Non, je ne signe pas, mais j'expliquerai ma position des que possible.
Mercredi 2 février 2016.
Le gouvernement prend son temps. Soit. J'entendais, ce matin, que la montagne allait accoucher d'une souris, si la sourir s'appelle Celestine, ça n'est pas si grave.
Connaissez vous cette reforme ? Alors, pour les mal embouchés, comme moi, qui n'y connaissent rien, un quiz est proposé.
Je vous donne le lien. Moi, j'ai eub8 sur 10, comme quoi, je ne suis pas si nulle que ça, je crois que j'ai rarement eu meilleure note, de toute ma scolarité !
Et oui, il faut toujours voir le verre à moitié plein.
Le fait, que j'ai eu une bonne note, je signifie pas que je cautionne les affirmations, mais que j'ai bien répondu au quiz, ce qui est bien différent.
Bon, alors, vous faites le quiz, etpuis moi,pendant ce temps là, je commente, les affirmations, qui sont faites.
La réforme du Code du travail, portée par la ministre Myriam El Khomri, est contestée de toutes parts : dans les rangs de la gauche, mais aussi par une partie du patronat, et par les syndicats qui y voient une atteinte aux droits des salariés. Face à cette levée de bouclier et à la menace d'une grande mobilisation des opposants au texte, l'exécutif a décidé de reporter de quinze jours la présentation du projet de loi en Conseil des ministres. Le temps de retravailler le texte et, espère-t-il, d'apaiser les tensions.
Mais, que vous soyez pour ou contre cette réforme, savez-vous vraiment ce qu'elle pourrait changer dans votre quotidien ?
Mauvaise réponse
La durée légale du temps de travail restera de 35 heures par semaine. Et le temps hebdomadaire maximal moyen de travail demeurera fixé à 44 heures sur seize semaines. Mais une convention collective pourra l'établir à 46 heures. Le ministère du Travail pourra le porter à 60 heures, "en cas de circonstances exceptionnelles".
Bon, moi, la notion de "circonstences exceptionnelles", je suis d'accord, il faut juste poser un garde fou, le cinglé en question, faisant partie du MEDEF, permettez qu'on soit méfiants.
Et oui une entreprise, qui par définition, est par exemple sujette à une fluctuaton d'activité, à cause de la saison, par exemple, c'est recevable, mais sans celà, on va ou ? C'est la porte ouverte à "n'importe naouak".
en cours de commentaire.
Quelle pourra être la durée maximale d'une journée de travail ?
Les heures supplémentaires seront majorées au minimum de...2,5 10, 25
Les indemnités accordées par les prud'hommes en cas de licenciement abusif seront...diminuée, augmentées plzafonnées
Vous pourrez maintenant être licencié pour motif économique si...
Les commandes de votre entreprise baissent
Le chiffre d'affaires de votre entreprise chute de manière prolongée
Votre entreprise a de sérieux problèmes de trésorerie
Votre entreprise rencontre un ou plusieurs de ces trois problèmes
Le forfait-jour est un régime dérogatoire aux 35 heures, qui permet de rémunérer un salarié en fonction du nombre annuel de jours travaillés, et non en fonction de son nombre d'heures hebdomadaires. Ce forfait-jour pourra désormais s'appliquer également dans les PME et TPE.
vrai, faux.
Une entreprise pourra contourner les syndicats majoritaires pour faire passer un accord d'entreprise.
vrai faux.
Votre employeur pourra vous faire travailler plus longtemps, ou vous payer moins, pour développer son activité.
vrai faux.
Vous ne pourrez pas conserver vos droits sociaux (droits à la formation, comptes pénibilité...) tout au long de votre vie professionnelle.
vrai faux.
Si vous êtes apprenti, vous pourrez travailler au maximum...8h , 10h, 12h.
Myriam El Khomri est "debout, motivée, déterminée" à défendre son projet de réforme du travail. La ministre a fait une petite déclaration, mercredi 2 mars à la sortie du Conseil des ministres, après une brève hospitalisation mardi : "Certains pensent que j'ai plusieurs handicaps, que je suis jeune, que je suis femme et que je veux faire bouger les choses pour mon pays."
