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Légitimiser la précarité en flinguant le syndicalisme, et la notion même de CDI, est ce ça "le courage"" ?

Le 02/09/2017

Dans POLITIQUE INTÉRIEURE.

"REUSSIR POUR LES AUTRES".

vendredi 30 juin 2017

Emmanuel Macron: Réussir pour les autres...

"En chaque homme il y a un cynique, et ce cynique, c'est à chacun de le faire taire".

Samedi 2 septembre 2017.

  Evidemment, difficile d'observer cette réflexion, faite, il y a quelques semaines, maintenant, sous le regard actuel, de la Loi travail….

  Peut on décemment, considérer comme cynique, le fait d'avoir la prétention de protéger ses intérêts, quand on les avoir menacés, comme ils le sont de façon indiscutable, avec la nouvelle loi travail, qui serait en passe, non pas d'être votée, mais de nous être imposée, par le truchement des  ordonnances ?

  Rétrospectivement, observer cette réflexion me semble particulièrement pertinent, parce qu'elle tendrait à tenter de nous faire croire, qu'un salarié qui lutte contre cette nouvelle loi travail, que l'on tente de nous imposer, perdrait selon lui, non seulement le sens de l'intérêt commun, mais aussi, la simple notion de solidarité, qui dans le contexte même, je le rappelle n'est rien de moins que la raison d'être du syndicalisme…

  A la lumière de l'actualité de la nouvelle loi travail,  je dois avouer que la lecture que je fais de cette réflexion, ne signifie rien de moins, que la négation même de la démarche syndicale,  j'en tiens pour preuve, le fait que certaines des décisions,  ne consistent en rien de moins, que de passer "par-dessus", le syndicat, pour négocier avec le salarié.

  Cette réflexion  tendrait à laisser croire que le salarié, n'est qu'un ignare, qui n'y connaît rien à l'économie, pessimiste né, il est incapable d'imaginer une seule seconde, que de nouvelle loi "bien au-delà de l'économie", puisque cette réflexion n'était pas dite, dans le contexte de la loi travail particulièrement, mais dans un contexte, beaucoup plus global…

  Il a dit, dernièrement, que les français  refusaient par principe même, les réformes….

  Sur ce point, hélas, je dois avouer qu'il n'a pas tout à fait tort….

  Sauf que de parler des français comme ça, dans leur globalité est une d'une bêtise, et d'une maladresse absolument incroyable, puisque c'est nier, par définition, les différences de classes sociales, alors que cet aspect, est juste fondamental, puisque l'on sait que grâce à sa politique, les riches vont devenir encore plus riches, et les pauvres encore plus pauvres.

  Désolée, pour mon interprétation, qui peut sembler un peu maniquenne, mais si les riches acceptent plus facilement, que des réformes soient menées,  c'est plus souvent, parce qu'ils espèrent que leurs intérêts propres se voient le moins possible menacés, alors que l'intérêt collectif, pour peu qu'il existe, ce qui n'est pas toujours le cas, passera au second plan….

  Alors que si les pauvres ont du mal à accepter les réformes,  c'est plutôt parce qu'ils ont conscience, que l'ornière, dans laquelle ils se trouvent déjà, risque de les y laisser, dans des proportions encore plus sûres….

 DIFFICILE A REFORMER ? La France ?

  Mais de quel réformes parlons nous ?

  A qui doivent bénéficier les réformes, quand elles sont faites ? Non pas, de façon directes,  je précise, mais en intégrant véritablement, la notion même d'entreprise et d'économie, si ce n'est aux français eux même, et à l'humain ?

 A QUI CES REFORMES DOIVENT ELLES PROFITER ?

  On nous dit, haut et fort, que les entreprises, par les emplois qu'elle génèrent,  sont le véritable poumon, de l'économie….

  C'est juste oublier, que des que c'est possible, le patron en question, va robotiser le plus possible, je cite: "pour rentabiliser son entreprise, et faire face à la compétitivité internationale"…… Rendant ainsi, l'économie "ors humain, dans l'intention", comme on cultive, aujourd'hui, des fruits et des légumes, ou autres végétaux, "ors sol…

  A qui doive profiter ces réformes , une chose est certaine désormais,  c'est bien l'humain, dans son ensemble, qui se trouve derrière la porte, pour en profiter en tout cas, parce que les répercussions, et je ne parle pas uniquement du salaire, personne jamais ne les aborde, encore, je veux parler, de l'octroi des prêts, du droit à avoir un logement, etc….

 Légitimiser la précarité, en flinguant le syndicalisme, et la notion même de CDI, je dois avouer, que je suis choquée par la démarche.

 

Dimanche 10 cseptembre 2017.

http://actu.orange.fr/politique/faineants-propos-de-macron-d-un-mepris-incroyable-selon-hamon-CNT000000NmTY7.html

En cours de redaction.

Esclavage immigration FBI Européen féminisme

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