Inutile de préciser, qu'il n'est pas question que je revienne sur la totalité de cette patate chaude, tellement grosse, et tellement chaude, qu'elle m'évoque simplement, les énorme pommes de terre, qu'on mange, au Royaume Uni, quand elles sont farcies à la viande, c'est vous dire.
Je pourrai aussi, vous signifier "degagez, y'a rien à voir", en vous démontrant, que chacun veut en payer, le moins possible, mais bénéficier toujours des services publics, les meilleurs possible.
Il est indéniable que chacun défend son bout de gras, comme on dit chez nous, et vous pouvez me remercier pour le clin d'oeil, que j'ose qualifier de malicieux, à la filière porcine, pourvu qu'elle soit normande, et à la graine de lin, pour les omega 3 !
http://www.aripnormande.fr/la-filire-porcine-rgionale1.html
Si je shématise quelque peu, quand il s'agit d'aller cracher au bénitier, tout le monde y va en reculon, mais quand il s'agit d'en tirer bénéfice, tout le monde trouve ça normal.....
Pour synthétiser, alors, je dirai que le challenge, consiste simplement à se demander, jusqu'à quel point, on se soucie de savoir, si celui que vous avez croisé dans la rue, hier matin, qu'il soit riche, ou qu'il soit pauvre, qu'il soit aimable, ou qu'il ait une gueule de con... Qu'il soit mal luné, ou qu'il rigole comme un couillon, pour un oui pour un non, qu'il soit un bon petit blanc, ou qu'il ait la peau noire comme de l'ebène, de savoir vous dis je, si son sort vous concerne, ou s'il ne vous concerne pas.... Et dans quelle mesure, ou quel pourcentage.
Et là, vous remarquerez alors, selon votre capacité, à observer si réllement, vous vous en souciez, ou pas.... Vous trouverez légitime, de payer ces foutus impôts, ou pas.....
Oui, je sais, on me dira que je shématse un peu, c'est vrai... Mais quand même.
Si vous prenez mon cas personnel, par exemple, j'adorerai payer plein d'impôts, si si, je vous jure. parce que le jour où moi, je paierai beaucoup d'impôts, ça signifiera que j'en palpe, un maximum, et donc, j'en serai ravie....
Bon, sinon, quelques commentaires, quand même.
Au sujet des niches fiscales, à ne pas confondre avec celle de Medor, là, j'en ai entendus qui je suppose, n'ont personne, aucun parent qui actuellement, bien que pas tres riche, peut diffcilement, se payer femme de ménage, ou aide à domicile et qui trouvent donc, "les pauvres chéris", que de proposer des incitations, à ceux qui en embauchent, "ça les pertubent", pauvres chéris....
Alors que pour les interresses, ça offre l'opportunité de demeurer chez eux, pendant des années, et d'eviter ainsi, de grossir le nombre des résidents, en EPHAD, sachant, qu'il n'en auraient pas les moyens, et que ça serait alors, à charge de la collectvité.....
Il faut absolument, d'une part, maintenir ces incitations fiscales, y compris, pour les assistantes maternelles, et gardes d'enfants, mais aussi, augmenter un peu, le minimum des salaires, des employées en question, qui sont tellement mal remunérées, jusque là, qu'on peine à trouver des candidats....
Oui, c'est un travail, "de niche", comme on dit. De niche fiscale, aussi, visiblement, mais qui mine de rien, constitue, un maillon absolument fondamental,pour maintenir à domicile, des personnes âgées, qui refusent d'aller dans une maison de retraite, et qui accceptent, d'embaucher du personnel quelques heures.
En milieu rural, ça demeure, malgré tout, une occasion de trouver un emploi, qui n'est absolument pas négligeable.
Pour ce qui concerne le prélèvement à la source.
Depuis le debut que l'idée avait fait surface, ça remonte au mandat de François Hollande, moi, j'étais pour...
Parce que je trouve plus cohérent, de ne pas recevoir de l'argent, qu'on va vous prendre, sous forme d'impôt, tout simplement.
Mais dans mon esprit, il n'avait jamais été question, d'observer que ça puisse être melé, aux autres revenus, qu'on puisse avoir, qui sont autres que les revenus du travail...
Je veux dire, que si demain je travaille pour un patron, que j'ai des revenus d'autres sources, ne le regarde pas, et c'est en ce sens, que moi, je l'envisageais... Je reconnais, cependant, que j'avais largement souestimé, l'ampleur du problème.
PARIS NORMANDIE revient sur le sujet, ce matin.