"J'ai fait une chute qui a entraîné un malaise"
"La seule chose qui pourrait m'affecter, ce serait l'inertie pour notre pays", a insisté la ministre devant une poignée de journalistes. "Je vais très bien, je vous remercie", a également assuré Myriam El Khomri, questionnée sur son hospitalisation. "J'ai fait une chute qui a entraîné un malaise", a-t-elle expliqué.
Une mobilisation pour le retrait du texte par des syndicats et des organisations de jeunesse s'organise depuis quelques jours, et une pétition a déjà recueilli près de 900 000 signatures en ligne.
Des universitaires proposent un "autre Code du travail", plus protecteur
Dix-huit spécialistes du droit du travail élaborent un texte alternatif à celui du gouvernement. Ils espèrent l'achever en septembre.
Inciter à réduire le temps de travail, mieux contrôler le forfait-jour, promouvoir la notion de "temps libre"… Dix-huit universitaires ont présenté une alternative au projet de réforme du Code du travail, mercredi 2 mars, car ils le jugent "menaçant".
"On nous a vendu une simplification et, en réalité, cette refonte produit un code encore plus volumineux et complexe", dénonce Emmanuel Dockès, professeur à l'université de Nanterre (Hauts-de-Seine). Mais, dans le même temps, il estime que le Code du travail "est profondément abîmé, lacéré" et "mérite d'être très profondément réformé". Son groupe d'universitaires s'est donc lancé dans l'écriture d'un texte, qui pourrait être achevé en septembre.
Rendre plus coûteux le recours aux heures sup
Comme le gouvernement, le groupe a débuté par le chapitre relatif au temps de travail. Il "réaffirme le principe des 35 heures hebdomadaires" et impose "des contreparties" en cas de modulation du temps de travail, explique Morgan Sweeney, de l'université Paris-Dauphine. Un exemple ? En cas d'annualisation du temps de travail, l'employeur devrait "abaisser le seuil de déclenchement des heures supplémentaires de 35 à 34, 33 ou 32 heures, selon les cas".
Les universitaires proposent aussi le maintien du taux de majoration des heures supplémentaires à 25%, mais aussi le passage de ce taux à 50% dès la septième heure supplémentaire, au lieu de la neuvième. "Un employeur pourrait toujours faire travailler beaucoup ses salariés, mais ce serait plus coûteux, afin d'inciter à la réduction du temps de travail et à l'embauche de plus de salariés", selon Emmanuel Dockès.
Protéger davantage le temps libre
Enfin, les universitaires souhaitent sortir de l'opposition entre temps de travail et temps de repos – qu'ils jugent "archaïque" – en instaurant la notion de "temps libre". "L'idée, explique Christophe Vigneau, de l'université Panthéon-Sorbonne, c'est de promouvoir une protection renforcée de ce temps, qui devrait être protégé du pouvoir de direction de l'employeur".
Dimanche 13 mars 2016.
En installant la traduction d'un ancien article, je retrouve le travail que j'avais moi, fait en amaont, sur le sujet.
Pour information, les donneurs d'ordres, sont les entreprises du CAC 40, ce sont elles qui sont responsables, du plus fort pourcentage, des licenciements, aujourd'hui, et qui tirent les ficelles, par un phenomène de chantage, parceque ce sont elles, qui tiennet le carnet de commande, des PME.
Hier soir, j'ai regardé, "C politique", sur France 5, avec Melanchon.
il y avait surle plateau, une femme, qui avait une petite entreprise, qui racontait son point de vue, et donnait sa position.
Il était alors, pour le moins effarent, de de voir admettre à quel point, l'image qu'elle donnait, dupatronzt, n'avait absolument rien à voir, avec un patron, d'une entreprise, beaucoup plus grosse....
Ce decalage, nous le connaissons tous, mais comme se fait il, enfin, c'est un truc, que je n'ai vraiment jamais compris, que les PME, soient representées, par un syndicat, comme le MEDEF, alors, que de toute evidence, le contexte psychologique, la stratégie au sein de l'entreprise, et donc, aussi, la relation, au sein de l'entreprise, avec les salariés, est completement differente....
Je vais donner un exemple, si moi, je travaille dans une entreprise, où il y a quelques dizaines de salariés, quelque soit le poste que j'occupe, que je connais tout le monde, y compris mon patron, ou ma patronne, et que je sais, que mon entreprise est en difficulté, et que je vois au quotidien, mes supperieurs ierarchiques mouiller leur chemise.....
