RENONCER……
J’imagine que certains se grattent la tête se disant « mais enfin elle ne peut pas » je parle de ceux qui sont notamment dans une certaine mouise, quelque soit sa nature, généralement sociale, ou autre. Puisque la souffrance de façon générale ne manque jamais de panache pour nous faire savoir à quel point elle est douée d’inventivité.
Alors qu’il y a dix ans une des raisons principales qui était la cause de ma dépression consistait, dans le fait que mon ex, n’y entendait rien sur le plan artistique, et donc trouvait parfaitement déplacé, que ce soit pour moi, au contraire quelque chose d’extrêmement important….
Thomas Fersen et moi au contraire sous différentes formes, avons mis le paquet comme on dit vulgairement lui et moi, pour « fleurir », enfin, lui, plus que moi, dans la réalité véritable, et moi plus par l’écrit de façon bénévole et par son intermédiaire, en temps qu’Egérie.
Puis les années passant Thomas ayant à cœur, de mettre en avant mes compétences, pour faire avancer certaines causes, a commencé à entrer en contact avec des politiques….
Ce fait à lui seul a justifié le fait que je sois maintenue, plus pour très longtemps j’espère, sous tutelle, « pour raison d’état ».
Le fait que je sois « fantasmée » moi, à certains postes à responsabilité, a justifié depuis des années, le fait que je sois plus que malmenée extrêmement souvent, par Thomas lui même….
Je n’ai pas à entrer dans les détails. J’explique simplement que si Thomas, en a décidé ainsi à chaque fois, c’est parce qu’il avait de bonnes raisons de le faire, des raisons, que si ce n’est le cœur (puisque le cœur a ses raisons) la raison d’état elle, pouvait justifier et expliquer.
Dans l’une des vidéos, que j’ai faite hier ou avant-hier j’expliquais, que le problème me concernant était le suivant.
Moi pour être équilibrée psychologiquement il est impératif que sur le plan artistique, je puisse m’exprimer.
Ors avec les différents coups psychologiques justifiés par la raison d’état, mon épanouissement artistique a été plutôt mis à mal, et ce depuis des années, au point que ça ait été bien souvent, des occasions de terribles querelles entre Thomas Fersen et moi à plus forte raison compte tenu de mon état de tutelle.
Je tiens à préciser que si je rédige cet article, mon but recherché ne consiste pas à régler mes comptes ni avec Thomas Fersen et pas d’avantage avec François Hollande.
Mais juste pour expliquer que j’ai pris la décision, hier soir, de mettre en priorité, dans ma vie, le méthode politique avant la méthode artistique.
Oui je sais j’imagine à quel point je dois faire des déçus… « ho, et bien zut de zut et de zut alors »…
Il n’y aurait donc que Thomas Fersen, dans le privé, François Hollande et son équipe qui soient susceptibles de jouir de mon humour…
Du coup j’imagine une foule de paparazzis, micros pendant des branches des arbres des jardins de l’Elysée, pour capter le moindre de mes mots d’Esprit…. Ha ha ha ha ha….
Moi je vous le dis, si je bosse à l’Elysée, ils sont plutôt intérêt à s’accrocher parce que je ne risque pas de cacher mon nez de clown… alors, « droit de réserve »… OK « j’assume »… Mais enfin soyons clairs….. Je sens que le « proutocole » risque de se faire quelques entorses….
Car oui, mesdames et messieurs, je l’avoue humblement LA TAUPE de l’Elysée, c’était moi.
Allons allons soyons clairs. Non ça n’est pas moi, qui ait prises ses fameuses photos tellement compromettantes pour François Hollande et Julie Gayet que bien vite aussi sec, ils sont allés à la chapelle de Versailles, au petit Trianon pour réciter pas moins de 50 Ave Maria pour expier leur faute, c’est vous dire.
Bon allez, ne tirez donc pas la tronche je vous explique.
La taupe, c’est moi.
Dans ma vie antérieure on m’appelait comme ça. Mon ex m’a toujours appelée comme ça affectueusement. La raison, c’est que je suis myope au possible et que pour couronner le tout, (vous aurez remarqué le lien avec Versailles), quand on me donne un loucher (c’est comme ça qu’on dit chez nous), pour retourner une plate bande au bout de quelques heures, et bien le sol est retourné de façon tellement profonde et tellement « nimportenaouak » version croisement de montagnes russes (vous aurez remarqué le clin d’œil, à ce qui se passe dans l’Est de l’Ukraine) et la courbe de croissance relative aux droits de l’homme en Russie version 2014….
Et vous aurez donc parfaitement saisi, que je ne suis rien de plus que l’inventeuse d’un nouveau concept appelé, « la plate bande humoristique ».
Pour information je précise qu’il fût un temps, où j’avais moi, proposé à François Hollande d’être le jardinier en chef, de l’Elysée et que cette offre tient toujours….
Et oui quitte à être une taupe à l’Elysée, autant que je serve aussi au jardin.
Comme ça, pour les journalistes, ces vilains qui veulent toujours tout savoir pour pas un rond, je dirai « allez hop, tout le monde dégage ou sinon je renverse ma brouette de fumier, sur vos jolis souliers vernis »… mdr.
Bon je suis vraiment désolée, si je choque les « proutocoleux » hein, mais ces derniers temps, j’ai pas vraiment eu l’occasion de rigoler, alors je n’ai pas vraiment le choix…
VA FALLOIR FAIRE AVEC.
Plus sérieusement, quand je parle moi, de renoncement, ça n’est que de méthode dont je parle et absolument pas de but ou d’objectifs…
Je tiens à rappeler, (et là je suis très sérieuse) que pour accompagner l’évolution d’une société, il est nécessaire, et absolument indispensable, de bien avoir conscience que c’est par la politique, que les lois se font et uniquement, par la politique.
Alors les mépriser et cracher dans la soupe gouvernementale, sans se poser de questions, me semble moi une attitude particulièrement irresponsable.
Je précise que je ne suis pas en train de dénigrer, tout ce que j’ai pu inspirer, sur le plan artistique ou médiatique, bien au contraire.
Mais la démarche artistique, elle, aide une société à accompagner, et préparer certaines lois éventuellement en ouvrant les esprits, à plus de tolérance, et ouvrir la porte aux idées neuves….
En ce sens elle est parfaitement complémentaire de la démarche politique.
Et quand je parle de « renoncement », ça n’est que de méthode que je privilégie (le politique), par rapport à l’autre (l’artistique), rien de plus.
Et pour ceux qui trouvent cela peut être regrettable, je serai tentée de dire « la fin justifie les moyens ».
Et si la raison d’état a justifié le fait que j’ai été si malmenée c’est vrai, je précise que ce que j’ai écrit en privé pourra de toute façon sortir, à un moment où à un autre, et que de toute façon l’expression artistique est si large, que Thomas trouvera bien un moyen pour que je m’y faufile.
