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Que reste t il de notre dimanche de janvier ? (commémoration du rassemblement).

Le 12/01/2016

Dans POLITIQUE INTÉRIEURE.

 J'ai regardé cette ceremonie "à l'heure de la Messe", avec beaucoup d'intérêt, et surtout, d'émotion.

   Pour ceux qui n'étaient pas ravis de voir que c'était Johnny qui chantait, j'informe juste que si je ne l'ai pas choisi, moi, j'en suis neammoins responsable.

   En effet,  j'ai tenu des propos un jour, à son sujet, qui demontrait à quel point, pour nous français, il est sans conteste l'artiste, le plus aimé, ce qui n'avait pas manqué d'inspier, Loïc lantoine, en passant.

   C'est l'occasion de faire rigoler les Etoiles, aussi, sachant que Wolinski (et pas avec un "Y"), ne l'amait pas, et qu'il s'en moquait,  je n'ai aucun doute sur le fait que son esprit, lui, qui ne mourra jamais, a été lui aussi ému, par l'extrême sobriété de sa prestation,  et surtout, l'interrogation, que pose, le texte qu'on doit à Jeanne Chehal.

   Merci, Jeanne, "quel joli prénom".

  Sur cette commémoration, j'ai plusieurs commentaires à faire.

    J'ai adoré la chanson  du "temps des cerises", chantée par la chorale, remarqué que le chef d'orchestre est une femme, ainsi que la chanson de Jacques Brel, qui était Belge, rappelons le, alors que bruxelles, est précisement, le coeur de l'Europe.

   Au sujet des quelques familles qui ont refusé de se joindre aux autres, lors de cette commémoration,  parce qu'ils consifderent que l'eat a manqué à son devoir, au sujet de la surveillance de Charlie hebdo, alors, qu'ils recevaient des menaces, à intervalles reguliers.

  Je comprends leur position.

   Mais je pense qu'il importe de tenir compte d'un fait, dont personne ne parle, qui consiste à répertorier véritablement, en quoi, comment, et de quelle nature, était à l'époque, les menaces non pas sur Charlie Hebdo, mais sur les autres journeaux satyriques, aussi, je pense notamment, au Canard Enchainé.....

  Il faudrait que soient centralisé, d'ailleurs, pour l'ensebled e la presse, les menavces de mort, jutement, dans le seul et unique but, de comprendre, quelles sont les menaces, si elles sont prsonnelles, ou pas, afin que les servicesdesecurité, puissent prendre les bonnes decisions.

   Une fois ces constatations faites, il y a deux postures....

   Soit les risques étaient bien réels, mais diséminés, auquel cas, pour les services concernés, cette négligeance, était compréhensible, puisque le risque était difficile  à localiser, soit, Charlie faisait l'objet de menaces, effectivement plus fréquentes, et plus précises, auquel cas, la plainte est entendable.

  Pour ce qui concerne le fait, que l'affluence, autant à la cérémonie, que dans la journée, n'ait pas été aussi forte qu'on l'aurait espéré, pour moi, ça n'a absolument aucun signification, particulière.

  Une raison, c'est comme je l'ai entendu, le fait, que certains peut être, aient eu le sentiment, d'une forme de récuperation, de la part du gouvernement....

   Cette remarque, je la comprends, je sais aussi, que si rien n'avait été fait, tout le monde aurait prétendu, que ce rassemblement, sans précédent, aurait été perçu comme sous estimé par le gouvernement.....

   On fait, bien, et sobre, il y a des mécontents, on ne fait rien, il y a d'autres mécontents, je crois que c'est le lot de tout gouvernement, que de déplaire, toute tendances  polotiques confondues.

Moi, je pense qu'ils ont eu raison, de faire cette commémoration, parce que le mouvement en disait long.

  Et pour en revenir à la question, posée par Jeanne Cherhal, "que reste t il, de notre dimanche de janvier" moi, je dirai qu'il en reste bien plus qu'on ne le croit, mais ça n'est pas quelque chose de palpable, de façon visible....

  A pluseurs reprises, j'ai entendu que depuis ces attentants, plus encore, depuis ceux du 13 novembre, les parisiens, sont plus attentifs, les uns vis à vis des autres....

   Moi, je suis allée au théâtre il y a quelques semaines, j'ai passé une excellente soirée, et je n'ai vu personne d'aigri, de froid, ou de désagréable, les gens, il me semble, se parlent plus, qu'ils ne le faisaient avant.

  Mon resenti, c'est que le sentiment d'être français, et particulièrement parsien est plus fort qu'auparavent.

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