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Mes calligrammes et mes estampes sont à vendre.....

Le 27/10/2018

Dans MOI..... EMOI.... Et MOI.

Bonjour à tous.

A partir de cet après midi, samedi 27 octobre 2018, il vous sera possible d'acheter des estampes numérigraphiques, c'est à dire des reproductions de mon travail de calligraphie, au café du village, L'ALMARO, tenu par Cécile et Mario Lefrançois.

https://www.facebook.com/cecile.lefrancois.54?__tn__=%2CdC-R-R&eid=ARBmx3bWouiTv6m16_5NxD1_LZKXA1gdTGg6rUhxZ_AuQHlZUOxOqOwZ3IFZi7yuzYfDzrNcRRgUHLd3&hc_ref=ARRsLgESKaZ-cgfSPPCfEQ1ZTZwr_bZk4eMkDXQQQ409Zuks4X5DJFCf8DPtw8cIGCw&fref=nf

Les reproductions que je vous propose, le sont sous différents formats, qui vont de la carte postale, jusqu'à la dimension conforme à l'original, c'est à dire, pour certains, 40cm x50cm, environ.

Ce format maximum, est en vente au prix de 10€.

 Les reproductions, sont sur papaier aquarelle.

Je propose, d'autre part, pour ceux qui envisageraient de commencer une petite collection, des format A4, le plus usuel, sous forme de deux séries, présentées sous pochettes cristal, avec au dos, les vignettes, représentant, les deux séries, et le texte mis en images.

Je vends chacun des serie, c'est dire les six calligrammes, 30€.

Et les deux séries, 40€.

J'ai décidé, d'autre part, de vendre à présent, certains de mes tableaux originaux.

150€, encadré.

100€, non encadré.

Je précise qu'à présent, bien que sous curatelle, la banque m'a certifié ce matin, que j'avais le droit de percevoir des chèques, et qu'elle était en droit, de me c verser l'argent, en question, ce qui n'était pas le cas, auparavant.

Enfin, le plus important, en ce qui concerne la peinture, je projette prochainement une exposition, avec 15 nouveaux tableaux, qui sont le fruit de mon travail, depuis plusieurs années.

Pour ce qui concerne le côté édition, plusieurs ouvrages sont en voie d’éditions, et sont bloqués, par la curatelle.

J'ai d'autre part, commencé à envoyer des manuscrits, aussi, aux éditions UTOPIA.

Les éditions EDILIVRE et LAURENT ont donné des avis favorables, et attendent après la curatelle.

 

Ma BIO picturale, qui est bien belle.

 Françoise Niel Aubin.

 Bon, je pourrai vous dire que je suis une superbe créature, que je fais 1m 80, hyper canon, mais comme c’est pour poser au café du village, 

certains pourraient démentir.

 Et je déteste le mensonge.

Enfin, je préfère éviter, que ce soit venant de moi, ou qu’on ne me mente.

 Je pourrai vous dire, aussi, que si j’écris ma Bio,

c’est pour être conforme au type de cultures maraichères et céréalières, que je cautionne,

et qu’en somme, avoir une telle démarche, n’est rien de moins que de conforter ceux et celles,

qui prétendent que je serai « une belle plante ».

 Et bien oui, puisque je suis BIO !

 Bon, là, je vais ne vous parler que de peinture, puisque c’est l’objectif recherché.

 Ma relation avec ce qui est artistique, ne s’est faite  au début, qu’en autodidacte, quasiment,

car seuls mon frère ainé, et ma sœur ainée, griffonnaient comme moi.

 Un jour, pensionnaire au lycée Corneille, à Barentin, j’étais victime de harcèlement.

 C’est par le dessin, que j’ai réussi à épater celle qui me harcelait,

et j’ai gardé depuis ce jour, une relation intime, avec ce mode d’expression artistique.

 Pourquoi, la calligraphie, alors, que j’écris ?

 J’ai toujours été fascinée par l’esthétique de l’écriture.

Sur mes cahiers d’école, au collège, plus précisément, il en était déjà ainsi.

 « la calligraphie est à la peinture, ce que les bulles  sont à la BD ».

 Je suis née à sainte Austreberthe, le 04 avril 1961, à la ferme de mes parents.

 Je revendique une forme de militantisme pictural, afin d’élargir mes modes d’expression.

 Je fonctionne assez souvent, avec une visualisation assez poussée,

qui me prédispose  à m’exprimer de cette façon.

On ne choisit pas, d’être artiste.

C’est une pulsion, avec laquelle on doit cohabiter.

 On choisit ensuite, selon son milieu ou sa trajectoire,

de l’assumer, ou de ne pas l’assumer, ce qui est différent.

 Le fait, que selon ce que j’ai à dire, m’écarte quelquefois de mes pinceaux,

ne signifie  pas que je leur tourne le dos,

mais plutôt que selon le propos, comme pour le rire, 

c’est un mode d’expression qui s’impose, plutôt qu’un autre.

 Au moins, ce dernier présente t il l’avantage de ne casser les oreilles à personne.

En somme, vous l’avez échappé belle, mais méfiez vous, sur ce point,

je suis bien loin, d’avoir dit mon dernier mot !

 Un des avantages de la calligraphie, réside dans le fait que comme pour la chanson face à littérature,

elle oblige l’auteur, à un effort de synthèse, dans ce qu’il veut exprimer, un peu conformément aux YAKU, au japon.

 C’est assez amusant,  parce que ceux qui me connaissent, disent que je suis une pipelette,

et qu’à ce titre, m’exprimer dans une forme de minimalisme pictural, est en soi, interpellant.

 Une vraie recréation, en somme, à chaque fois, à moins que ça ne soit éventuellement, un bon coup de gueule.

 

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