Oui, je sais, ce qui fait ma reputation, c'est AUSSI mon sens de la formule, et le moins qu'on puisse dire, c'est que pour secouer le cocotier des professionnels de la finance, excusez moi, mais je cherche l'efficacité avant tout, le cul dont il est question, considerant que ce soit le mien, libre à moi d'user de cette expression comme bon me semble.
Avec toutes les excuses, pour la tutrice, qui s'appelle madame Poulet ! mdr.
Spéciale dédicace à Emmanuel Macron, dont je viens à l'instant, d'être obligée d'aller taper son nom, sur le moteur de recherche, pour retrouver son prénom. En général, ça n'est pas de très bonne augure.
Je viens de tomber sur un commentaire, sur le site de France Inter, que je vous livre.
Je pose des espaces entre les paragraphes, je ventile, j'éparpille façon Puzzle, et j'y reviens dès que possible. J'ai un autre truc sur le gaz.
Il m'est apparu utile de féliciter le choix de France Inter au 5/7 de faire la promotion du livre de Charles Beigbeder, répondant à la question: à qui les mises au chômages par la concurrence déloyale et les refugies fiscaux est elle indispensable ?
Aux Chars de la pensée "think tank " ultraliberaux, militant pour la fin du salariat et le retour aux journaliers, version début 19ieme des contrat zéro heure...
C. Beigbeder milite pour l'auto entreprenariat dont il serait un exemple.
"Il faut un environnement plus favorable à la prise de risques" lance t il à l'antenne publique, qui écoute sagement le dernier qui a "écrit" un livre, pourvu que l'écrivain leur soit connu.
C'est la méthode à n'en pas douter, grâce à laquelle le meilleurs "des changement va advenir "le changement dans la permanence" autre version: le jeu des chaises tournantes: les mêmes changeant de fauteuils, en cercle donc.
Rien de moins infini dans la permanence qu'un cercle... Encore nommé processus de recyclage.
Charles Beigbeder part donc en guerre avec un tank dénommé "l'avant garde" à l'assaut des salaires trop risqués pour l'homme moderne sans passé ni filets de sécurité qui sait se lancer dans le vide depuis Neuilly ou il est né, ou un prêt s'obtient sur un nom, ou un nom de nom ou un.. un réseau.
Donc, de connaisances, de solidarités, d'argent en trop à investir dans la promotion des "idées" politiques qui rapportent des "affaires", et des fonds pour gagner le paradis en toute "l'égalité "(super) mise en place par les amis qui "décident" des lois.
De quoi faire son marché des lois et changements qu'il faut ou ne faut surtout pas mettre en place.
Au vu des évolutions de fonds et des changements réellement nécessaires à la majorité des français, on mesure le vérouillage complet d'un pouvoir qui s'autorise tout, sans plus aucune limites de décence à présent.
L'exaspération qu'ils parviennent à provoquer devant l'amoncellement de "non sens" qui monte qui monte serait la bonne mesure de l'Etat d'esprit ambiant.
Ne mesurant et remediant qua la colère exprimée pour peu quelle bloque les routes avec des tracteurs, ils entendent poursuivre tranquillement, et les médias avec eux à se focaliser sur le symptômes du mal qui les fait vivre beaucoup mieux qu'a présent la très large majorité des français.
Craignant pour les régionales, mais pas pour la présidentielle, ils sont certains de maîtriser le sujet.
Pensant qu'il leur suffira d'opposer une position morale sur Marine Le Pen a une position AMORALE de poursuite ultralibérale de compétition déloyale, destructrice porteuse des plus grandes violences.
▶▶ leur modèle: l'Amerique est un parangon de violence.
Il suffit de voir le nombre de films qui en font preuve et en font état, pour comprendre que nous avons sous les yeux une culture de la violence à l'etat pur.
Stylisée, cinématographiée, elle est pour beaucoup soutenable.
Mais pour les journalistes qui pensent combattre le mal et le "racisme" qu'ils voient dans le rejet de l'immigration, comme une évidence, de même qu'en Afrique du Sud en crise, des émeutes ont eu lieu contre l'immigration en provenance d'autres pays d'Afrique dont on ne peut penser qu'elles relevaient surtout d'un problème de couleur ou de religion, des points de cristalisation d'une cause, entre les mains d'un pouvoir qui en tire Partis (oui !) revenus, maintien à leur poste, et poursuite sans être nullement inquiètés.
Assurés, ils le sont, et confortés par des médias s'attachant à moraliser le symptômes, sans moraliser la cause, certains que les digues sont maintenues solidement, ainsi pour laisser les responsables des désordres en poste, tester jusqu'où ils peuvent aller encore trop loin.
Au delà des limites il n'y à plus de frontières pour Coluche.
Les journalistes devraient avoir connaissance de nombreux chiffres qu'ils ignorent, en s'informant auprès de l'AFP, dirigée comme les banques systémiques par un Énarque, un membre de ce qui opère actuellement comme la mafia, et tissé sa toile pour capter les richesses au seul profit de sa caste.
Confondant la cause avec l'effet, les "mefias" (joli !) s'attachent à soigner l'expression externe de la maladie sur le malade, traitant les symptômes plus que le virus, aboutissant à la probabilité d'emprisonnement supérieure à 30% d'un noir entre 20 et 40 ans.
Il est temps qu'ils ouvrent les yeux sur la violence interne, et extérieure sur laquelle repose l'ultra liberalisme, pour comprendre vers quelle violence ils entraîne notre culture inconsidérément.
Les analystes aux États Unis voient dans les sujets traités, l'expression d'une "Unresolved Issue", un problème irrésolu par la société, sa culture profonde, les valeurs quelle véhicule... Vu de ce coté de l'atlantique, les états unis apparaissent comme une "puissance" sans aspérités, sans détails.
Ils y sont pourtant. Et à moins d'une vision idolâtre, permettant parfaitement de prévoir ses évolutions.
Qui sait dans les détails non donnés aux français, criant au sauveur par exemple que Goldman Sachs était le premier contributeur financier d'OBAMA ?
Ce qui a valu à l'un de ses membres, le poste de secrétaire du TRESOR.
Ce qui a valu ce que personne n'a compris, vu d'ici, avec les filtrage des journalistes français de l'establishment, que les banques ne se voient pas "reprises en main" au lendemain de la crise des subprimes.
Nulle part ni aux USA, ni en Europe, n'est mise en place une réglementation mettant fin au danger et à la prédation financière des banquiers.
Il est clairement établi que seule la pression extérieure des peuples parviendrait à instituer une protection contre ce fléau.
Cependant, les médias n'informant pas sur les enjeux en cours, les financiers poursuivent les déprédations qui provoqueront ce que les journalistes pensent résoudre en moralisant le sujet des immigrés, sans résoudre celui des fracturations au programme d'un Bruxelles aux mains sans contrôle, en toute libéralité des plus extrêmes des extrémistes d'une arme de destruction massive, parée d'un silencieux, éloignant des médias nourris de bruits, de fureur, et de Tsunami une fois advenu.
▶▶ biographie de Charles Beibeder "En mars 2015, il cofonde le collectif « Phénix », un think-tank libéral-conservateur, avec l'ancien ministre de la Défense Charles Millon, la responsable de la Marche pour la Vie Julie Graziani et l'ex-responsable de La Manif pour tous Anne Lorne.
Ils entendent pouvoir proposer au candidat de la droite à l'élection présidentielle de 2017 un programme « clef en main »".
En cours de rédaction.