Rarement un titre aura été plus compacté, sur le plan de la symbolique, non, je ne vous ferai pade nouveau, le coup des symbales, g faut pas deconner, non plus.
"Ecocide de Corneille", si vous préférez.
Il se trouve que j'ai été pensionnaire, pas loin d'ici, à Barentin, de la 6ième à la 3ième, oui, Thomas Corneille, et pas Pierre, son cousin, je crois, il était avec le loup, il expliquait comment tenir tête à sainte Austreberthe, alors, qu'il venait de bouffer son âne, et que la chipie, sacrée nonne, fatiguée par ses sempiternelles flatulences, (les pets de nonnes),avait fini par lui coller le paquettage de linge sur le dos, version,"ha, tu l'as bouffé mon âne, espèce de petit con, tu vas voir que tu vas en chier, (rapport avec les flatulences)maintenant, ça va être autre chose que de bouffer le petit chaperon rouge, je te prie de me croire".
BREF, c'est comme ça, la prosodie vient souvent à mon secours, bien que populaire, le secours en question, je l'accepte de bonne grâce.
Pour l'écocide, c'est ici que ça se passe.
Il est ici question, des mafias en tout genre, et je cautionne parfaitement, les popos, qui y sont tenus.
Mais je dois vous faire une confession;
Il y a plusieurs années, en parlant des multinationales, j'avais utilisé l'expression de "pieuvres opportunistes".
A l'epoque, j'avais été sensurées, mon article, boïcoté, et donc, je l'avais retiré. Soit dit en passant, l'article, lui, ne l'avait pas été il n'y avait que l'image, elle, qui l'avait été.
Le crime d'ecocide, tend à reconnaitre, le crime commis, vis à vis d'un environnement, qui a obligatoirement, un er retentissement, sur la population, qui habite à cet endroit, et qui compose le plus souvent, le personnel, qui travaille dans les entreprises concernées.
Ce crime d'ecocide, peut être mis en evidence, de la façon,la plus certaine, par des mesures, qui sont faites sur place, en prelevant des échantillons dans les sols, dans les cours d'eau, pour la pollution atmosphérique, en essuyant simplement, un capot de voiture, et analysant, les poussières récoltées. Les habitants peuvent fournir, aussi, des échantillons de cheveux, et les faire analyser.
L'espérence de vie chutant généralement, pour cause de maladies chroniques, mises en évidences, les autorités de santé sur place, quand il y en a peuvent elles aussi, fournir des certificats pour confirmer la relation de cause à effet, sur la population.
Il arrive quelquefois, que les médecins eux même comme on l'a vu en Indonésie, notamment refusent de collaboer, avec les ONG, comme Green Peace ou autre, pour mettre en évidence ces repercussions sur la santé dont les enfants et les vieillards sont les premières victimes, pour cause de se voir menacés par les autorités de leur pays, parce que l'énorme entreprise, qui est responsable du crime d'écocide en question, est la seule source d'emploi, et que la pression politique, alors, est telle, qu'ils sont contraints, de se taire, ou plutôt de cacher la vérité.
Quand je parle de pieuvres opportunistes, je pèse mes mots.
Aujourd'hui, un PDG d'une multinationale, n'a pour seul et unique objectif, que de faire du profit.
Qu'il soit à son poste, sur une filiale d'un trust multinational, pour lui, est d'une importance capitale, puisque selon l'évolution des droits de l'homme, et surtout, du droit du travail, mis en application par les politiques du pays concerné, ces derniers vont conditionner le fait qu'ils maintiennent, ou pas l'usine ouverte, ou bien la fermer, pour aller en reouvrir une autre là où ça sera plus rentable.
Ainsi, quand j'utilisais l'expression de "pieuvre opportuniste", c'est exactement de celà dont il est question.
Concernant les multinationales, le problème réside dans le fait qu'il existe un vide juridique, absolument hallucinant sur le sujet.
Deja, conformément à ma demande, depuis plusieurs années, quand la pieuvre installe son siège social, dans un paradis fiscal, pour ne pas payer d'impôts, la loi, vient de changer ou va changer pour qu'ils paient l'impôt dans le pays ou il gagne l'argent c'est un bon début. Mais je ne sais pas si cette legislation, est à l'enchelle européenne, uniquement, ou pas, elle devrait être mondiale.
Mais pour ce qui concerne le droit du travail par contre il n'exite rien, encore. Absolument rien.
Ainsi, selon le coût du travail, ils ouvrent ou ferment, comme bon leur semble, l'être humain passant de toute façon comme parfaitement accessoire, tellement accessoire d'ailleurs, que s'ils pouvaient robotiser l'ensemble, il y a bien logtemps qu'ils ne l'auraient fait.
Certains diront, "mais enfin, on peut donc les condamner et comme ça, ils auront une politique plutôt axée sur le respect des droits fondamentaux relatifs au droit du travail".
"Comme c'est mignon"......
C'est vraiment beau la naïveté n'est ce pas ?
Dans cette posture, je vous recommande d'aller voir, comment se comportent, des pieuvres comme TOTAL, par exemple.
S'ils savent qu'ils sont sur une corde raide, leur politique consistera alors à prendre des assurances, évaluer les risques statistiques pour calculer quel est le pourcentage de chance, qu'ils ont de se faire pincer.
Ensuite, ils répercuteront le cout, ou si vous preferez, le montant de l'assurance, sur le produit, en fin de fabrication, incluant ainsi ce risque, dans le prix de revient, et se permettront même le luxe, de pratiquer le green washing, ce qu'ils font, d'ailleurs, sans le moindre scrupule, via leurs campagnes publicitaires, poussant même la perversité, jusqu'à acheter le droit de pulluer.
Non, ce qu'il faut absolument franchir, comme pallier, aujourdhui réside dans le fait, qu'au sein de l'ONU, il existe une nouvelle structure, qui ait pour seule vocation, l'écologie, et le contrôle financier des ces pieuvres opportunistes, de telle sorte que ce vide juridique soit comblé.
Pour le problème des condamnations, il est impératif de faire voter une loi, qui rende les responsables de ces trusts internatinaux, responsables, en temps que personnes physiques, c'est extrêmement important, parce que c'est le seul moyen d'éviter, que par des stratégies et des montages financiers, par des filales opâques, notamment, la loi soit contournée.