Je ne vais pas avoir la même considération, que si je travaille, dans un grand groupe, dans un schemas completement pyramidal, avec au dessus de moi, une multitude de chefaillons, un PDG, que je n'ai vu qu'à la télé, aux infos.....
C'est exactement comme si vous mettiez, sur le même pied d'égalité, un agriculteur BIO, ou qui pratique la filière courte, avec une exploitation de 50 ha, sur le m^me pied d'egalité, qu'un cerealier, en pleine Boos, qui a 500ha, ça n'a ni queue ni tête.....
Alors, comment faire, pour y voir plus clair ?
Moi, je considère que pour qu'un travailleur, puisse avoir envie de faire des concessions, vis à vis de son patron, il faut qu'il en ait envie; pour qu'il en ait envie, il faut qu'il s'y sente respecté? et pour qu'il s'y sente respecté, il faut que e patron, le merite.
Pour qu'il le mérite, il ne faut pas qu'il soit soucieux, uniquement, des apparences, version "ripolinage",c'est à dire, en gros, "j'installe un distributeur de jus de fruit, aupres de la machie à café, comme ça, ils vont arrêter de nous faire chier"...
Oui,oui, je sais, je sais, "faut pas trop me prendre pour une conne, non plus, hein.
J'ai vu, moi aussi, cette nouvelle vague de patrons, qui deboulent, là, et qui sont s bien soucieux, du bien être de leurs employés......
Mais tout le monde, les a vu, ces reportages, soyez sans crainte, et je précise, que je prends ça, vraiment très au sérieux....
Simplement, plus l'entrepris est pyramidale, et plus, l'idée va être exploitée, pour redorer l'image de l'entreprise, sans que dans la realité, ce soit effectif.
Conclusion, il faut créer, ce que moi, j'appellerai, l'IST.......
l'IST, c'est ce que moi, j'appelle l'Indice de Souffrance au Travail.....
Cet IST, existe, d'ailleurs, je crois deja, puisque la médecine du travail, elle, tient certaines statitiques, sur ce point, mais c'est non officiel.
Une fois déterminé cet indice, celui ci pourrait entrer en ligne de compte, sur les négociations, avec les syndicats.
Si vous prenez une petite entreprise de conffection, par exemple.... Même s'il ne s'agit, que d'une simple couturière, si au sein de son travail, même si son salaire n'est pas élevé. Si elle se sent respectée dans son entreprise, si quand elle discute avec son suppérieur ierarchique, et que sa parole, ou ses propositions sont écoutées, et qu'elle se sent valorisée, ella acceptera alors, plus facilement de faire certaines concssions, sur certaines regles, que si ça n'est pas le cas.
Pour la souffrance au travail, il ne suffit pas je le precise, de se fier,au taux de suicides, parce que ça, c'est un raisonnement parfaitement bidon. le seul critère quiville, à mon avis, c'est decroiser, la consommation, d'antidepresseurs....
Un employé qui est respecté dans son travail, va au travail avec plaisir, s'y investit affectivement, aussi, et à ce titre, y trouve son equilibre aussi.
Oui, un employé peut prendre cevtype de médicament, pour des raisons qui n'ont rien à voir, mais c'est de statistiques dont il est question, et pas autre chose. Une entreprise qui respecte ses employé, concourt aussi, à "soigner" ses salariés, dans leur vie de tous les jours, ce qui est bien la preuve que tout le monde a à gagner, à ne pas se contenter d'un distributeur à jus de fruit, à côté de la machine à café.
Pour ce qui concerne Melanchon, le problème reste le même.... Râler apres cette loi, telle qu'elle est faite, c'est bien, et puis ensuite, on fait quoi ? il faut proposer, sinon , ça ne sert à rien, je suis irritée moi, de voir, qu'en politique, AUSSI, on ne puisse exister, qu'en etant contre un tel, ou untel, telle loi, ou telle autre....
Et être POUR de temps en temps, être POUR QUELQUE CHOSE, ça ne vous dirait rien ? C'est à mon avis, ce vers quoi il faut tendre, plus encore, en politique, qu'ailleurs.
Lundi 14 mars 2016.
François Hollande, a reécrit le texte de Loi, et sera presenté ce soir, à la presse.
