E2DBB874CC3B8694D31840><CC0CEBD7802B2D48B3115C7F4D91D163>]/Index[118 19]/Info 117 0 R/Length 79/Prev 205974/Root 119 0 R/Size 137/Type/XRef/W[1 2 1]>>stream
hÞbbd``b`š$cˆ(²! Ö Á’»$¤ ö[1];`þ"t@
èùÏÀÄÈ’```dúϘ÷ Àµ²endstreamendobjstartxref 0%%EOF136 0 obj<</Filter/FlateDecode/I 132/Length 111/S 84>>streamhÞb``àb``Òb`f`ÐûÍÀÏ€ü
Bon, je vous epargne le reste, là, ça n'est que un centième du document crypté, on ne sait pas si c'est la pomme d'apple, d'ailleurs, qui en direct du festival numérique, en Espagne qui a crypté ce message, on ne sait pas d'aventage, si la pomme est tombée su un pépin, et encore moins, si les 8 traitements que l'industrie fruitière lui a administré, pour la rendre aussi efficace, lui sert de drogue dure.
Comme vous pouvez le voir LCD a une vision de l'éthique, bien loin de l'etiquette, qu'un bon industriel, de l'agroalimentaire, devrait montrer, aux "consomm'acteurs".
Oui, j'ai mis cette capture aussi, parce que je pense que les multinationales, qui investissent dans les boites à chaussures, (c'est le nomque l'on donne, dans les milieux economiques, aux multinationales, qui créent des sociétés factices, pour contourner les lois fiscale et installer leurs siges sociaux, dans les paradis fiscaux.
"Les boites à chaussures", disais je, oui, justement.
Et si je m'en prends à Marie particulièrement, je vous explique pour quelle raison.
Quand un industriel, crée une marque, il est effectivement parfaitement coherent, de veiller, à ce que ce nom, soit "porteur", symboliquement, prosodiquement, tous les publicitaires, vous le diront.
Ors, là, que voyons nous , un industriel de l'agroalimentaire, qui utilise, le nom de marie, faisant reference, à nos racines judeochretiennes, pour faire passer ses produits, comme étant au dessus de tout soupçon..... Un peu comme si c'était la bible elle m^me qui vous ganrantissait la qualité de leurs produits, en somme.
Oui, je sais, je n'ai aucun doute, sur le fait, que juridiquement, on ne puisse pas faire grand chose, sur ce point, helas.
Mais quand même, compte tenu du fait que de s'approprier intellectuellement, un prénom aussi emblématique et vertueux, à des fins purement commerciales, soit pour le moins sujet à caution, à plus forte raison.......
D'autre part, si l'on considère que le document "éthique", soit bizzarrement inaccessible, ne vous semblerait il pas pour le moins recevable que ces industriel, "montrent le chemin", vers un etiquettage, réellement honnête, qui donne la provenance réelle des viandes, et des produits, qui entrent dans la composition de leurs plats tous préparés ?
En gros, quand on décide de s'appeler "Marie", on tâche d'être au minimum, à la hauteur.