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Quand la botte italienne peine à laisser une empreinte dans la construction européenne.

Le 23/12/2015

Dans JUSTICE.

 Et oui, il n'aura "échappée belle", à aucun observateur que si l'Italie à une forme de botte, c'est soit, parce que le pape a des chaussures rouges (mais notre bonhomme ne s'en vente pas), soit parce que l'industrie de la chaussure y est florrissante, soit que Matteo Rezzi, aimerait bin foutre à pied, au cul, à Bruxelles...

 "Zut de crotte de bique", là, où Matteo Renzi, se fout de doigt l'oeil jusqu'au coude (ce qui soit dit en passant, est nettement moins grave que jusqu'aux couilles), c'est qu'il a justement dans la botte, non pas un petit gravillon, mais un truc bien emmerdant, qu'il oublie d'évoquer qui réside dans son incapacité à collaborer sur le plan européen, au sujet des passeports, et cartes d'identité biométriques....

 Je vous explique.

http://"Quand la botte italienne, peine à laisser une empreinte dans la construction européenne".

 Parce que chaque personne responsable, sur le plan européen, est d'accord pou admettre ça va sans dire, que les pays du sud de l'europe, doivent effectivement être aidés, par Bruxelles, aussi sur ce plan, je suis la première à l'admettre.

  Mais quand sur le plan européen, tout se met en place, pour parvenir véritablement, à sécuriser le mieux possible, divers aspects comme la lutte contre corruption, les méthodes techniques de contrôles au frontières, la lutte contre les paradis fiscaux,  l'Italie n'est pas la seule à trainer des pieds,  chacun revendiquant pour diverses raisons, des "exceptions européennes"....

  Soit, que certaines exceptions soient valables et doivent être respectées, j'entends fort bien, quand il s'agit d'identité culturelle, au sens large, c'est non seulement acceptable, mais aussi souhaitable, puisque revendiquer une Europe forte, n'a jamais eu pour objectif, de se "noyer", sur le plan identitaire, contrairement, à ce que les nationalistes tentent de faire croire aux plus naïfs.

   Mais s'il est un plan sur lequel l'Europe revêt une importance capitale, c'est bien relativement à la sécurité.....

 A l'heure ou le biométrique, combiné aux empruntes digitales, semble admis de tous, comme étant le seul moyen de fournir une identification de l'individu, qui soit le plus fiable, et le moins falsifiable, l'Italie, refuse, elle, d'avoir recours aux empreintes digitales... Vous voyez ?

   On ne parle, même pas encore de la lecture de l'iris, non, simplement, des empruntes digitales...."Et bien ça les chifonne, les petites biches".Il parait que ça n'est pas dans leur culture.

.... Je tiens juste rappeler que le travail au noir, la corruption, la fraude fiscale, la mafia, sont dans le sud de l'Europe plus virulents qu'ailleurs, ce que tout le monde sait pertinamment. Et bien eux, ils bloquent juste, sur la base... Les empreintes digitales.

  Alors, qu'ils commencent deja par balayer devant leur porte, côté identité biométrique, et puis ensuite, Matteo Renzi, sera bizarrement mieux écouté côté européen.

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