"Même reformulé, ce texte est une bombe à fragmentation, estime un membre de la majorité cité par le JDD. Il y a le danger des jeunes, le danger des syndicats réformistes, le danger du patronat, le danger de l'immobilisme."
Mon commentaire, à présent.
Et bin oui, c'est sûr, et puis il y a la peur du grand méchant loup, aussi, enfin, on ne peut pas s'en sortir, si on ne regarde que le danger, un peu de courage, bordel.
On ne peut pas stigmatiser, à la fois le fait, de réformer, et dans la même phrase, stigmatiser l'immoblisme, parce que c'est bien gentil de dire, "ça colle pas", mais encore faut il proposer autre chose.
Moi, ce qui m'inquiete, ce sont les jeunes, je suis inquiete pour eux, et oui, j'ai trois gonzesses de cet age, c'est vrai.... Et je ne trouve pas normal, que le père, de la dernière, soit obligé de l'aider financièrement.
j'aimerai bien voir, non ps ce qu'en pense les autres, pays européens, mais quel est leur droit du travail, à eux, en dehors du fait, qu'il est infiniment plus permissif, pour les patrons, que nous. Peut être que chez eux, il y aurait des idées à prendre, non ?
Bon, j'attends, de voir, ce que disent les syndicats.
Moi, ce que je voudrai, et puis je ferai chier mon monde, aussi longtemps que necessaire, ce serait qu'on puisse etablir, par un organisme, qui chapeauterait les banques, un certificat de solvabilité, de telle sorte, que qeulqu'un qui cumule les CDD, ne soit pas stigmatisé, ou relejetté par les banques.
Il suffirait pour ça, de fournir les relevés bancaires, sur deux ans, par exemple.
C'est quand même incroyable ce truc, un mec, va claquer son pognon, n'importe comment, être incapable de gérer son budget, mais avoir abtenu un CDI, on va lui prêter le pognon, si par contre, il n'y arrive pas qu'il n'a que des CDD, mais qu'il gère bien son budget, NIET, il n'a droit, à aucun crédit.
Bon, sinon, pour information, j'ai regardé avant hir soir, le documentaire, sur les restos du coeur.
On peu revoir, ce documentaire, en suivant ce lien.
Ils proposent une méthode, pour venir en aide, aux plus démunis, qui gèrent bien leur budget, je croi qu'ils appellent ça, le loyer glissant", j'ai trouvé ça vraiment epatant.
Seulement, voilà, moi, ma question est la suivante, ne serait pas plus logique, que ce dispositif soit assumé par une organisation, qui soit autre que caritative, quand on voit de quelle façon, les banques nous ponctionnent ? Mais chapeau aux restos, j'ai trouvé ça génial, je dois y revenir dans un autre article.
bon, sinon, autre chose, au sujet des jeunes notamment, je cite :
L'autre source de mécontentement à calmer, c'est la jeunesse. En abandonnant l'extension de la durée du travail des apprentis et en ouvrant la garantie jeunes à plus de jeunes en difficulté, le chef de l'Etat espère dégonfler la mobilisation des lycéens et étudiants.
Pour moi, du côté des jeunes, ça me semble suffisant, pour le reste, je n'ai pas trouvé le temps d'aller éplucher encore, désolée.
Jeudi 31 Mars 2016.
Aujourd'hui, nouvelle mobilisation, pas uniquement des étudiants et lycéens, mais de toutes les classes, qui travaillent.
Je viens de lire un article, sur le sujet, qui donne la parole aux jeunes.
Je considère moi, que la formule, "quand une copie n'est pas bonne, on ne rature pas au stabilo, on retire", c'est juste complètement con, je suis désolée, j'espère que celui là, ne sera jamais prof, et qu'il ne restera pas syndicaliste, soit dit en passant.Puisque par definition, le suyndicalisme, c'est la discussion, et pas "le tout ou rien", enfin, pour moi.
Mais c'est un peu comme les dépassements de langages, ces derniers temps, pour obtenir quelque chose qui tienne la route véritablement, un positionnement, quelque peu excessif, es souhaittable, et en ce sens, je le comprends.
Pour commencer, je ne sais pas si ces étudiants, sont allés voir le documentaire, 13H15, de samedi, ou dimanche, je ne sais plus, sur le jeunesse.
On y parle optimisme, etc, avec des portraits, de jeunes, qui ont "reussi".
