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FRAGILE.

Le 23/08/2015

Dans MOI..... EMOI.... Et MOI.

 Bon, oui, ça va, j'y viens.

 Excusez du peu.... Comme j'ai coutume de dire depuis toutes ces années, "depuis le temps qu'on m'emmerde avec ça" untel ou une telle qui a fait un truc dont "peut être" j'aurai été l'inspiratrice.

 Je précise que la concernant, il me semble l'avoir deja été, et si ses paroles ne me posaient pas le moindre problème, c'était sur les arrangement donc, avec le regard du directeur artitique que j'avais tiqué à l'époque. Mais enfin, le temps à passé, et je n'ai pas du tout trouvé le temps d'aller fouiller sur le sujet, désolée "j'ai pas que ça à faire".

 Alors venons y.

 FRAGILE.

    Pour moi, en fait, l'intérêt réside dans le fait de raconter un truc que j'ai subi enfant, que je n'ai encore jamais raconté.

 Pas de panique, rien de grave en soit, pour n'importe quelle enfant, sauf que compte tenu de mon histoire, c'était bien différent.

 J'étais en primaire.

 J'étais bien intégrée et mon instituteur m'aimait bien.

 Mais un "camarade de classe" lui, plus grand, et plus fort que moi, physiquement, avait besoin d'un putching ball attitré.

   Ainsi, plusieurs fois par jour, chaque matin, à l'arrivée, chaque récréation, chaque midi, enfin donc si je résume environ 10 fois par jour, il ne pouvait pas s'empêcher de me cogner sur l'épaule, pas tres fort, mais il le faisait, comme font les mecs, entre eux, quoi "voyez le genre"..... "tu veux te battre" ?

 Sauf que moi, je detestais ça. Je détestais parce que la pédophilie je la portais en moi, seule, et que donc, je ne supportais pas qu'on me bouscule.

 Si l'on me bousculait de façon accidentelle, ça n'avait rien à voir, c'était involontaire, et ça ne me posait aucun problème.

 Mais là ça n'était pas le cas, j'étais son putching ball attitré.

Au bout de quelques jours voyant que c'était devenu pour lui un vetitable tic, ou une façon de communiquer alors que moi, je ne repondais pas, j'ai fini par lui demander gentiment d'arrêter, et pour se faire je lui ai dit que j'étais fragile je ne sais plus comment j'avais bidouillé ça pour tenter de le faire stopper.

 Tout ce que j'avais réussi à faire, c'est que son comportement avait alors redoublé..... En fait je réalise simplement que son désir, de me considérer comme son putching ball, était exactement proportionnel à sa connerie, qui malgré son jeune age,  (fin de primaire quad même), était deja extrêmement prometteuse.

   Mon père, à qui je ne l'avait pas dit, comme je ne disais jamais rien à personne, pas plus que pour la pédophilie, soit dit en passant, disait en s'amusant souvent que certains parvenaient à atteindre un tel niveau de connerie, qu'ils devraient "payer patente".

  Je voyais Patrick Pelloux qui me faisait coucou, hier soir, sur mon mur FB  "pour maintenir le moral des troupes",  et je sais que les services des urgences sot en difficulté reltivement à des histoires de budget.

   Je rappelle, pour ceux qui ne savent pas encore, que j'ai une idée géniale sur le sujet, et je ne sais pas quand François Hollande et le ministère concerné, va enfin travailler sur ce projet, parce que ça me tient vraiment à coeur, mais nulle doute  que si la connerie humaine pouvait par un mode d'imposition renflouer les caisses de la securité sociale je n'ai aucun doute,  sur le fait que le fils de "poils au pattes" aurait plus que largement  apporté sa pierre à l'édifice... Comment ça ? Mais non je ne l'ai pas dit !

 Alors à la question "combien de temps ça a duré", et bien JE N'EN SAIS RIEN, assez pour que ça m'ait traumatisée à vie, comme vous pouvez le voir.

Sinon pour informaton, ça aussi inspiré un sketch, qui m'avait fait hurlé de rire avec Arnaud Tsamère.

Bon j ne le retrouve pas encore. j'ai vu quelques illustrations qui sont sorties d'un livre que milène faermer a fait que je ne conais pas mais ça semble sobre, dans le dessin je veux dire enfin j'aime bien.

 

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