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Christelle Chollet, à BOBINO, COMIC SHOW.

Le 31/12/2015

Dans POLITIQUE INTERNATIONALE.

   Bon, autant vous le dire franco, pour moi, c’était un quasi « retour aux sources », non pas relativement à la salle, que je découvrais, mais relativement à un vieux compte, que j’avais à régler, au sujet d’un concert  à Paris, où une fois sur place, alors que je m’étais déplacée de Normandie, on m’avait annoncé au guichet, que je n’étais pas la bienvenue…..

 « Règlement de compte », avec issue positive, qu’on se rassure.

    Quoi qu’il en soit, donc, ayant laissé mon chameau et mes malles, version, Laurence d’Arabie, à l’hôtel, j’arrivais par le métro, à la station gaité, qui au métro parisien, la méthode coué, du transport en commun parisien….

    Imaginez donc la scène,  si vous preniez le métro, et que les stations,  s’appelle « dépression nerveuse », ou bien « syndrome post traumatique »……

    A moins que pour un remarque de la famille Adam’s…….Avec pour rôle principal, Kev’ (Adams), bien sûr, pour quelle raison croyez vous qu’il ait choisi ce nom……

    Ainsi, j’allais le cœur léger, entre mon hôtel, et la gaité, je taillais la bavette, avec deux personnes, qui tendraient à prouver que non, décidément, on peut être en bas de l’échelle sociale, et oui, et ne pas lobotomisé, par les écrans, voir, adresser la parole, aux autres bipèdes, qui se véhiculent dans ces tunnels si propices aux histoires sombres de frottements lubriques……

 Le premier, était enfoui, dans un gros bouquin, les écouteurs, sur les oreilles…. Je lui tapote, sur le genou, avec mon index…. Il retire d  ses écouteurs, et me sourit.

 « dis donc, excuse moi, je peux te poser une question   ? ».

 Il acquiesce.

 « Comment tu fais, pour parvenir à bouquiner, être concentré sur ce que tu lis, et parallèlement, écouter de la musique ?

 Il me répondit, « c’est parce que c’est du classique ».

 J’ai répondu, « ha, ok, « c’est pas grave, c’est du classique ».

  La suite de notre conversation, ET BIEN CA NE VOUS REGARDE PAS.

   Intérieurement, je me disais, »voilà, en fait, où se trouve le problème du désamour, relativement à la chanson à texte, quand les chanteurs  font un disque, il faut juste qu’ils ferment leur gueule, et qu’il ne confie le travail, qu’aux compositeurs, et qu’ils se taisent, mais c’est bien sûr, comment n’y ai ja pas pensé plus tôt, pour mon prochain, opus, je tâcherai d’y penser.

   Juste un commentaire, je ne cherche à blesser personne, dans ce milieu, où pourtant, j’aurai bien des choses  à dire, aussi, cette pirouette  n’a pas ambition de régler des comptes,  c’est juste un réflexe, que de partager une méthode  thérapeutique qui consiste à sourire, du moindre fait, ou de la moindre réflexion  ou observation  qui se présente, en l’occurrence, pour moi, avoir moins mal.

Il descend…..

   Une femme s’assoit en face de moi, une femme charmante  et avenante…. Une journée de travail derrière elle, visiblement, une femme qui aime son travail, et qui le lui rend bien, tout le monde n’a pas cette chance, au point que son regard me dit, qu’elle n’est pas fermée à la parlotte.

   Ce sont ses lunettes, qui m’en ont donné l’occasion.

    De magnifiques lunettes blondes,  avec les racines qui trahissent juste un peu sa couleur d’origine.(ha ha ha ha ha ha ha).

    La complicité s’est installée tout de suite, convenant d’un commun accord que de tout et de rien, était un sujet, dont l’apparente banalité habillerait comme il se devait, la brièveté de cette rencontre

aussi féminine que complice, et brève…

   La gaité était arrivée à moi, il ne fallait surtout pas qu’elle m’échappe.

    Je sais bien que « le bonheur est dans le pré salé », mais de là à laisser filer la gaité, fallait quand même pas exagérer non plus.

  Moi, quand je viens à Paris, doit me trainer toujours, ordinateur, sac à main, etc, enfin, chargée comme un mulet, pour le pas dire « un âne normand »…. Là, quasiment, les mains dans les poches, j’appréciais d’aller le cœur et le pas léger.

   J’étais dans la bonne rue, je vois une file…..

 Bobino, c’est bien ici ?

 « oui, oui »…. Je remonte la file, pour acheter mon billet.

   Je demande…. On me dit, « la file côté rue, vous avez déjà votre billet, coté mur, tout contre le mur, vous attendez, pour l’ouverture des caisse , elle riait en me disant ça….

   Je la prends au mot……Dites moi donc, vous, vous dites « plaquée contre le mur »… Est-ce que je suis sensée voir une quelconque symbolique, ou allusion, à quelque chose ? Elle se marre, « non non, absolument pas ».

