C’est de moi dont je parle.
Je le sais, je l’ai toujours su.
Je ne me suis jamais mariée dans une vie antérieure, il y a plus de trente ans maintenant, pour fuir mes parents, j’y étais malheureuse soit, mais tous mes frères et sœurs l’étaient aussi, et aucun ne s’était marié pour se sauver, je ne pense pas.
On est si naïfs, jeunes adultes, de penser que d’aimer au point de s’engager, qui plus est, de nature à panser les plaies occasionnées par une jeunesse où l’Amour parental à manqué, qu’on fonce droit dans le mur celui là même que notre modèle nous impose.
Je ne m’étais moi mariée, que par Amour et parfaitement actrice au sens le plus noble et le plus merveilleux qu’une jeune femme ait pu rêver de l’être, vis-à-vis de son chemin de vie.
Je n’ai pas à discourir sur le couple là, sur ce point particulièrement, et pas d’avantage sur le mien passé.
Mais plutôt sur ce qu’il a été, face à ma famille d’origine.
Que le couple que nous formions ait été quelque peu stigmatisé par cette famille est un fait. Pas si grave tout compte fait, je dirai même que ça nous arrangeait bien.
Nous avions notre nid, nos trois filles…. Lui, un travail à la SNCF qui lui valait souvent de bosser le dimanche, et lui permettait ainsi de parvenir à éviter le sempiternel repas du dimanche midi, chez ses parents à lui, sans avoir à répondre du fait, que ça l’ennuyait d’y aller.
Il était lui issu d’une famille, « sans famille » sans grand parents, petit ravisé d’une fratrie en âge d’être ses parents quand il avait vu le jour, pour que cet « accident » passe mieux chez les parents à qui le généraliste avait refusé de pratiquer un avortement, puisque c’était interdit, un copain de mon ancien beau père lui avait glissé, sur le marché de Yerville « tu n’es pas content pour l’instant mais tu verra ce petit, ça sera ton bâton de vieillesse ».
Une fois que mon amoureux me présentât à ses parents ni une ni deux, on n’était même pas au dessert, que l’anecdote me fût rapportée.
« Le message était clair ».
Ainsi élevé en fils unique, son frère et sa sœur ainée partis de la maison, il ne fût "avant tout le reste" le bâton de vieillesse de ses parents.
C’était un enfants un adolescent, et un jeune homme avec un potentiel intellectuel incroyable et de réelles capacités, ayant décroché son examen, pour être instituteur en troisième il renonçât, « officiellement » parce qu’il n’était pas fait pour ça .
Officieusement peut être pour d’autres raison.
« Avoir le petit dernier sous la main » dans son village, que rêver de mieux quand on est « cantonnier » n’est ce pas ?
Ainsi ses parents avaient ils la possibilité d’avoir sous leurs yeux, la moindre de nos faits et gestes et d’y fourrer leur grain de sel.
Un jour, nous avions enfin contre ma volonté, j’avais fini par céder, acheté une télévision.
Le livreur cherchait où l’on habitait. Le cantonnier, lui dit « non non ça ne peut pas être mon fils il me l’aurait dit ! ».
Une fois livré, il regardât son fils étonné qu’il ait pu prendre une telle initiative, sans s’en ouvrir à lui !
Anecdotique me direz vous.
Mais qui à 25 ans toutes ses dents et un contrat de travail en poche et qui plus est « dans une administration » en disait bien long.
Ainsi au fil des ans, nous primes l’habitude de leur en dire le moins possible, et de mener notre vie comme bon nous semblait.
Les concernant eux, je faisais de mon mieux, ayant pris l’habitude très vite, d’apprendre à ne pas me laisser marcher sur les arpions, par une belle mère, qui si elle avait un charmant accent ukrainien croisé avec le cauchois, n’en était pas moins en âge d’être ma grand-mère, et qui présentait l’indédiable et terrifiant inconvénient d’être une véritable emmerdeuse et castratrice belle mère.
Soit je m’adaptais.
Un jour, en discutant avec ma propre mère, c'est-à-dire il y a longtemps, à l’époque où j’aimais encore mon mari, et que donc, j’étais entièrement conforme à ce qu’elle souhaitait socialement, elle me dit ceci :
« - Quand même, Françoise tu es dûre, avec elle, tu sais, il me semble que tu es dûre.
J’étais ferme…. " Tu ne t’imagines quand même pas que je vais me laisser emmerder par une belle mère, comme toi, ta vie entière, tu t’es laissée emmerder avec la tienne, non mais tu rigoles, ou quoi" ?
