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Le parlement européen comme dernière caution morale, de l'Europe ?

Le 21/03/2016

Dans Europe plus sociale et donc plus humaniste, et donc efficace.

  Ces jours derniers, Françoise Grossetête, députée européenne, "les Republicains", prenait la parole, relativement, à la pedocriminalité.

  Il importe pour nous désormais, d'avoir à entendre le plus possible, sur le plan européen, une voix ou des voix, je serai tentée de rajouter "quelque soit l'appartenance  politique", qui puissent veritablement, donner caution, à l'existence même de l'Europe, aujourd'hui.

https://www.francebleu.fr/emissions/l-invite-de-france-bleu-matin-saint-etienne-loire/saint-etienne-loire/l-invite-de-france-bleu-matin-58

 Je précise, qu'elle est originaire de Lyon, et qu'à ce titre, monseigneur Barbarin et ses frasques, la concernent, plus encore que n'importe qui d'autre politiquement.

  Pour ce qui concerne ma position personnelle, sur ce dossier, ainsi que mes commentaires, au fur et à mesure, des articles, qui paraissent, ou des affaires, qui font jour, je donne le lien, qui est le suivant :

http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/blog/spiritualite/religion-et-pedophilie.html

   Pour ce qui concerne la position de l'Europe aujourd'hui, sur le phénomène "migrant",  je vous recommande d'aller lire, l'article qui est paru, dans le dernier Charlie Hebdo, qui en fait une analyse tout à fait pertinante.

 Je comprends parfaitement cette analyse,  que je resumerai, à juste tite, "pas de quoi, être fiers", ce qui est un jugement, que je qualifierai, moi, de légitime.

 Que la crise des migrants, que j'avais vu venir, moi, il y a cinq ou six ans, pour rappel, le contrat quia été signé, entre la Turquie, et l'Europe, ne me satisfait guerre, moi non plus, mais aussi étrange, que celà, puisse paraitre, je n'ai aucune doute, sur le fait, que si l'Europe en est arrivée à ce compromis, je n'ai aucun doute, sur le fait, que les negociations, aient été menées, pourtant, " de main de fer".....

  Pour ce qui concerne l Turquie, j'avais moi, dconseillé formellement, il y a ciq ans, environ, que son adhesion, ne se fasse, precisement, parce que je sentais,  une certaine heterogeneïté relativement, à certaines vleurs, notamment, quime disait, que le moment, n'était pas encore le bon.

  Helas, cinq ans plus tard, je vois que j'avais parfaitement raison, et que monsieur Erdogan,  est veritablement un homme, qui ne m'inspire absolument aucune desir de collaboration, puisque ses théories, ne sont que pretexte à ponctionner l'europe financièrement tout en trainant dans la boue, l'un deses fondements, les plus importants, c'est à dire, la libert d'expression;

 Je réalise ainsi, que je suis bien loin de resentir le moindre frémissement, qui me ferait changer d'avis.

http://www.touteleurope.eu/actualite/crise-des-refugies-le-parlement-europeen-derniere-caution-morale-de-l-europe.html

 Je cite, et je commente:

La semaine dernière à Strasbourg, l'ordre du jour pour la session plénière du Parlement européen n'a eu que peu d'importance. Au lendemain du sommet UE-Turquie du 7 mars, et dans l'optique du prochain Conseil européen des 17 et 18 mars, la question migratoire a logiquement éclipsé l'agenda législatif ordinaire. Qu'ils aient été de droite ou de gauche, Allemands, Autrichiens, Belges ou Grecs, les eurodéputés ont défilé à la tribune pour dire tout le mal qu'ils pensaient de l'accord trouvé avec Ankara. Elaboré dans l'urgence, sans concertation commune et laissant planer de nombreux doutes légaux, ce dernier a suscité la circonspection, la colère et l'indignation d'un Parlement européen au ton grave. Récit et morceaux choisis.

Faillite morale

"Faillite morale". Quand vient son tour de s'exprimer, dans la matinée du mercredi 8 mars lors du débat principal de la session plénière du Parlement européen, le Belge Philippe Lamberts, co-président du groupe des Verts au Parlement européen, pèse ses mots. Il n'est que le sixième à prendre le micro – l'ordre de passage étant fonction du nombre d'eurodéputés composant le groupe parlementaire – mais c'est probablement son intervention qui marquera le plus les esprits.

