J'ai bien dit "DEMOCRATURE et pas "dictature" de la finance. parce que pretendre à une forme de dictature de la finance, c'est une posture, extrême qui ejecte d'emblée, la notion de finance, ce qui n'est pas ma posture? je crois, moi, au contraire que les valeurs humanistes, peuvent parfaitement se conjuguer, avec le commerce, et l'entreprise...
Simplement, cette vision, altruite, du commerce, ça n'est pas franchement la tasse de thé, des financiers, et plus largement, de la haute finance internationale.
Mais comme je dis souvent, "il ne fait pas jeter le bébé avec l'eau du bain, sur tout s'il s'agit des fond batismaux".
D'ailleurs, en ce dimanche matin, je viens d'apprendre que mon ami le pape François, a fait l'objet d'un livre, qui s'appelle "un pape qui dérange". Dommage que son auteur, n'ait pas rajouté, ensuite, "et françoise qui vous emmerde", au moins, le spectacle eut il été complet.
Excusez moi, mon nez de clown, non content d'avoir répandu son encre rouge, sur mon site internet, à du fumé la moquette, cette nuit, pendant que je dormais, du sommeil du JUSTE.
Oui, je reste en rouge, tiens, ça me fait rigoler.
Oui, je sais, avoir la prétention de bosser en politique, quand on a une nature de clown, "est ce bien raisonnable"...
La réponse est sans aucune doute, NON, ABSOLUMENT PAS...
Mais comme je ne travaille que par Amour, et pas Passion, la raison, je vous propose de vous la coller où vous savez.
Et puis vous savez ce que l'on dit, "le coeur à ses raisons, que la raison ne connait pas".
Et puis nous avons des antécédant celèbres, ici en France, en la personne de Coluche, sur le sujet, il faut pas croire, c'est parce qu'on a une nature comique, qu'on raisonne comme un gland, en politique, hein.
VOILA.
Style détendu, story telling aux petits oignons et image 100% maîtrisée... Pendant huit ans, Barack Obama a fait de son style (plus communément appelé"son cool") une arme de communication.
Oui, c'est vrai que Obama, est (présent, et pas imparfait, je vous prie), mais ce que l'on ne dit pas, c'est que si Obama, plaisiait tant, et surtout, seduisait tant, c'était juste que ça n'était pas une posture, mais au contraire, qu'il était nature, et qu'il était vrai, voilà, la tres grand nuance, entre trump, et Obama.
Homme de télévision et businessman, son successeur, Donald Trump, s'illustre d'ores et déjà par des pratiques radicalement différentes. "Comme vous le savez, je suis actuellement en guerre contre les médias.
Oui, c'est logique, trump n'a jamais vu dans les médias, qu'un moyen soit de gagner de l'argent, soit de se mettre en scène, au détriment, d'une vision altruiste, comme moi, je le promeus, du mieux que je peux, depuis des années, par intermédiaire de France Télévision, notamment, mais aussi, bien au delà.
ls font partie des êtres humains les plus malhonnêtes de la planète", a prévenu le président, samedi 21 janvier, dans les locaux de la CIA.
Ha, mais non, il fait une grave erreur, là, il les a toujours utilisés, lui, selon son bon vouloir, pour le servir, lui. Mais une vision altruite des médias, ça consiste à accepter que le milieu des journalistes fassent leur travail, avec le plus d'objectivité possible.
Bien sûr, je ne suis pas naïve, et je sais bien que par l'intermediaire des groupes de presse, ou des multinationales, telle chaine ou telle autre, selon celui qui dirige le groupe, et l'orientation qui ait été donné, en conseil d'administration, je sais fort bien, que certaines consignes soient données.
Mais enfin, soyons réaliste, je vous prie. Le problème en Democratie, aujourd'hui, est le suivant.
Comment faire le plus d'argent possible, sans avoir le sentiment, enfin, en tout cas, le moins possible, de vendre son âme au Diable....
Il ne faut pas reprocher aux chaines, et groupes de presse, de chercher à gagner de l'argent, il faut bien payer les employés, les journalistes, les animateurs, et tous les salariés qui travaillent.
Je veux dire que les médias, C'EST DU BUSINESS, et pourquoi s'en cacher ?
Pendant la campagne électorale, le président américain n'a pas supporté que les grands quotidiens et la plupart des chaînes d'information appellent à voter pour son adversaire, Hillary Clinton. En guerre contre la presse et les journalistes, Donald Trump a déjà révolutionné la communication présidentielle. Retour sur une relation tumultueuse.
Pour moi, la seule methode qui vaille en matière de communication, ça s'appelle "la sincerité", et ça ne fait pas necessairement, avec la notion même de commerce.
Trump ou le mépris pour les faits
Dès leur premier jour à la Maison Blanche, Donald Trump et son équipe ont suscité l'émoi dans la "Briefing room", cette pièce dans laquelle le porte-parole du gouvernement tient un point quotidien devant les journalistes accrédités. Pour son baptême du feu, samedi 21 janvier, Sean Spicer, tout juste nommé "Press Sec'" ("secrétaire chargé des Relations avec les médias") aborde une question de taille : l'affluence du public, la veille, sur l'Esplanade nationale, à Washington, pour l'investiture du président républicain.
Alors que photos et images aériennes montrent une assistance clairsemée, inférieure en nombre à celle qui avait acclamé Barack Obama en 2009, Sean Spicer assure sans sourciller que l'événement a rassemblé "le plus grand public ayant jamais assisté à une investiture, un point c'est tout".
Oui, et bien c'est juste ce que moi, j'appelle "un truand", de toute façon, pour bosser pour trump, il n'a pas le choix, je suppose qu'il est grassement payé, pour vendre précisement, son âme au diable de la sorte.
Alors que le "Press Sec" quitte son pupitre sans répondre aux questions des journalistes, le correspondant du New York Times* tweete : "La mâchoire m'en tombe."
Et oui, comme je les comprends.
Le lendemain, c'est au tour de la conseillère de Donald Trump, Kellyanne Conway, de défendre cet étrange décompte, en direct sur NBC. "Pourquoi le président a demandé à un porte-parole de la Maison Blanche de monter sur l'estrade pour la première fois et de mentir ?" interroge le journaliste Chuck Todd, lui aussi décontenancé par les déclarations de la veille. "Ne surdramatisez pas, Chuck. Vous dites des choses fausses", lui répond la conseillère de Trump, qui ajoute que "Sean Spicer a donné des faits alternatifs". Une expression qui semble tout droit sorti de la "novlangue" inventée par George Orwell dans son roman de science-fiction 1984, s'inquiètent les observateurs de la politique américaine. Un roman dont les ventes décollent d'ailleurs ces derniers jours aux Etats-Unis...