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Je suis surdouée.

Le 12/06/2015

Dans MOI..... EMOI.... Et MOI.

    Oui, je sais, j’imagine bien que certains vont dire « mais enfin, elle pourrait peut être plutôt donner six sous à quelqu’un, pour le dire à sa place ».

   Et bien pour commencer, on en est à l’euro, mon petit bonhomme, alors, il faudrait te mettre à la page.

   Ça fait prétentieux, de prétendre une chose pareille n’est ce pas , oui, je trouve aussi. Et bien voilà. puisqu’on n’arrête pas façon détournée, de me dire que j’ai bien des qualités, je suis prétentieuse et pour une fois au moins, je me sens un peu plus « normale ». YOUPIIIIIIIIII.

   Bon sinon, on me colle ce sujet sous le nez, depuis quelques mois déjà. Et c’est sur France 2 hier, que le sujet a été abordé, à l’occasion du BAC.

http://www.francetvinfo.fr/bac/ils-passent-le-bac-a-13-et-14-ans_947281.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20150612-[lesimages/image4]

   Vous me direz « dans ce cas comment se fait il que tu n’ais jamais été détectée, pendant l’enfance, ou l’adolescence ».

 Plusieurs raisons à cela.

   Le principale réside dans le fait que j’ai été une petite fille pas très bien aimée, il faut bien le reconnaitre, comme l’ont été mes autres frères et sœurs pour être franche.

   L’Amour parental a ceci de particulier, que par définition il ne se mesure pas en quantité, comme on le ferait avec un verre doseur, pour faire un joli gâteau.

   J’emploie cette métaphore parce que je viens de m’acheter un fou électrique dans une foire à tout 7€, et il fonctionne ! Ce qui fait que je vais enfin pourvoir cuisiner comme bon me semble, d’où le clin d’œil pâtissier.

   Parler de l’Amour d’un père ou d’une mère, est une chose tellement complexe, qu’il serait parfaitement ridicule, d’avoir la prétention d’aborder ce sujet ici.

   Je sais juste par expérience, la mienne en temps qu’enfant, mais aussi celle que j’ai eu en temps qu’éducatrice stagiaire, il y a trente ans, que le premier symptôme d’une souffrance psychologique chez l’enfant se traduit par un désintérêt de l’école, ou par des notes catastrophique décrochement scolaire etc….

   Cela  ne signifie pas qu’un enfant qui rencontre des problèmes de cet ordre, soit systémiquement en souffrance, mais c’est un signe qui croisé avec d’autres, doit bien évidemment évoquer immanquablement, l’hypothèse d’une souffrance psychologique.

  La seconde raison n’a rien à voir, enfin je pense, avec mon état psychologique à l’époque, qui réside dans le fait que je suis dyslexique. Enfin, je crois.

C’est Thomas qui dit ça de moi. (voir la voisine des oiseaux de Sanseverino).

   J’ai encore aujourd’hui, beaucoup de mal à me concentrer sur une lecture. Que ce soit papier ou sur internet.

    Ce qui en résultait alors,  si on y ajoute le fait, que je recherchais toujours à me lier d’affection avec tous les pions ou les profs, résidait, dans le fait que j’étais beaucoup plus attentive à l’oral et que c’était pour moi, le seul moyen d’apprendre véritablement quelque chose.

 Certains diront « attitude de séduction ».

   OUI OUI OUI. Comme le font tous les enfants hyper sensibles, et qui ont besoin de trouver ailleurs ce qu’ils ne trouvent pas dans la famille dont ils sont originaires.

    Sur mes bulletins, systématiquement, apparaissait que j’étais très appréciées toujours par les profs, parce que je participais beaucoup, mais des qu’on passait à l’écrit c’était une quasi catastrophe.

   Quand à la détection de ma dyslexie, ça n’existait pas !

    Pour le fait de me prétendre « surdouée », je prétends cela parce que tout m’intérresse, et que je crois avoir des compétences qui vont bien au-delà de ce que beaucoup ont toujours cru, dans mon entourage, notamment.

   Ceux qui  m’ont toujours aimée telle que j’étais (mes trois filles, surtout), ont toujours eu conscience je crois, de cette marginalité.

   Ma seconde fille notamment, qui a une sensibilité très proche de la mienne,  me disait toujours enfant, en rigolant « oui mais toi, maman, c’est pareil, tu sais bien, "tu es AUTRE"…. Ce qui n’avait rien d’insultant, je le précise. Juste qu’elle était consciente de ce « décalage » . Et c'est elle, qui il y a dis ans,, environ, m'a mise sur la piste de Thomas, par l'intermediaire des on disque TRIPLEX.

   J’ai toujours été consciente par exemple, moi d’être « différente », et de l’assumer. J’ai toujours été une observatrice, infiniment plus pointue que n’importe qui d’autre dans mon entourage. Et je gardais toujours tout pour moi, parce que je n’avais personne avec qui le partager jusqu’à Thomas.

