google-site-verification: google7d26736b1ef720ed.html

Le plaidoyer de François Hollande pour l'Europe, février 2016.

Le 20/02/2016

Dans Europe plus sociale et donc plus humaniste, et donc efficace.

http://www.franceinter.fr/depeche-le-plaidoyer-de-francois-hollande-pour-l-europe

FH.

La fin de Schengen serait "la fin de l'Europe". "Je fais ce qu'il faut pour que nous puissions garder le Royaume-Uni dans l'Europe".

   Invité exceptionnel de France Inter de 18h à 20h ce vendredi, le Président de la République s’est inscrit en défenseur de l’union européenne depuis Bruxelles, où les négociations se poursuivent entre Londres et les 27 autres États membres de l'Union européenne pour modifier les termes de l'adhésion du Royaume-Uni à l'UE.

Après 24 heures d'intenses tractations sans avancée significative, François Hollande a assuré vendredi qu'il faisait "ce qu'il faut" pour trouver un compromis et éviter le Brexit, mais le Président ne veut pas pour autant céder au chantage de l'opinion publique britannique :

Je ne vais pas laisser un pays ami, la Grande-Bretagne, dans la situation où il pourrait satisfaire son opinion publique, elle-même traversée, divisée, au risque de ne pas faire avancer l'Europe justement pour régler les problèmes qui sont les nôtres: la croissance, l'emploi, l'agriculture, les réfugiés, la cohésion, la politique extérieure.

Oui, je suis parfaitement d'accord, avec son analyse.

   Il est vrai que l'une des raisons, qui explique la reticence des anglais, vis à vis de l'Europe, c'est encore et toujours, leur bonne insularité, insularité, que soit dit en passant, ils avaient su cacher bien au fond de leur poche, quand il s'agissait de construire la tunnel sous la manche, pour que leur île, tout compte fait, "NE SOIT PLUS TANT QUE CA UNE ÎLE, POURVU QUE CA RAPPORTRE".

   Il n'en reste pas moins que comme les autres pays européens, je serai curieuse de connaitre,  ou en est la balance commerciale, entre les deux pays, si l'on considère qu'au royaume uni, c'est col nnu comme le loup blanc, les ouvriers, sont bien moins protegés, qu'ici en France, et que j'aimerai bien sa voir, si sur certains dossiers, il s ne seraient pas eux aussi, comme d'autres pays d'Europe, coupables de  concurrence deloyale.

 D'autre part, je rappelle que l'Irelande du Nord, fait partie du Royaume Uni, et que c'est bien là bas, entre autre, conformement à la City, aussi, que se trouvent le phénomène "paradis fiscal", qui est une enorme epine, dans la chassure européenne.....

    Il semble bien que certains oublient quelques détails, bien loin, d'être négligeables.


 

Le Président  a confirmé que les négociations bloquent sur deux sujets : les prestations sociales versées aux ressortissants européens expatriés au Royaume-Uni et la "City", la place financière de Londres, pour laquelle la France ne veut pas de statut particulier.

 Et oui, ila parfaitement raison, je cautionne parfaitement, ce qu'il dit là.

"Il y a un risque de dislocation de l’Europe sous l'effet de la crise des réfugiés".

La sortie possible de la Grande Bretagne de l'UE fait peur à l'Union, ébranlée par une crise migratoire sans précédent depuis 1945. François Hollande a appelé les pays européens "à ne pas renvoyer sur un pays, la Grèce, la responsabilité qui est la nôtre" et à ne pas fermer leur frontières, ce qui aurait pour effet de concentrer les réfugiés en Grèce, un pays déjà en proie à une crise économique sans précédent. Sur ce point, le Président français soutient le Premier ministre grec Alexis Tsipras, qui menace de ne pas signer d'accord sur le "Brexit" si ses partenaires ferment leurs frontières.

 Oui, c'est un vrai problème, c'est vrai. ce que trouve hallucinant, moi, c'est de voir à quel point, Londres, jadis fût une capitale, reputée bien plus ouverte encore, que ne l'était paris,notamment, culturellement.

 Je le sais, parce que c'est pour cette raison que ma fille a choisi d'aller y vivre, il doit y avoir environ 14 ans, maintenant.

 En gro,la reputation, du royaume uni, c'était "cheznous, on peut tout entreprendre"..... GENIAL...

   Aux dernières nouvelles, je précise juste que les djihadistes aussi, là, bas, peuvent "tout entreprendre", comme de débaucher des personnes tres influentes, et diplômées, pour servir l'etat islamique, et servir de cadres à leur organisation...

