Bon, c'est une nouvelle émission, qui est produite par Laurent Ruquier et Catherine Barma, comme à la belle époque, de On Ne DEMANDE Qu'à en Rire, sur France 2.
Je vois que vous pouvez laisser des commentes, là bas, facilement.
Je n'ai pas assisté dans le public, aux 3 première émissions, mais le lendemain, aux deux suivantes.
Pour être franche, considérant que le challenge consiste, dans la mesure du possible, à retrouver des sensations proches de notre émission culte, et sachant à quel point il est subtile et difficile, d'accepter de faire avec une relative nostalgie, vis à vis de la troupe, dont chaque membre parcourt son chemin, à présent, moi y compris, j'apprehendais un peu, je le reconnais.
L'enregistrement se fait, au pavillon Gabriel, donc, au même endroit que "vivement dimanche", ce qui pour moi, est assez touchant.
Le principe est le suivant.
Deux équipes s'afrrontent, composée, d'une famille virtuelle.
Deux célébrités, sont le père ou la mère factice de deux enfants, souvent, deux frères et soeurs, ce qui nous fait donc deux equipes de trois.
Le jeu est présenté par Alex Goud, et il consiste à poser une question.
Face à cette dernière, un couple d'humoristes jouent des sketchs, pour proposer des solutions.
Une fois que les sketchs sont joués, trois options sont proposées pour y répondre, dans chacune des équipes.
Soit, c'est le premier couple d'humoristes, soit c'est le second, soit, ça n'est ni l'une ni l'autre, ce qui est la troisième option.
Bien évidemment, chaque humoriste s'évertue, une fois joué son sketch, à le "vendre", ou plus précisement, à se mettre en valeur, eux, et eux seuls, détenant la stricte vérité, faisant passer l'autre équipe, pour des incompétants, des charlots, voire, pire encore..... Des politiques.
Une fois le choix arrêté, entre alors en scène, Jerôme Bonaldi, qui est à la démontration scientifique, ce que Popek, était à la Magie, c'est à dire que son numéro, foire assez souvent, mais on rigole bien.
Ce jour là, il y avait beaucoup de collègiens alors, le placement du public, alors que ça n'était que les premiers enregistrements, me semblait un peu long.
Mais une fois commencé le tournage, je me suis laissée embarquer, et prendre au jeu, comme n'importe quel gamin, sur le plateau.
Bon, mais je dois cependant vous faire une révélation, parce que je doute que ça apparaisse à l'écran, lors de la diffusion.
Alors, que Jerôme Bonaldi s'évertuait, à interdire promptement, à un ballon gonflé à l'hélium de monter en altitude, vers les projecteurs, grisé par la lumière, , avec pour seul pouvoir de conviction, une flopée d'alexandrins, qui nous révélèrent ses talents de poête.... L'un des ballons refusât à sa grande stupeur d'optempérer.
Quelle ne fût pas notre surprise, et quelle mise en scène grandiose, en effet, dans la pavillon Gabriel.... Mais quand le plafond s'ouvrit, pour libérer enfin, le ballon dont il était question, pour enfin lui permettre d'aller voler dans le ciel de Paris......
Et bien on était tous comme des couillons, la truffe en l'air, pire qu'un clabard, qui aurait cherché l'odeur de son os, s'il avait été suspecté d'être allé faire la sieste sur un nuage !
Voilà.... Alors, moi, je vous le dis, depuis le temps qu'on me fait chier, à devoir faire de la politique, j'aimerai bien passer mon temps, ENFIN, à faire des choses sérieuses.