Le grand partage.
Le thème est le suivant.
Il est possible que l’idée vienne de chez moi, parce que j’ai en mémoire, un jour, où je devais aller au lycée à Rouen, le lycée Jeanne d’Arc, alors que je prenais le train, chaque matin.
Mon père, avec son camion, avait réussi à me porter jusqu’à la gare, le train, lui, roulait….
Mais sur la route, « la catastrophe ».
Une fois arrivée à la gare, je marchais, en prenant les petites rues, après avoir longé le donjon, je traversais la rue Beauvaisine, et la rue Louis Ricard. Tiens, ça me fait penser que je dois bosser sur l‘alcoolisme).
Alors, que d’ habitude, tout le monde était renfrogné, ce matin là, un coup de la Reine de Neiges, je suppose, bien avant l’heure, le fait de voir, que plus aucune voiture ne pouvait circuler, dès qu’il y avait la moindre côté, sans se mettre en crabe, tout le monde était aimable, et se parlait.
Tiens, ça me fait penser que j’ai du retard, côté THALASSA, et les fards à « peau pierre »), le peu de personne que je croisais, hésitantes pour ne pas se pêter la gueule, comme une pauv’ merde, sur le trottoir, disait bonjour, et discutaient le bout de gras.…..
Tiens, au fait, est ce qu’il existe toujours, le petit resto, « aux petits parapluies » ?????
J’avais toujours dit qu’un jour, j’irai. Et puis je n’y ai jamais foutu les pieds.
Enfin, BREF, les vielles biques rouennaises, qui d’habitude, m’aurait toisée de haut, d’un seul coup, devenaient aimables, et disaient bonjour…
INCROYABLE.
Et là, ce jour là, je me suis dit.
« Et bien non de Dieu de bordel de merde, c’est bien dommage qu’il ne neige pas tous les jours, les gens seraient nettement moins cons ».
Une fois arrivée au bahut (oui, excusez moi si j’utilise un vocabulaire, qui remonte à l’époque, où les jeunes hommes portaient leurs pantalons, à hauteur de leurs couilles, et pas à hauteur de leurs genoux, ce qui soit dit en passant, serait une jolie occasion de mettre en avant, les culottes bouffantes, que leurs MOMANS leur faisaient porter, quand ils pissaient encore dans les couches).
Mais je m’éloigne.
J’arrivais au bahut, donc, et là, bien sûr, pas un chat, qui fasse miaou (clin d’œil, à un super documentaire, qui va avoir lieu, sur l’Egypte)…
RIEN, NADA, NOBODY'S THERE.
Pas même ma copine, Marie Agnès Fréchon, qui avait joué en entier, « le Petit Prince »…
Si encore saint Ex était passé la prendre, elle habitait à Boss, pour éviter que le car scolaire, se foute en crabe, et bien non, pensez vous, même pas, c’était bien la peine d’aller jouer sa pièce, dans la cantine, tiens !
Petit Prince, qui soit dit en passant, était un peu con, tout naïf, qu’il était.
Bon, soit, c’était un garçon, si c’eut été une princesse, encore.
Parce que au lieu de dire à saint Ex, « dessine moi un mouton » ? Il aurait pu dire, « démerde toi, pour que je ne sois jamais un mouton, et encore moins, de panurge »…
Ou bien « dis donc, saint Ex, comment on pourrait bidouiller un truc, pour relancer l’exploitation de la laine française, quand les français élèvent des moutons, et que quand ils les tondent, ils sont obligés d’exporter la laine, alors, que ça pourrait être fait, ici chez nous, en France »…
Vous voyez, comme quoi, le petit prince de LU, il était un peu con, quand même…..
Et puis bon, si l’on commence à parler OVIN, enfin, mais pourquoi donc, n’a t il pas commencé direct, par lui demander comment on pourrait faire concilier, la lutte contre l’alcoolisme, et parallèlement, mettre en avant, l’industrie du jus de raison, hein ? Dites moi, expliquez moi, pourquoi, il ne l’a pas fait, ce petit andouille ?
Bon, sinon, il aurait pu, le plus simplement du monde, lui, dire la chose, suivante :
"Dis donc, au sujet du mouton, tout compte fait, tu ne pourrais pas simplement me tricoter un pull, pour ne plus que je me caille les miches, et puis pendant que y es, en tricoter pour les migrants ?"
(Petite aparté, il faut préciser, pour ceux qui n’auraient pas encore étudié ce mot, que MIGRANT, ça ne signifie absolument pas qu’il soit de taille moyenne, c'est-à-dire, « à demi, grand », non, non, d’ailleurs, il ya parmi eux, non seulement, ce que l’on appelle « de grands hommes », et j’irai même jusqu’à dire, « des géants »).
Comme quoi, la prosodie, il faut toujours y faire très attention.
Oui, ce sont de grands hommes, dans la caca, pour l’instant, c’est parfaitement exact, mais seuls ceux qui n’ont jamais côtoyé le désespoir, sont assez cons pour ne pas comprendre la subtilité de mon propos, et pour sûr, le petit prince de LU, non sans avoir fait un clin d’œil, à « aviateurs sans frontière », aurait été probablement d’accord avec moi…..
D’ailleurs, pour interpeller un aviateur, et lui demander de dessiner, quand on sait à quel point le dessin de presse est malmené, car universel, (UNIS VERS ELLES) il ne saurait en être autrement.
Bon, sinon, le film, moi, je l’ai trouvé vraiment super, je sais pourquoi mon travail d’écriture a été bloqué, à présent, mais je suppose, que comme ça s’est passé dernièrement, une simple mise à jour de Microsoft, va bizarrement me restituer mon travail.
Je vous recommande d’aller voir ce film, c’est vraiment une excellente occasion de rire, d’un sujet, qui nous concerne tous, enfin, excepté les cons, et ça permet de prendre conscience, surtout, du fait, que quand on a un certains confort, c’est aussi, simplement, quelquefois, parce qu’on a eu la chance, de naitre dans le bon pays, particularité, que d’autres n’ont pas.
Ça ne signifie pas qu’on doive de déposséder de tout ce qu’on a , mais juste se remettre en question, quelquefois, et faire, ce que l’on peut.
Moi, je dis toujours, en hiver, alors que je sais fort bien que le gel est nécessaire, pour la bonne santé des jardins, relativement aux insectes nuisibles, qu’au moins, ceux qui ont du mal à payer le chauffage où qui sont sans abris, souffrent moins.
Bon, sur ce, je vous laisse, j’ai appris ce matin, que Michel Tournier, comparait les anti IVG, au pires tortionnaires, pendant la seconde guerre mondiale….
Et devinez à qui on a refilé le bébé ?