 Ha, c'est sûr, LONDRES, c'est OPEN BAR, difficile de dire mieux !

  Soutien également à l'Allemagne et à Angela Merkel dont le pays ne "pourra pas accueillir encore des dizaines de milliers" de réfugiés et qui veut "qu'on arrête ce mouvement".  Pour le chef de l'Etat, "il ne peut pas y avoir de mécanisme de répartition des réfugiés en Europe tant qu'on n'a pas la sécurité des frontières extérieures et un tarissement des flux de réfugiés". C'est à cette condition que la France recevra, comme elle s'y est engagée, 30.000 réfugiés.

 Oui, parfaitement d'accord, le seul chiffre à observer, d'ailleurs, c'est bien le nombre de réfugiés, qui débarquent  en Europe, le reste, je ne dirai pas que ça n'est pas important, mais plutôt que c'est du blabla, parce que ce sont des chiffres non fiables, car consécutifs aux rumeurs, d'un pays ou d'un autre, qui cherchent à influencer le choix de destination des migrants.

"La Russie ne s'en sortira pas en soutenant unilatéralement Bachar al-Assad"

Le "risque de guerre" entre la Turquie et la Russie existe bien, selon François Hollande, du fait de l'implication turque en Syrie. "Il y a une escalade" et "Il faut tout faire pour arriver à une solution politique", a averti le chef de l'Etat qui, sans vouloir écarter la Russie, rappelle que Bachar al-Assad n’est pas la solution.

Je ne peux pas accepter qu'en même temps qu'on négocie, on bombarde des populations civiles.

 Rien à redire.


 

Pour François Hollande, les frappes contre Daech "ont leur efficacité", des frappes que la France mène en "faisant attention, contrairement aux Russes".  "Nous avons maintenant des résultats" explique-t-il, "mais nous n'en avons pas terminé."

Le président français aurait préféré que "les États-Unis soient encore davantage actifs" pour tenter de régler le conflit syrien. "Mais dès lors que les USA se mettent en retrait, qui doit prendre le relais ? L’Europe" assure-t-il.

Oui, moi, je le pense aussi. la seule façon de faire, est de s'impliquer d'aventage, pour prendre le problème des migrants, en amont.

"Nous sommes toujours exposés à des actes terroristes".

"La menace est toujours élevée" prévient le Président. "Oui la menace existe, je ne peux pas la sous-estimer, mais je ne veux pas l’utiliser pour justifier des mesures".

"Il n'est pas question de remettre en cause les principes fondamentaux du code du travail".

Interrogé sur la réforme du droit du travail, qui sera présentée en mars, que les syndicats et une partie de la gauche refusent, François Hollande a garanti que "les salariés français ne verront aucun de leurs droits remis en cause."

 Bon, moi, je le crois.

  Maisntenant, il y a autre chose, moi, "qui me chagrine grave", c'est d'une part, le manque de moyens évident, en ce qui concerne la Justice, qui m'inquiete grandement, et plus particulièrement, tout ce qui tourne autour des prudhommes...

   Je trouve que la situation est particulièrement inquietante, parce qu'aujourd'hui, beaucoup de salariés sont victimes véritablement de leurs patrons, et préfèrent  ne pas porter plainte aux pruhommes, alors, qu'ils ont l'absolue certitude qu'il auraient gain de cause, simplement parce que le dossier ne sera pas jugé, avant 4 ou 5 ans. Pour moi, dans une Démocratie, c'est intolérable.

Les droits vont être respectés. Je veux qu'il y ait plus de négociation collective, je veux qu'il y ait plus de souplesse, plus de sécurité, plus de visibilité.


Selon le Président, pour les heures supplémentaires, les entreprises pourront faire des accords locaux "majoritaires" avec les syndicats. Mais à défaut, des syndicats minoritaires pourront signer s'il y a un référendum des salariés.

Ce sont les salariés qui auront le dernier mot pour qu'il n'y ait pas un risque de pression patronale.


a prétendu le président, alors que la mesure est conspuée par les syndicats. Le barème pour les indemnités prudhommales en convainc pas plus, mais selon François Hollande "le tribunal des Prud'hommes pourra d'ailleurs utiliser ce barème et lorsqu'il y aura un licenciement avec des causes particulièrement inacceptables, il pourra même aller au-delà de ce barème". Le chef de l'Etat a dit vouloir "donner à la négociation collective la place qu'elle n'a jamais eue dans notre pays."

