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Le "monarque" François Hollande.

Le 28/07/2015

Dans POLITIQUE INTÉRIEURE.

 Ca fait plusieurs fois que je lis ce type de propos, sur François Hollande, et je dois dire que "je ne m'en lasse pas", à chaque fois, je suis morte de rire.

 Tout au plus je veux bien accepter d'y voir quelque chose de cet ordre mais ça serait plutt relatif à ça.

 Sous un article paru sur france TV infos, j'ai trouvé  un commentaire.

http://www.francetvinfo.fr/politique/francois-hollande/francois-hollande-meme-un-president-impopulaire-peut-agir_1018477.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20150728-[lestitres-colgauche/titre1]

Bonjour.

   Je trouve assez amusant qu'on qualifie François hollande de Monarque.
 
   En effet, je suis tombée en rediff', sur un invité à l'émission "on est pas couché" samedi soir. Hélas, j'étais tellement crevée, que je n'ai pas pu regarder, je m’écroulais de fatigue. On se demande bien pourquoi.

  Mais il racontait le "calvaire" de François Fillon, quand il était le premier ministre de  Sarkozy,  qui lui pour le coup se comportait véritablement en monarque, annulant de facto carrément l'ensemble des rendez vous qu'il avait avec le premier ministre. Je précise qu'à l'époque François Fillon avait à plusieurs reprises tenté de démissionner et "le roitelet",  avait à chaque fois trouvé des arguments pour l'en dissuader.
 

   C'est revisionnable ici.

http://www.france2.fr/emissions/on-n-est-pas-couche/videos

 Il s'agit d'une reponse à un commentaire en dessous.


  Certes je ne réponds peut être pas à tes questions, j'en suis désolée.
 mais franchement comparer François Hollande à un monarque, la couche de ridicule dont tu t'affubles, me semble friser le masochisme.

   Pour ce qui concerne ce qui a été révélé dans ce livre,  et dont helas je ne vois pas trop à quel tite, quiconque pourrait e^tre tenté d'y trouver à redire je pense moi, que c'est extrêmement grave.

  Certes, de poser le doigt sur ce comportement, pour le moins dommageable, de Nicolas Sarkozy, à l'époque je l'avais deja fait. Fouillez vous devriez retrouver.

   Mais en y repensant là, samedi, malgré ma fatigue, je réalisais à quel point c'était infiniment plus grave, qu'il n'y paraissait.

 J'ai en mémoire, à l'époque les médias qui disaient ceci.

 "Nous a vons affaire à un "hyper président", c'est le moins qu'on puisse dire, et  l'égo de François Fillon en prenait plein les mirettes.

  Je ne suis pas en train de tresser des couronnes de lauriers à François Fillon, pour cette raison. Il ne faut pas me faire dire ce que je n'ai pas dit.

 Mais enfin, l'attitude de Nicolas Sarkozy, à l'époque, était purement et simplement anticonstitutionnelle, et je m'en explique.

    Quand un président de la République est élu, il est élu, pour mettre en pratique les arguments qu'il a utilisés, qui émanent des valeurs qu'il a défendues, lors de sa campagne électorale.

   En tout cas logiquement, théoriquement, c'est ainsi que les choses doivent se passer.

   Le problème ne consiste à a savoir s'il s'agit de "promesses", ou pas, si elles sont tenues ou pas, puisque c'est un débat qui est tout autre.

  Donc selon toute logique, les jours qui suivent son élection, puisqu'il est logiquement suspecté de remporter cette élection, au rang le plus élevé du gouvernement, en France, il doit en théorie savoir très exactement quelles personnes sont conformes ou pas aux valeurs qu'il defend, en temps que politique et homme ou femme, de pouvoir.

  En ce sens, la totalité de l'idéologie entre le président de la République, et son premier ministre, doit être conforme aux valeurs du président de la République, ce qui est le cas avec  François Hollande et Mannuel Walls, et pas l'inverse.

 Ce qui donc est pafaitement le cas, encore une fois, entre François Hollande et Mannuel Walls.

    Ors, dans le cas de Nicolas Sarkozy et François Fillon,  il se passait quelquechose de parfaitement anticonstitutionnel, qui résidait dans le fait que Nicolas Sarkozy avait choisi son premier ministre, non pas conformement au fait qu'il defendait les mêmes valeurs que lui, en temps que politique, mais uniquement conformement à son désir d'être SEUL MAITRE A BORD emputant de façon encore une fois, anticonstitutionnelle,  le premier ministre de son rôle véritable.

  Certains diront: "Oui, mais enfin encore faut il le prouver".

   Mais C'EST PROUVABLE, les preuves existent, puisque pendant 3 mois ou 6 mois je ne sais plus,  il a été démontré que la totalité des rendez vous, avaient été supprimés !

 Alors certains diront "est ce que c'est vraiment si grave que ça".

   La réponse est OUI, pour moi, c'est juste au contraire EXTRÊMEMENT GRAVE.

 Et je m'en explique.

  "Gérer c'est prévoir". Tous les hommes ou femmes politiques qui sont assez responsables, pour réaliser la gravité de la démarche politique, ainsi que la grande responsabilité que leur accorde les scrutins, ou bien le fait d'avoir la chance d'occuper un poste à responsabilité, savent celà.

   Ors,  pour prévoir les enjeux politiques de demain, il est de la plus haute importance d'avoir conscience que la notion de concertation,  de réunion, et de confiance au sein des plus hautes instances de l'Etat, sont absolument fondamentales.

   Comment voulez vous alors, à l'époque où Nicolas Sarkozy était président, que ce dernier ait pu être à même de gérer les problèmes  rencontrés par les français, alors que son arrogant aveuglement, l'autorisait par ce que l'on nomme "un abus de pouvoir des plus flagrants" l'incitait à proposer à François Fillon, d'être son premier ministre, non pas pour collaborer comme vous l'aurez compris, mais parce qu'il serait "suffisemment docile", pour qu'il puisse gérer en temps que monarque ?

   A présent, ce qui importe, réside dans le fait que sur certains dossiers, je pense à l'international, notamment, c'est de parvenir à comprendre à quel point ce manque de concertation et de dialogue, ait pu influencer gravement ou moins gravement,, les décisions prises à l'époque.

 

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