Que les choses, soient bien claires, je ne suis pas en train de tenir un discours de bisounours, version "mais enfin, il suffit d'y croire", absolument pas. Je dis juste qu'à cet age, il est parfaitement souhaitable, de montrer son inquietude, quand à la precarité, mais que ça n'est qu'en croisant, ses points de vue, et dialogant, "bie au delà, du milieu d'où l'on vient, ou auquel on se destine", qu'on arrive à y voir plus clair.
Au sujet des jeunes, qui ne se sentent pas vraiment inquiets ou concernés, je pense qu'il est possible que ce soit aussi, simplement des fils et filles à papa, qui trouvent normal, d'être perfusés par eux, ne cvoyant pas alors, que c'est le meilleurs moyen de fuir leur emancipation, sorte de montons, avant l'huere, et c'est bien dommage.
Un autre truc, me choque, moi, c'est ce que nous a vons appris, hier, reltiveent, aux patrons, du CAC 40, et leurs salaires, désolée, hein, mais ça ne passe pas....
On nous bave sur les roustons, comme on dit chez nous, avec la reprise, de tel pays (le royaume uni, notamment), mais qu'on ne s'y trimpe pas, ces pays, où parait il, la reprise est là, elle ne l'est que parce que le travailleur est moins ben protégé, qu'il ne l'est chez nous, simplement....
Je vous recommande moi, d'aller réécouter une émission, sur France Inter, ce matin: BOOMERANG avec Sebastiens Trappenard.
Sinon, j'ai vu, hier soir, un truc edifiant, dont helas, je ne retrouve pas le documantaire, sur france télévision.
Il s'agissait du nombre de personnes, ou de familles, menacées d'expulsion, là, ce printemps, donc, tres vite, dont 40 %, ont un travail, cette femme, auxilaire de vie scolaire, la trentaine, trois enfants à charge, séparée, menacée d'expulsion, elle touche 900€, par mois, et ne peut payer son loyer que partiellement.
il était précisé que bon nombre de propriétaires fonciers, se trouvaient eux aussi en difficulté, parce qu'ils ont eux aussi, fait des emprunts, pour payer le logement, dans le but, de le rembourser.
Donc, pas de loyer, donc, pas de remboursement, etc....
Je croyais, moi, que la ville de Paris, se portait caution, pour la location, d'un logement, c'était le vcas, il y a quelques années, qu'en est il,à present ?
D'autre part, je sais qu'il existe une assurance, qui garantit aux propritaires, d'être payés, si le locataire, ne peut plus payer son loyer.... Pourquoi, cette assurance, n'est elle pas obligatoire ?
Au sujet de l'article, posé en debut tout à leheure, sur les etdiants qui defilent, aujourd'hui, le cas de cette tudiante, est particulièrement parlant.
Comment peut on attendre, d'une étudiante qu'elle puisse être intellectuellement disponible, pour suivre ses cours, si elle travaille, jusqu'à 3h du matin, et reprend les cours, à 9 h ?
Je cite :
"La moitié d'entre nous a un job à côté des études. On connaît très bien la galère et les mois qui commencent dans le rouge. Et on nous promet pire pour la suite ?" Trois à quatre soirs par semaine, elle garde des enfants pour arrondir ses fins de mois : "Je rentre à 3 heures du matin et je reprends les cours à 9 heures.
J'ai vu aussi, un reportage, sur la manie des "prepas", n'y aurait il pas quelques abus, sur ce point ?
Je veux dire par là, que sous pretexte d'une sellection,version "betes à concours", je soupçonne, moi, certaines ecoles, de vouloir se faire du fric, sur le dos du gouvernement.
Pour ma part, j'ai moi, un fort désir de voir étudié de près, la législation, qui entoure le wording du logement collectif.
En effet entre location, co location, auberges de jeunesse, et pension de famille, chacun s'aurelole, de ma version la plus fun, ou la plus valorisante, qui rend, l'hebergement, en ville, une véritable source d'arnaque dont les jeunes, sont les premières victimes.
Je connais plus, la co location, parce que ma fille, à Londres y a recours, et j'en connais aussi, les limites, et les terribles inconvénients.
Samedi 2 avril 2016.
Bon, allez vu la situation, je vdois vous avouer un truc.