Bien des années après, m’en reparlant elle se souvenait de cette conversation et elle corrigeât. « non non en fait c’est toi, qui avait raison, il est normal que tu te fasses respecter et puis ensuite tu passes à autre chose ».
Pour être franche rétrospectivement, je regrette mille fois de ne pas avoir été plus dure, il est probable que ma dépression eut été nettement moins sévère.
Puis les années ont passé. Nos filles avaient fort bien comment tout ce petit monde fonctionnait, et savaient à quel point le repas du dimanche midi quand il avait lieu, laissait la télé en maitre régner, pour surtout ne jamais parler à cœur ouvert, comme ça se pratique à chaque fois que la télé permet d’éviter de communiquer.
S’il n’y avait pas la télé, comment feraient ils ou comment auraient ils fait ?
Non, comment font ils ?
Un peu de fiction.
« C’est lourd ce silence dis donc »….
Oui c’est lourd…
« Tu peux pas fermer ta gueule » ?
Ha, si je peux ne pas parler, effectivement, oui j’y penserai pour la prochaine fois ».
Alors que là, la télé fonctionne et permet de faire illusion sur le fait, qu’on est contents de se retrouver à table… OUF, qu’est ce que nous serions sans la télévision.
Je précise ma pensée. Je n’ai rien contre la télé, ni contre ceux qui la font, je serai bien injuste.
J’explique cela simplement pour démontrer pour quelle véritable raison vous l’allumez, quelquefois. Rien de plus.
Mercredi 16 septembre 2015.
J'ai toujours eu pour habitude moi, quand mes filles était petites, et enfants, ainsi qu'ados, enfin, jusqu'à ce qu'elles quittent le nid, de ne manger dans la salle à manger qu'occasionnllement..... ormis pour le repas dominical.
Mais au quotidien, je n'ai jamais transigé sur le fait que les repas devaient être pris sans télévision.
Je sais, je suis bien placée pour savoir qu'à cette heure, il existe certaines émissions qui pourtant vallent la peine d'être regardées, qui plus est "en famille", ce que je ne nie, pas..... D'une part pour alors servir de coment,dans la famille, encore faut qu'il y ait consensus sur le choix ce qiui est possible. mais le plus souvent, c'est le mâle qui decide du programme, quoi, qu'on en dise......
Mais dans l'hypothèse où ce consensus existe, mon problème ne consiste pas uniquemnt dans le fait de la diversion générée par la télévision, mais plutôt dans le fait que les moment où tout le monde se trouve autour de la table pour simplement discuter, sont relativement rares, et que ce fait génére de véritables à venir dans les relations entre ados et parents notamment.
Si l'on imagine par exemple, un parent ou des parents qui dans la journée pour une raison ou une autre, font une activité avec leur enfant, par exemple, qui crée un moment privilégié, sans qu'il soit forcement necessaire de se parler, d'ailleurs, le principe du "no TV", n'est obligatoire alors....
Le danger repose surtout dans le fait de de façon institutionnalisée, quasiment, et de l'ordre du non dit, on soit incapables de manger, sans que la télé ne soit allumée...
Là, je pense qu'il y a veritablement danger.
Je précise que cette remarque vaut aussi pour les portables, qui pervertissent complètement les relations entre les humains, surtout au sein des familles.
Oui, vous avez bien lu.....
Alors "comment faire".... "Mettre des barrières" comme pour les ordinateurs. Se ménager des plages horaires, ou la connexion est indisponible.....
pour informtion, le contrôle parental, ça n'est pas fit pour les chiens.
Chez orange j'ai deja psé la question, dernièrement.
Ils m'ont expliqué, que chaque compte utilisateur a la possibilité de parametrer s connexion internet au sein du foyer rendant ainsi toute utilisation de la connexion, comme bon leur semble.
De fçon généralej'i l'intime conviction moi que l'hyper connexion, est un veritable danger pour moi c'est une absolue certitude. En psychiatrie je sais que certains pateint y sont pour cette raison.
C'est en somme, pour certains, une addiction, dont il serait bien illusoire de faire la liste ici non seulmnt des diverses formes , mais aussi, deleurs causes, ainsi que de leurs consequences....
A l'inverse, l'utilisation massive d'un ordinateur peut aisser penser que d'être toujours devant son ordinateur est un symptôme, alors que son utilisation n'est absolument pas toxique, et qu'ona juste affaire à quelqu'un qui se fait chier profondement vivant avec quelqu'un qui fuit la communication et qui n'a pas le courage de faire face à ses problemes de couple, la femme en question cherchant ainsi, simplement à moins se faire chier.... (oui, ça sent le vecu !).