"Faillite morale, lorsqu'au lieu de le sanctionner, on déroule le tapis rouge à un régime qui soumet la justice et la police à la vindicte d'un seul homme, qui musèle et emprisonne toute presse libre, qui disqualifie toute opposition démocratique et qui, pour gagner une élection, relance la guerre civile et bombarde ses propres populations", scande Philippe Lamberts à la tribune. Toute ressemblance avec Daniel Cohn-Bendit, son prédécesseur à la tête des Verts européens, n'est évidemment pas fortuite.

"Argent, visas, relance du processus d'accession : rien n'est de trop pour séduire le Poutine de la Sublime Porte. Tout cela parce qu'une majorité d'Etats membres de l'Union, à la différence de l'Allemagne, ont pris le parti du 'pas de ça, pas de ces barbares chez nous'", poursuivra-t-il au nez de Jeanine Hennis-Plasschaert, la ministre néerlandaise de la Défense légèrement médusée, représentant les Pays-Bas, qui président l'Union européenne ce semestre.

Discours de Philippe Lamberts (Verts / Belgique) le 9 mars au Parlement européen

Si la charge de Philippe Lamberts est lourde, elle n'est finalement que le prolongement des déclarations de ses collègues parlementaires, à peine plus policées. Guy Verhofstadt, ancien Premier ministre belge et chef des libéraux au Parlement européen, a en effet regretté que "le 'sultan' Erdogan décide dorénavant de qui doit entrer dans l'Union européenne". Tandis que l'Italien Gianni Pitella, patron des socialistes et démocrates européens, a quant à lui rappelé que les réfugiés sont "des hommes et des femmes et non des numéros ou des biens". (merci, de le rappeler).

Au fond, au Parlement européen, il n'y aura guère eu que Manfred Weber, chef du Parti populaire européen (PPE), pour défendre ce qui devra être entériné les 17 et 18 mars, à l'occasion d'un nouveau sommet européen de la dernière chance à Bruxelles. Pour l'eurodéputé allemand, membre de la CSU, la branche bavaroise du parti d'Angela Merkel, très critique à l'égard de la politique migratoire de la chancelière, il s'agit en effet d'une "solution globale et spécifique" qui, "pour la première fois", pourrait permettre d'affronter la situation.

Une prise de position par la suite battue publiquement en brèche par d'autres députés appartenant pourtant à son groupe politique, dont l'une de ses vice-présidentes, Françoise Grossetête, membre des républicains en France. A l'inverse de M. Weber, Mme Grossetête a en effet estimé que la négociation avec la Turquie du 7 mars a été "la pire depuis longtemps", et que "l'Europe se jette dans la gueule du loup".  (Et oui moi non plus, je n'en suis vraiment pas satisfaite, pour information, comme personne ne semble l'être d'ailleurs).

Accord controversé

Cette ébauche d'accord avec la Turquie est le fruit de négociations menées entre l'Allemagne, les Pays-Bas et la Turquie dimanche 6 mars. Une procédure fort peu conventionnelle, excluant de fait les autres Etats membres de l'Union européenne, mais finalement symptomatique de la gestion plus que chaotique de la crise des réfugiés jusqu'à présent. En substance, l'accord prévoit la reconduction de réfugiés syriens stationnés en Grèce vers la Turquie, quand bien même ces derniers auraient déjà déposé une demande d'asile. Puis, pour chaque Syrien réadmis en Turquie, un autre Syrien serait envoyé en Europe, selon "une manière ordonnée, par des voies légales". Cette stratégie vise à rapidement soulager la Grèce, isolée en Europe depuis la fermeture quasi-généralisée des frontières par les pays situés sur la "route des Balkans", ainsi qu'à décourager les réseaux criminels de passeurs par l'établissement d'une procédure officielle.