La chanson de Vianney, c'est Thomas Fersen et moi, qui l'avons inspirée.....Oui, je sais, bon, il va encores 'en trouver pour me traiter de debile, de malade mentale, ou de mu ytho, mais alons, je vais être franche, si c'est le prix àpayer, pour que les differents points de vue, sur la loi du travail, se rapprochent, et bien soit, allez y, pour les insultes, et les calomnies, j'ai tellement l'habitude, depuis toutes ces années, que ça me fait quasiment le m^me effet, que la pluie normande, sur le plumage d'un canard de Duclair.
Et pourquoi, donc, croyez vous que Vianney, ait été interrogé, et choisi, pour être interrogé, sur son point de vue, au sujet de la situation actuelle ?
Merci,Vianney, (t'auras un boujou à Noël), pour ce clin d'oeil merveilleux, au sujet de la cruche brisée, qui est issue d'une parabole, qui m'avait été offerte, il doit y a voir 17 ans, environ, au début d'internet, et sur laquelle je reviendrai....
Je dois toujours que je vais la reecrire, en vers (et contre tous, surtout contre les politiques), depuis le temps que je suis accaparée justement par cette dernière, alors que mon rôle véritable, c'est d'écrire des conneries, pour faire rigoler mes petit camarades.... Et peindre.
Je n'espère qu'une chose, que ces ' " vieux pieux", se realisent enfin.
Lors de cette émission, donc, on pose la question à plusieurs jeunes, au sujet de la notion d'Espoir, en leur demandant, si pour les jeunes, les choses n'étaientpas préférables, il y a 20 ans ou 30 ans.
Je vais donc, moi, me téléporter, avec l'histoire que fût la mienne, (je me suis mariée, à l'age de 18 ans, pressée de quitter le nid familial), je vous donne mon parcours, ça sera plus simple, il est disponible sur liked.
Alors, je suppose, que certains diront, que c'est un peu bizarre, de me comparer, moi, aux jeunes d'aujourd'hui, chose à laquelle je repondrai, "et pourquoi, pas"...
si j'étais née, avec une cuiller en argent dans un milieu friqué, je pourrai comprendre, justement, ça n'est pas le cas. Autant dire, les préoccupations existentielles, qui sont celles des jeunes, aujourd'hui, d'une certaine façon, j'y ai été moi aussi confrontée, à l'époque.
Pour commencer, l'école. Moi, j'i commencé à 6 ans, s direct au CP, la maternelle, en milieu rural, ça n'existait pas.
Conclusion, j'ai du apprendre à lire erire et compter, en m^me temps que'apprendre à vivre en petite collectivité, ce quia été tres difficile, d'autant que ma maitresse qui s'appelait madame BARIL, ecole de Goupillières, (76), était une grosse conne, qui me détestait, et qui me terrifiait.
Ce type d'institutrice, n'exerce plus desormais, et depuis bien longtemps, j'espère qu'elle vit encore, qu'elle se reconnaitra, et qu'elle sache que je l'emmerde.
Ensuite, la primaire, je n'allais pas bien du tout, guère mieux, au collège, et lycée, mais sans entrer vraiment, dans ls details, ma dyslexie d' aujourd'hui aurait été diagnostiquée, enfin, je suppose, et une solution aurait été trouvée, pour que ça n'impacte pas trop ma scolarité, et j'aurai probablement reussi à courir assez vite, pour a voir mon BAC.
J'en aurai fait, quoi ? Je ne sais pas.
Si j'avais voulu travailler à l'epoque, enormement de possibités, sont proposées, aujourd'hui, qui m'aurait permises, en tout cas, defaire au minimum, des formations dans dessecteurs, qui moi, m'auraient veritablement plus, notamment, dans le domaine artistique.
Quand je vois la posture de la jeunesse, aujourd'hui, je suis triste, en fait, je comprends parfaitement leur posture, je précise. Mais je suis triste, parce que moi, je ne me contenterai certainement pas d'aller m donner une bonne conscience, derevolutionnaire, et faire mon sitting, place de la Republique, je suis désolée.
Je repensais, il y a quelques jours, à je ne sais plus qui, qui expliquait, que pour exister beaucoup, (et pas uniquement des jeunes d'ailleurs)se contentent de n'être que "contre"... Oui, c'est ça. CONTRE... "Contre le système".
Le système, c'est le nom politique, qu'on appelle, psychologiquement, "le bouc émissaire".
