Je précise que le "international", c'est moi, et moi seule qui le décide, et qui donc, l'assume.
En effet, si l'on considère à quel point la mondialisation, soit un aspect, qui impose un prisme, qui est incontournable, contraitrement à ce que prétendent les différents courants d'extrême droite, partout, dans le monde, observer dans n'importe quel salon, quelque soit le secteur concerné, quelle place, prend, ou ne prend pas, telle partie du monde, permet, à defaut, de montrer un reflet, veritable réel et fiable, de la bonne entente de la France, vis à vis de tel pays ou tel autre, au moins, d'en avoir, une vague idée, ou d'en deceler, au contraire des aspects, des plus interpellants, au sens le plus positif, qui soit.
J'ai commencé, ce matin, à en rediger un compte rendu, et j'y reviendrai au fur et à mesure.
Salon du livre, 2016.
C’était hier, réveillée depuis 5h du matin, dans ma Normandie natale, j’avais bossé très tôt, sur le pédocriminalié au sein de l’Eglise…..
Un peu HS, dan la matinée, hésitante, alors que j’avais enfin fait imprimé mon premier manuscrit, et comptait bien rencontrer un éditeur au salon du livre, j’hésitais à faire le déplacement, à cause de la fatigue…..
Et puis je vis sur mon mur FB, sur une petite vidéo, les conditions fort rocambolesques, techniquement, qui ont accompagnées, la sortie du film « le grand bleu », de Luc Besson….. Et surtout, son etat, à lui, à ce moment précis…
Alors, je me suis dit, « bon, ok, "va y ma poule"…. Tu dormiras dans le train ».
J’emmène souvent, pour prendre le train d’anciens CAUSETTES ou d’anciens Charlie Hebdo, que je n’ai as eu le temps de lire.
Du coup, bien sûr, je n’ai pas dormi !
Au piano, à saint Lazare, des jeunes faisaient leur numéro, comme je le fais souvent, je les ai filmés.
Une fois arrivée sur le parvis de la gare, « né à né », avec un groupe de stands, aussi jaune qu’un canaris jonquille puisse l’être, j’ai fait, là encore, quelques photos, et discuté le bout de gras, comme on dit chez nous.
Une fois arrivée porte de Versailles, au salon du livre, ayant laissé mes sacs à la consigne, je rencontrai en faisant la queue, une jeune femme avec qui j’avais une conversation passionnante.
Elle est traductrice, et ne parvient pas à « faire son trou ».
Je lui donnais pon point de vue, c’est un sujet qui me passionne, moi, puisque ma fille ainée, est prof d’anglais agrégée, et je sais qu’il n’est pas impossible qu’elle s’oriente un jour, vers la traduction.
Ma troisième elle, l’a déjà fait, à plusieurs reprises, dans le cadre de son travail, elle bosse dans une bibliothèque universitaire, et a déjà traduit, à plusieurs reprises, des travaux d’Arts.
Mon point de vue, c’est que le rôle du traducteur serait de rendre assimilable, le plus fidèlement possible, face à l’auteur, une œuvre littéraire, quelqu'en soit le contenu.
Mais à ce titre, la traduction, comme la langue, n’est que le média.
A ce titre, il me semble que le meilleurs moyens de mettre en avant le rôle du traducteur, c’est de mettre en avant, « sa cible », c'est-à-dire, soit un secteur particulier, de la littérature, comme pour ma troisième fille, qui l’ait fait pour le domaine artistique, ou comme la flore ou la botanique, dans le cas du charmant monsieur, qui en parlait lors la conférence.
Je lui expliquais donc, qu'usant de ce prétexte là, vouloir défendre un auteur, ou des valeurs particulières relatives, au choix de l’ouvrage traduit, lui servirait de combustible, en quelque sorte, pour mettre en avant, elle, la qualité de son travail, enfin,"argumentaire", me semble plus juste.
Elle semblait être satisfaite, de mon éclairage.
J’entrais dans le salon.
Je papillonnais, d’un stand à un autre….
Je n’ai rien acheté, pour la simple raison, que depuis plusieurs années, et malgré mon faible budget, j’ai déjà acheté certains livres, que je n’ai jamais trouvé le temps de lire, alors……
Je tombe sur stand, « POUR LES NULS »…. Je fouille je regarde. Je demande su la psychologie a déjà été traitée, par cette collection. Oui, me dit on, je le prends, et demande une chaise. On m’accorde le droit de lire quelques minutes, seulement….
Je voulais voir, parce que je suis en train d’écrire sur le sujet, et comme je sais que je suis plutôt douée, pour rendre accessible des choses, qui ne le sont que trop peu, je voulais voir.
Juste en face de moi, je n’avais pas vu, se trouvait un stand, d’un pays arabe.
L’algérie.
Deux hommes, donnaient une conférence.
J’étais debout, derrière.
L’un d’eux, parlait des problèmes rencontrés, lors de traduction, d’ouvrages en langues arabes, donnant pou exemples, le mot « essences », alors, qu’il s’agissait des variétés, d’arbres, qui avaient été traduit, par "gas oil"…..
Puis il demande s’il y a avait des questions…
« Je n’ai pas pu me taire ».
On me propose de m’y assoir, et au premier, rang.
Le problème est le suivant.
J’avais moi, soulevé ce problème, il y a fort longtemps, 6 ans, environ, sur l’entrave que représente la traduction, dans la démarche qui tend à vouloir répendre le savoir.
En effet, je suis la première concernée.
Depuis un an, environ, mon site internet, propose mes articles, à la traduction, traduction via google, bien sûr, en 10 langues, environ.
Il m’arrive souvent, de penser à ce problème, parce que je crains que ces traductions numériques, déforment considérablement les propos que je tiens, dans mes articles.
Ainsi, on me donnât le micro, et j’ai donc expliqué, que s’il rencontrait ce problème, c’était du au fait, que sa traductrice n’avait aucune connaissance en botanique !
Il sourit, et m’expliquât, qu’il était lui, botaniste, et que c’était de traduction automatique, dont il parlait….
Le ton était bon enfant, et ça sentait fort le traquenard, à mon intention. Soit, je m’y pliais de bonne grâce.
A plus forte raison quand réalisais, que deux chaises plus loin, sur ma gauche, se trouvait Alain Rey, éminent linguiste, dont je suis une fervente admiratrice, et qui connait mieux que personne, l'histoire des langues, et comment ces dernières se trouvent intimement liées, les une s aux autres, selon les différentes influences qui les rattachent aussi, aux déplacements des populations, et brassant ainsi les cultures.
Il y avait présent aussi à leurs côtés un jeune homme, traducteur, du français, vers l’arabe, qui nous donna un son de cloche, tout à fait pertinent.
Il nous apprit, ainsi, qu’environ 50% des auteurs algériens, s’expriment en Français, privant ainsi, tous les pays arabes de l’enrichissement culturel, que leurs écrits seraient pourtant susceptibles d’apporter au monde arabe, tous pays confondus.
C’est un vrai problème effectivement, auquel je n’avais jamais pensé.
En cours de rédaction.