En échange, Ahmet Davutoglu, Premier ministre turc en charge des négociations avec les Européens, a formulé plusieurs exigences. Sur le plan financier d'abord, Ankara réclame de doubler la contribution financière de l'UE à 6 milliards d'euros d'ici 2018 pour l'accueil des Syriens en Turquie. Deuxièmement, M. Davutoglu a demandé l'accélération de la libéralisation des visas pour les ressortissants turcs souhaitant se rendre dans l'Union. Cette dernière, selon le précédent accord passé entre l'Europe et la Turquie en novembre dernier et jusqu'ici largement inappliqué, devait intervenir en octobre prochain : elle devra dorénavant être effective d'ici la fin juin. Enfin, et non des moindres, l'exécutif turc a renouvelé sa volonté de réouverture du processus d'adhésion à l'Union européenne. (puisqu'on ne me demande pas mon avis, je le donne, pour moi, c'est ors de question).

 Signé, "marchand de tapis".

L'Europe ne se resume pas à la crise des migrants, pour information.

   Pour commencer, l'OTAN a diligenté, il y a  plusieurs semaines, des bateaux, sur place, et fait survoler les zones, de telle sorte que le plus possible des réseaux de passeurs, soient interceptés, et jugés.

   Monsieur le Drian, dans un article, hier, je crois, expliquait, que daesh, très probablement, en temps qu'organisation mafieuse, manipulait ces reseaux, et pourquoi, pas aussi, éventuellement, (ça, c'est moi, qui le prétend), tireraient les ficelles, auprès de monsieur Erdogan, pour "ponctionner" l'Europe, alors, que nous sommes en guerre, je le rappelle contre daesh.

   Cette hypothèse, pour moi, relève d'une probalité, qui avoisine les 95%, c'est vous dire mon optimisme sur la question.

  Je suis parfaitement consciente, que mon "amateurisme", en matière de politique internationale, puisse être perçu, comme une entrave par certains, mais précisement, cet amateurisme, (qui vient du mot, aimer, pour rapppel),  au moins, me permet il, pour information, de percevoir certains evenements ou certains faits, de façon peut être plus transversale, que d'autres plus specialistes, ne le pourraient prétendre.

  Ainsi, aujourd'hui, je puis moi, vous affirmer, que si la crise migratoire, est un rele defit, pour l'Europe, cette dernière existe bel et bien, et sur des ref gistres, que certains oublient de voir, et qui pour le coup, sont parfaitement susceptibles, de colmater, ce que j'appellerai, le talon d'achille, de l'Europe.

  Ce talon d'achille, etant, par definition, ce qui se trouve dans le sud, côté BOTTE.

   Pour ce qui concerne le manque de solidarité, qui fait jour au sein de chaque pays d'Europe, concernant la crise des migrants,  je tiens juste à rappeler,  et ça n'est pas pour flatter nos dirigeants, quelque soit le pays que le comportement de solidarité, n'est pas une attitude, qu'on puisse forcer....

   Parmi les populations, qui soutiennent les extrêmes droites, partout, en Europe, j'ai moi, l'absolue certitude que le pourcentage de véritables racistes et xénophobes, n'est pas si élevé qu'on pourrait le penser.

  Pour ce qui concerne l'Europe aujourd'hui, il y a certains points, fort importants, sur les quels, il faut veiller, à une meilleure organisation, qui est la santé, l'agriculture, ces deux secteurs, etant liés, à l'economie, et ensuite, la Justice, qui vient bien avant le reste.

  Demain soir, aura lieu une emission tout à fait passionnate, sur les travailleurs detachés, au sei de l'Europe.

  Peut être que certains ne voient pas trop en quoi, ça puisse se rapporter, avec la crise migratoire. Et bien si, justement, puisque les pays d'europe de l'Est eux, prétextent le chomage, pour argumenter, leur hostilité aux migrants, comme c'est le cas, chez nous, aussi.

  Alors, plus on veillera, sur le plan européen, à lutter contre les concurrences déloyales,  au niveau des salaires, et plus chaque pays, sera susceptible, d'être plus tolérant et plus ouvert, sur les valeurs qui devraient être, pourtant, les vraies valeurs euroépennes. Voilà, quel est mon sentiment.

  Ensuite, viennent se compléter, sous cet angle, le côté culturel, (voir, l'expo qui émane, du Musée de Budapest, en Hongrie,  que je suis allée voir, avant hier, au Musée du Luxembourg, et dont je vais parler, ainsi que le phénomène "jumelages", avec l'exemple de Toulouse.

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