Ce que je veux dire, c'est que si l'on cherche à faire de sa vie, quelque chose de pas trop mal, se contenter d'ouvrir sa gueule, et manifester me semble vraiment limité... Je suis désolée, si je passe pour une vieille conne, vraiment, c'est pa grave.
Mais à l'heure d'internet, des petitons, de l'activisme politique, DIEU SAIT QU4AVEC DES PARTIS COMME nouvelle donne, ou bien EELV, ça n'est pas l'offre quimanque.....
Aujourd'hui, avec l'Hubérisation, le travail change, et pas uniquement, dans le positif.... Militer efficacement, c'est d'abord défendre des idées, défendre des ideaux, mais surtout, défendre ceux, qui cherchent vraiment à innover politiquement, ceux qui sont des defricheurs, politquement, car ce sont eux, qui detiennent le pouvoir de demain....
Alors, moi, ma question est la suivante.
Dans le poucentage des jeunes qui ont défilé, et qui passent la nuit, là, en ce moment, combien sont là, juste pour avoir le sentiment d'exister un peu politiquement, alors, qu'ils n'ont jamais entendu parler de NOUVELLE DONNE ?
Combien, et quel pourcentage, s'est réellement demandé, pour quelle raison, notre gouvernemen, tenait tant, à ce que cette loi, passe, et qu'elle seraient evventuellement les suites, si d'aventure, elle était retirée ?
Je ne dis pas que c'est ce qui va se passer, ni qu'il faille la retirer, je veux juste dire, que râler, c'est une chose, mais que la politique, c'est bien plus, que celà.
Les lois qui régissent le fonctionnement des entreprises du CAC40, ce sont des lois, qui sont appliquées, bien au delà, de b nos frontièrs, ainsi,il est difficile, d'envisager, les lois, qui regisse notre code du travail, sans se demander, quelle sont elles, dans les autres pays d'Europe.....
Moi, là, telle que vous ne me voyez pas, et bien derrière mon nez de clown, je suis entièrement responsable, du fait, que le Royaue Uni, et l'Allemagne, aient décidé, d'un commun accord, de voter un SMIG.....
C'est un élément absolument fondamental, sur le plan européen, relativement, au droit du travail.... C'est moi, qui l'ai demandé, il y a plusieurs années, et j'en suis ravie.
j'espère que les autres pays d'Europe vont suivre.
J'entendais que certains jeunes,voulaient que notre politique, prenne exemple, sur celle quia vu le jour, en Espagne.... Alors, moi, "je demande à voir"; pour la part, j'ai beaucoup de mal à imaginer que la situation sciale des espagnol, le pouvoir d'achat, notmment soit supperieur,à nos jeunes, à nous. peut être, que je me trompe, mais je ne crois pas.
Je demande à voir. Et pendant que j'y suis, je demande à ce que de véritables comparaisons soient faites, avec les autres pays d'Europe. Et puis on va voir. Il n'y a que dans la concertation qu'on peut avancer, et demander le retrait, c'est tout, sauf, la concertation.
Mardi 5 avrils 2016.
Entendu ce matin, une porte parole, des etudiants qui passent la nuit, place de la Republique.
Je cite :"Depuis quand un gouvernement, peut il prétendre empêcher le peuple, de manifester ?". Elle pose cette question en faisant référence au fait, que la police est "trop presente", à son gôut.
Chose à laquelle moi, je reponds drai ce qui suit:"Depuis quand le peuple peut il prétendre d'empêcher un gouvernement, de réformer".
Parce que exiger, le retrait pur et simple, c'est ça que ça signifie. Autant le gouvernement, est prêt à revoir sa copie, autant elle trouve illogique, de voir que la réforme soit retirée, sans avoir étudié les négociations proposées.
Autre chose, je sais que certains étudiants, eux, bossent sur le dossier, alors, moi, j'aimerai savoir si ces travaux ont été communiqués au gouvernement, quels sont ils, ce qu'ils contiennent, afin que ce soit constructif.
Je précise que ma posture ne tend à décridibiliser le mouvement, mais juste à insister de nouveau, ce matin, sur le fait que de gueuler, pour gueuler, ça ne rime à rien, et que c'est dans le dialogue, que l'issue se trouve et nulle part ailleurs.
Propositions de Manuel Valls, au sujet du mécontentement des jeunes.