Je precise celà parce que chez les personnes agées notamment par le biais dela télévision l'image qui est donnée d'internet est parfaitement tronquée.....
Comme si avoir internet, c'était le Diable qui entre dans la maison. Mais non !......
Les reseaux sociaux.... "Et alors" ?
Oui ça peut être un problème. Mais pour peu qu'on se donne les moyens d'apprendre à s'en servir, je précise juste que les réseaux sociaux, sont le meilleurs moyens de faire circuler des articles de presse et les idées. Quelqu'un quia du talent et qui ne sait comment proceder peut parfaitement percer via internet pour peu qu'il fasse preuve d'imagination, et d'inventivité et ça, dans les coins les plus isolés de France ou d'ailleurs.
Pour les réseaux sociaux, c'est pareil... Si vous vous exprimez de façon correcte et respectueuse, sachez que vous ne serez pas les euls et qu'il existe surtout enormement de gens qui les utilisent de façon parfaitement intelligible, et agreables, même....
Qu'internet et les reseaux sociaux, changent la donne, aujourd'hui ne fait aucun doute, je ne dirai pas que ça pervertit, mais plutôt que ça modifie entièrement, toute forme de communication.....
Y compris celles qui ne sont pas virtuelles au depart.
Les problèmes arrivent quand on utilise internet à la base, au détriment du réel.....
Je trouve moi qu'internet permet aussi une meilleure utilisation de sa télévision. Puisque chaque émission quasiment, permet l'interctivité et les commentairessachant que ces commentaires, sont généraleent lus, par ceux qui font les emissions en question.
On peut même considérer à ce titre, que la télévision rend le téléspecteur plus intelligent, puisqu'il peut prendre part au débat. enfin je parle de la télévision "qui se respecte", et qui a une vision altruite de sa mission ça va sans dire.
Pour ceux qui s'imaginent que d'avoir internet est un danger, je précise que je me sui faite voler des boutures de rosier, la nuit dernière. Oui,on va me dire "tu en avais peut être parlé sur internet".
Oui, peut être, effectivement. Pas si sûr je n'en ai pas le souvenir. Sauf que j'ai mis une pancarte "vends vivaces" près de ma barrière. Et que donc, n'importe qui sait que je cultive des fleurs en pots, alors ça peut être n'importe qui du coin.... C'est dommage. C'est d'autant plus stupide, que je les vends bon marché et que demandé gentiment je les offirai aussi facilement..... Comme quoi, en pays de Caux la connerie est aussi présente. ceque je trouve dommage,c'est que c'était des boutures d'un roc sier que mon père avait lui même bouturé.
Oui je sais, mon père piquait des boutures chez les gens... Mais jamais dans leur jardin !... Sur le bord de la route uniquement.... Jamais il ne se serait permis d'entrer cez quelqu'un pour lui piquer des boutures ou quoi, que ce soit d'autre; il aurait fait comme moi "ho, il est mignon votre petit truc là bas, commet ça s'appelle ?.... Et e principe demandé poliment les gens normaux sont ravis d'aller chercher leur secateur et de donner des boutures.....Enfin, c'est pourtant pas compliqué !
En fait, pour ce qui concerne l'informatique, ce que beaucoup qui y sont réfractaires, refusent de voir, c'est que ça n'est qu'un moyen de communication....Alors que eux considerent que c'est une fin, ce qui est bien différent....
Enfin, pour conclure sur le sujet de la télévision, je précise qu'il est vraiment souhaitable aussi d'avoir un programme télé papier, TELERAMA, plus particulièrement.
Oui pour utiliser sa télé de façon intelligente mieux vaut avoir un programme intelligent.
Et pour ceux qui se plignent d'avoir des enfants qui deandent la télé pour un oui pour un non faite comme moi, soyez fermes..... et laissez trainer le programme tél sur la table, m^me si votre petit ne sait pas lire encore ça n'a aucune importance; le fait, d'avoir le programme sous les yeux, de tourner les pages de fouiller de regarder les imagede poser des questions en quelques minutes ila completement oublié qu'il avait emandé l télé.
Et s'il ronchonne au départ, surtout s'il ne sait pas lire....
SOYEZ DUR ET FERME.
Je t'allumerai la télévision
une fois que tu auras choisi ton programme,
et que tu m'expliqueras avec des mots pourquoi tu veux regarder cette emission et pas une autre,
et que tu me montreras à quel endroit ça se trouve dans le TELERAMA !
Et si après ça, votre mouflet ne file pas droit, vous me l'envoyez en stage !