 Bon, on y vient.  Mais enfin, plus que de loi, sur ce point, il semble bien qu'au niveau des tribunaux, se soit d'argent, qu'ils aient besoin pour travailler correctement. On ne peut pas avoir la prétention d'avoir une Justice, la plus exemplaire possible, ce que je crois vraiment, et parallèlement, la considérer financièrement, comme le parent pauvre de nos institutions.

Pas de baisse du chômage, pas de candidature.

Je me suis engagé personnellement. J'ai dit que je serai jugé sur cette question-là. Je ne me déroberai pas. Je n'ai de ce point de vue-là qu'une seule parole.


a rappelé une nouvelle fois François Hollande, alors que la courbe du chômage continue à lui donner obstinemment tort et que Pôle emploi recensait fin 2015 quelque 3,59 millions de chômeurs.  

Notre-Dame-des-Landes.

La question du référendum sur Notre-Dame-des-Landes sera:

Voulez-vous ou ne voulez-vous pas l'aéroport ?


"Si les personnes consultées répondent oui, il faut faire l'aéroport, il sera fait. Si elles répondent non, il ne sera pas fait", a assuré le chef d'Etat.

   Oui, d'accord.

   Moi, je vais reparler, de l'autre projet, celui qui consiste à envisager l'agrandissement de celui deja existant, et qui consiste à faire de la zone en question, une zone d'agriculture et d'élevage BIO, qui redonnera à la Bretagne, ses lettres de noblesse, sur l'Agriculture.

 Parce que pour infrmation, ce plan là, est AUSSI, dans les cartons.

Un nouveau 21 avril est possible.

Selon François Hollande, les conditions sont réunies pour qu’il se produise en 2017 la même chose qu’en 2002, lorsque le candidat de la gauche avait été éliminé au premier tour au profit de celui du Front National. François Hollande, alors Premier secrétaire du Parti socialiste, avait appelé à voter au second tour pour Jacques Chirac face à Jean-Marie Le Pen.

Je sais ce que ça représente la douleur, la souffrance, de ne pas avoir le choix et d'être obligé simplement de ce qu'on appelle sauver la République. Chacun doit y réfléchir.


Balayant la question de la primaire à gauche, François Hollande a martelé :

 Tout ce que je fais, je ne le fais pas du tout dans l'esprit d'être en prolongation, je le fais parce que c'est utile pour la France et rien que pour cela.

 Oui, rien à redire, si Nicolas Sarkozy, avait eu, à l'époque, ne serait ce qu'un dizième de ce courage là, nous n'en serions pas là aujourd'hui.

http://www.francetvinfo.fr/societe/debats/education-nationale-questions-autour-de-la-reintegration-d-un-enseignant-condamne-pour-pedophilie_1323823.html

 La reintégration de ce pédophile s'est produit, sauf erreur de ma part, sous le gouvernement de François Fillon, avec Nicolas Sarkozy.

   Je comprends bien qu'ils doivent trouver ça étrange, que je pose l'index, sur eux, particulièrement. Mais enfin,  siles crime exuels, à l'epoque, avaient donné lieu, à plus d'attention, et l'Europe plus cooperante, sur le plan de l Justice, cette reintegration, n'aurait pas du  pouvoir se faire.

  Parce que pour information,  il est passé devant une commission,  ça n'est pas quelqu'un qui est passé entre les mailles du filet.

   Enfin, pour conclure, moi, je dirai que le fait de voir, que de l'autre côté de la Manche, on soit aussi tenté que ça, par l'éloignement le plus possible,  des valzurs européennes, me laisse, moi, extrêmement songeuses....

   Parce que sur bien des plans, qui vont  au delà,  de chiffres, comme toujours, trop souvent, on ramène les choses,  je serai particulièrement curiese, telle une petite souris,  de sa voir comment les anglais, envisagent, la cooperation, entre le lroyame uni, et les autres pays d'europée, compte tenus, des nouveau x risques, liés àla sécurité, dont pour information, la pedocriminalité, est une partie intégrante.....

 Comment le Royaume Uni, considère la pédocriminalité, aujourd'hui..... Et comment envisage t elle, de répondre au côté particulièrement oppostuniste des criminels sexuels, qui sont sur leur sol, ou qui sont experts, généralement, pour exploiter les failles juridiques, d'un pays, à un autre ?

 


 

  • Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !