Pour moi, ça serait très clair, "trois jours exclu de l'etablissement", et s'ils ne sont pas contents, et bien ça serait l'exclusion. Non, mais on va où, là ????
Il faut peut être aussi que la professeure, évite de les regarder droit dans les yeux, quand elle leur adresse la parole, mais on va où, là ?
Je trouve vraiment halluciant, que la loi, puisse être aussi permissive, envers des coutumes, aussi humiliantes, et degradantes, vis à vis des femmes...
Je rappelle juste qu'un enseignant, qu'il soit homme ou femme, représente une forme d'autorirté, et qu'à ce titre, il est important que la confiance, elle, soit présente.
J'ai pour habitude, moi, d'avoir la capacité d'arondir les angles, infiniment plus que n'importe qui, particulièrement en ce moment, au sujet de la mode du voile, qui serait bariolé, "ou pas", qu'on puisse accepter, "ou pas", que les grands coutiriers se fassent des couilles en Or, sur cette nouvelle manne financière, en pietinant allègrement le féminisme, "ou pas" !
Mais alors, ça, je regrette, mais ça me fout dans une colère, comme vous ne pouvez même pas imaginer.
Oui, "dis moi comment tu serres la main, je te dirais qui tu es".
Moi, quand j'ai deux mots à dire à quelqu'un, je le regarde droit dans les yeux, et si je lui serre la main, soyez sans crainte, en général, il ne risque pas de l'oublier. J'ai la poignée plutôt franche, au point qu'on me fait la remarque, et ça n'est certes pas un porte couilles musulman, qui risque de me faire le coup, moi, JE LE VIRE.
Bon visiblement, je ne suis pas la seule, à le penser.
Ce qui est extrêmement grave, c'est que de refuser de serrer la main d'une femme, ça signifie, à ses yeux, à elle, ainsi qu'à l'entourage, "je te méprises, et tu n'as à mes yeux, aucune crédibilité ni aucune valeur"....
Maintenant, moi, perso, si quelqu'un refuse de me serrer la main, ça dépend aussi du contexte, si c'est quelqu'un que je déteste, et dont je sais qu'il emprunt d'une attitude que je réprouve, moi, je peux aussi prendre ça pour une simple confirmation de ma position, et le sourire qui sera le mien, ne manquera pas de le lui signifier.
Mais là, en l'un occurence, ça n'est pas de ce contexte, dont il est question.
