Je viens de tomber sur ça, sur mon mur FB.....
Nuit debout : lettre ouverte à Frédéric Lordon
Le blog s'appelle "l'arène nue".
Non, mas dis donc, espèce de petit con, tu sais, ce qu'elle te dit, Marie Antoinette ?
Bon, une fois rigolé, c'est bon, mais n'empêche que sa lettre, à Frédérik Lordon, qui est un petit neveu de Jack Lordon, célèbre reporter de guerre qui a donné le prix qui récompense ceux qui sont si chers à mon coeur, et bien, dans son article, il dit des trucs, tout à fait au poil, qui moi, me parlent particulièrement.
Il y est question de cadre....
http://l-arene-nue.blogspot.fr/2016/04/nuit-debout-lettre-ouverte-frederic.html?m=1
Car le problème aujourd'hui, est le suivant.
Je comprends mieux que personne, le rejet partiel ou total des institutions, telles qu'elles nous sont imposées, aujourd'hui, en France, en Europe, et plus largement, par l'effet papillon, dans le monde tel qu'il va, et je suis, croyez moi, parfaitement consciente de la souffrance et de l'inquiétude qui ronge certains, chez les jeunes, et chez les moins jeunes, aujourd'hui, qu'il viennent aux nuits debout, ou pas.
Mais n'importe quelle société doit fonctionner, selon certaines règles, et s'il est parfaitement souhaitable et respectable, d'entendre et de respecter, ces positions, il ne faut jamais oublier, que nos institutions, si imparfaites soient elles, sachant qu'elles demandent à être revues et corrigées, exigent de nous, citoyens, et DANS L'URGENCE de veiller au grain comme on dit vulgairement.
Je veux parler de la politique, TELLE QU'ELLE VA ET NOUS BROIE, tous, autant que nous sommes, c'est pour ça, que ce matin encore, l'exhortais les jeunes, et les moins jeunes, dans le respects de leurs désirs, et de leurs aspirations, non pas à rentrer dans le rang, comme certains à tort, le croient, peut être, mais plutôt, à chercher à trouver un mode d'action, qui soit parallèle à la nuit debout, et qui soit assez sages, pour se satisfaire, disons, pour un tiers de leur énergie, des institutions politiques, et des partis, TELS QU'ILS SONT ACTUELLEMENT....
Aucune de nos intitutions, aujourd'hui, ne vous a interdit de rêver un monde différent.
Aucune de nos intitutions, jamais, ne vous a brisé (à quelques exceptions, pres, je vous l'accorde), à vous rasembler, et à envisager, vos actions politiques....
Mais il arrive un moment, où il faut avoir le courage d'agir, et d'assumer, de vouloir être acteurs, véritablement, de vos vies.
Moi, de mon côté j'ai Laurence Parisot, qui attend mon signal, pour si possible reprendre la place qui lui a été retirée, par Gataz, qui n'a jamais été à la hauteur, il faut absolument trouver un moyen de trouver une sortie honorable pour chacun, de ce conflit sur le droit du travail.
En cours de redaction.
