J'ai regardé ce reportage avec beaucoup d'attention, et je dois dire que j'ai été assez choquée.
Pour commencer, les américains, ont une relation au armes, franchement suspecte.
Pour rappelle, il est bon de rappler, que le port d'arme, là bas, à pour origine, l'eposue des western, qui ont fait la reputation, du cinemas Holliwoodien, et servi d'affiche publicitaire, soit dit en passant, à l'Amerique toute entière.
Mais enfin, passons, chauqe pays porte son histoire, et certains passage, la France n'est pas épargnée, non plus, sont quelquefois difficiles à assumer.
Mais à la base, le port d'arme, n'avait pour seule raison d'être que de sauver sa peau, face à quelqu'un qui était armé, lui aussi.
Cette posture intellectuellement, pour moi, a toujours été irrecevable, puisqu'elle est aux antipodes, du dialogue, de la conversation, qui est le seul mode de communication, qui soit entendable, pour résoudre un conflit entre deux personnes.
Comment peut élever son enfant, aujpurd'hui, dans une maison, où il y a des armes, si l'enfant, sait, que la véritable raison, pour laquelle il y a une arme, ne reside absolument pas dans un sport, qui n'est qu'un pretexte, mais bel et bien, pour avor le sentiment, d'être "quelqu'un", comme si le fait, de porter une armes, fisait le bonhomme ou la bonne femme.....
Ce qui fait la valeur d'un individu, c'est precisement, exactment l'inverse, c'est à dire, quelqu'un qui resoud, ces problèmes de relations, par la conversation, et le dialogue.
J'ai entendu, l'un des pro arme, tendre l'argument, qui serait, que quelqu'un qui veut tuer, avec une arme blanche, le ferait, de toute façon.
Et bien non, justement.
Parce que commetre un meurtre avec une arme blanche me semble beaucoup plus compliqué, que de le commetre, avec une arme à feu. Pour moi, c'est certain.
Peut être certains considèrent que le sujet, n'est pas lié, avec la racisme, aux USA, moi, je pense que si.....
Le racisme, est une sorte de zone d'ombre, qui vit tapie, au fond de l'âme humaine, là où on ne le croit pas.
Elle arrivait des Somalies Lily
Dans un bateau plein d´émigrés
Qui venaient tous de leur plein gré
Vider les poubelles à Paris
Elle croyait qu´on était égaux Lily
Au pays de Voltaire et d´Hugo Lily
Mais pour Debussy en revanche
Il faut deux noires pour une blanche
Ça fait un sacré distinguo
Elle aimait tant la liberté Lily
Elle rêvait de fraternité Lily
Un hôtelier rue Secrétan
Lui a précisé en arrivant
Qu´on ne recevait que des Blancs
Elle a déchargé des cageots Lily
Elle s´est tapé les sales boulots Lily
Elle crie pour vendre des choux-fleurs
Dans la rue ses frères de couleur
L´accompagnent au marteau-piqueur
Et quand on l´appelait Blanche-Neige Lily
Elle se laissait plus prendre au piège Lily
Elle trouvait ça très amusant
Même s´il fallait serrer les dents
Ils auraient été trop contents
Elle aima un beau blond frisé Lily
Qui était tout prêt à l´épouser Lily
Mais la belle-famille lui dit nous
Ne sommes pas racistes pour deux sous
Mais on veut pas de ça chez nous
Elle a essayé l´Amérique Lily
Ce grand pays démocratique Lily
Elle aurait pas cru sans le voir
Que la couleur du désespoir
Là-bas aussi ce fût le noir
Mais dans un meeting à Memphis Lily
Elle a vu Angela Davis Lily
Qui lui dit viens ma petite sœur
En s´unissant on a moins peur
Des loups qui guettent le trappeur
Et c´est pour conjurer sa peur Lily
Qu´elle lève aussi un poing rageur Lily
Au milieu de tous ces gugus
Qui foutent le feu aux autobus
Interdits aux gens de couleur
Mais dans ton combat quotidien Lily
Tu connaîtras un type bien Lily
Et l´enfant qui naîtra un jour
Aura la couleur de l´amour
Contre laquelle on ne peut rien
On la trouvait plutôt jolie, Lily
Elle arrivait des Somalies Lily
Dans un bateau plein d´émigrés
Qui venaient tous de leur plein gré
Vider les poubelles à Paris.