   Bon, je remonte entre les deux files, les gens me regarde souriant,  évoluer au milieu….. Un charmant jeune homme tente de discipliner un peu les deux files….

 Je le chope…. « dis donc, toi, j’ai pas mon billet »…..

 « Suivez moi, je refais la longueur de la file, tout le monde  sourit.

 Il m’amène au guichet……

 « Bonjour madame…… Je voudrai avoir une place, s’il vous plait, pour voir Christelle Chollet »…

 Elle me dit, « mais madame….. Vous vous êtes trompée de théâtre,  c’est à Bobino, à deux pas d’ici !

  « Ici c’est Timsit »…..

 Je rigole… « bon, OK,  pas de souci,  ça sera pour une prochaine, pour les invitations, aucun souci, je prends tout ce qu’on me donne »….

 Je ressors, à la tête de la file, ils se marrent, (  bande d’enfoirés, croyez vous qu’ils me l’auraient dit, ces couillons là ?).

  Bon, effectivement, c’était pas loin, là, j’ai levé le nez, non mais c’est vrai, quoi, on allait quand même pas me balader comme ça, « rue de la gaité », comme une boule de flipper, encore longtemps !

 Je vois la trombine de Christelle Chollet, sur l’affiche….. Je me suis dit que selon les dernières statistiques, la d force du vent, et surtout,surtout, l'age du capitaine, il serait fort probable alors, que je sois arrivée au bon théâtre.

 Ce que j’ai trouvé marrant, pour commencer, c’est que l’entrée est au fond d’une petite cour, version, « cour des miracles »….. (clin d’œil, au pape François, qui est à la chrétienté, ce que la sage femme, qui n’est pas si sage qu’on pourrait le croire,  est à la femme « gestante »…..

     Oui, j’aime bien glisser par ci par là, quelques notions agricoles  J’en suis pas encore à venir à au théâtre à Paris, avec une « casquette » CONFÉDÉRATION PAYSANNE, mais j’en suis parfaitement capable.( José, fais peter les casquettes !).

   Juste devant moi,  defaçon transversale, un jeune homme peinait ) tenir un groupe, pour les prendre en photo.....

  Clin d'oeil, à Jean Marie Bigard, je suppose, relativement à son excellent sketch, sur la photo de mariage.... deux options, s'offraient à moi... Soit je le laissais peiner. Soit je m'en mêlait.

  Je ne sais plus quelle connerie j'ai sorti. Pour être franche.

 Clic, c'était dans la boite, je lui file un coup de coude, et lui dit, "v ben dis donc, heureusement que j'étais là, parce que ta photo, elle aurait foiré ....

 Et puis franchement.

Juste devant moi,  defaçon transversale, un jeune homme peinait ) tenir un groupe, pour les prendre en photo.....

  Clin d'oeil, à Jean Marie Bigard, je suppose, relativement à son excellent sketch, sur la photo de mariage.... deux options, s'offraient à moi... Soit je le laissais peiner. Soit je m'en mêlait.

  Je ne sais plus quelle connerie j'ai sorti. Pour être franche.

 Clic, c'était dans la boite, je lui file un coup de coude, et lui dit, "v ben dis donc, heureusement que j'étais là, parce que ta photo, elle aurait foiré ....

 Et puis franchement.

 Bon, on dit parait il, que  les fréquentations de salle de spectacle sont en baisse….

 Ce qui doit être vrai, je suppose.

  Mais enfin, constater que pour faire le spectacle, à l’intérieur même de la cour des miracles, des culs de jatte unijambistes sur leurs petites planches à roulette, à côté desquels, les surfeurs de la Réunion peuvent aller se rhabiller, je peux vous le dire, ces derniers, déguisés en dh jihadistes, coiffés, d’une perruque blonde, alors, que la blondasse en question, « même pas décolorée au régie color », vient de laisser tomber le Nord pas de Calais,  parce qu’elle pense que ça n’est plus à présent, que de la roupie de sansonnet, ils sont là, hier soir, il y en avait un, muet, qui gémissait lamentablement, l’œil vitreux, en mal de collyre, « à vot’ bon cœur, m’sieur dame »……. La kalachnikov ‘improvisée en soliflore, pointait, son canon vers le ciel, avec une rose en plastic, passée par le soleil, qu’il avait du aller chouraver dans un cimetière, comme seul agrément, là, je me suis dit, « Françoise, il faut un geste fort »….

 Que la ville de Paris, sorte les grands moyens, je pouvais l’admettre… Mais embaucher des sosies de jm le pen, pour promouvoir les spectacles parisiens, s’en était trop.

 Une magnifique  perspective, s’offrait à moi, avec une légère pente….

   Je donnais un coup violent, à la planche à roulette, et le pseudo handicapé heurta violemment le mur de béton, et éclaboussa de quelques infimes giclées de sang, les affiches du spectacle….. Sa langue de 30 cm, pendait lamentablement, sur le côté droit, avec quelques filets de bave, qui dessinaient sur le bitume, des traces fluorescentes, à peine promptes à stimuler mon imagination débordante, en période picturale.

en cours de redaction.

 

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