   Pour ce qui est du risque de tomber une « un mauvais mentor » qui aurait pu saisir l’opportunité de ce sentiment, de me sentir mal aimée, quand j’étais ado, notamment, ça ne risquait pas d’arriver et pour cause.

    Victime du pédophile à 9 ans environ, j’avais développé, à partir de ce jour un instinct inné, qui me faisait sentir bien avant n’importe qui, le moindre prédateur ou le moindre danger.

    Je ne sais pas si ce phénomène existe chez les autres victimes de viol, ou de crimes sexuels. J’en suis très curieuse, pour être franche, et j’ai hâte moi de voir ma tutelle levée, et les conditions juridique levées pour pouvoir éventuellement travailler su ce sujet, notamment en collaboration réelle, ça va sans dire.

    Je pense moi, que les découvertes récentes, dans la recherche sur le cerveau,  en ce qui concerne les traumatismes et les souffrances, laissent espérer qu’on parviendra  je l’espère, en dehors de mon travail, relativement à la demarche artitique, à pouvoir aider des enfants, des ados, et des adultes, qui ont terriblement souffert, à parvenir à porter ce fardeau de leur histoire, le mieux possible, pour que ces entraves se trouvent enfin transformées en force, pour se réaliser malgré tout.

     C’est vraiment ce que moi je souhaite à présent.

    Je souris parce que dimanche passé, je discutais avec une copine à Mesnil Panneville, et je lui expliquais que  pour Thomas Fersen, qui est mon coach, il était quelquefois difficile, de toujours parvenir à discerner comment il devait procéder. J’ai conscience moi, de devoir absolument intervenir sur certains dossiers, dont je sais pertinemment qu’il n’y ait que moi qui puisse débloquer certaines situations, notamment à l’international, alors que parallèlement, ma véritable nature, que Thomas et moi, nous sommes donné un mal de chien à faire renaitre, les années de thérapie, était mon côté artistique, et ma véritable nature, qui réside entre autre, dans le fait de raconter des conneries, pour faire rigoler la galerie….

    Et si je n’ai aucun doute, sur le fait que les gens qui m’aiment apprécient aussi mon sens de l’humour, je dois dire que le problème est d’un autre ordre quand je détricote le contexte psychologique, du conflit inter générationnel, entre marine le pen et son père, la constatation inéluctable, qu’un dictateur nord coréen, qui fait assassiner les membres de sa famille,  n’est rien de moins qu’un psychopathe, ou qu’il devient véritablement nécessaire effectivement, de prendre conscience que la « prosodie» du Coran,  sert de somnifère au monde musulman…..

    En conclusion, « l’humour ne peut pas tout », hélas, et croyez moi, s’il est une personne qui le regrette, c’est bien moi. Véritable laurier que j’en récupère, on me compare à Pierre Dac…..

  Soit, je prends.

Je suis flattée et je dois dire que c’est pour moi bien plus précieux que de me donner un prix Nobel, si l’on considère que ce prix ait été créé  pour racheter le fait que leur fortune ait été faite dans l’industrie de l’armement !

 Je serai tentée de rajouter « chacun sa couronne». Et je ne suis pas dentiste ! (les bourre pâte et les tires nerfs, de Sanseverino).

http://www.deezer.com/album/74258

 (  Je rigole en réécoutant la chanson sur deezer, et je vois qu’il parle de winshester, dommage qu’il ait pas mis « kalachnikov’ » mais ça n’aurait pas rimé ).

 En fait, si je devais me comparer à ces lycéens, qui sont autant en avance, je dois dire que par certains côtés, ça ne fait aucun doute. L’intuition phénoménale, par exemple, la rapidité de raisonnement, et surtout un instinct vraiment très fort.

 Un psy, à  l’HP, en consultation, en rigolant, m’avait « mais qu’est ce que vous allez vite… C’est un peu difficile d’arriver à vous suivre quelquefois » !

 C’est lui qui m’avait poussé dans mes retranchements, sur la notion de doute…… Véritable qualité rigoureusement indispensable chez n’importe quel dirigeant, puisque c’est le seul véritable rempart, qui garantisse la perméabilité indispensable à l’innovation.

 

 Dimanche 16 août 2015.


Vendredi 4 Août 2017.

   Bon, ce matin, on me rappelle à l'odre, sur le sujet, alors, je rapelle une vidéo, sur le sujet.

 

Je pose le lien, ci dessous, pour que vous puissiez profiter des commentaires.

https://www.youtube.com/watch?v=CDuyq2KdIsE&lc=z23oy3nwqkvre3dkzacdp433qd4p342zf4hsdvjxfsdw03c010c.1501852827489762

 En cours de commentaire.

 

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