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PJJ, Protection Juridique de la Jeunesse.

Le 01/03/2016

Dans JUSTICE.

Oui, je disais à l'instant, sur un autre sujet, que la PJJ, renfermait, un certain nombre de professions, qui sont parfaitement méconnues.

 Ainsi d'avoir à disposition ces vidéos, permet effectivement, de mieux connaitre d'une part, le foncitionnement de ces PJJ, mais aussi, des diféerentes professions qui y travaillent, je pense notamment, à certains étudiants, qui seraient tentés, par ces filières juridiques.

Pour ce qui concerne ce que j'en ai vu, je trouve ça vraiment tout à fait interressant.

 Ce qui peut êttre, être amélioré, serait, que l'individualisation, du projet, et le developpement personnel, soit plus favorisé.

 Je m'en explique.

Aujourd'hui, avec le risque lié au djihadisme,  certains jeunes se font embarquer, idéologiquement, parce qu'ils trovent rassurant, qu'on pense, à leur place....

  Le veritable peril, qui reside, dans toute forme de fondamentalisme, et qui prennet forme, par l'integrisme religieux, le plus souvent, consiste fabriquer, une forme de lobotomisation, des exprit,s cette lobomisation, est d'autant plus facile, chez les jeunes,  qu'ils souffrent d'un manque de confiance en soi, evident.

  Je ne cherche pas à remettre en cause, tout ce que je viens de voir, j precise,  bien au contraire, parceque ça contribue aussi,  à améliorer, leur confiance en soi.

  Mais ce qui pose problème, chez ces jeunes, réside notamment dans le fait que paumés, tels qu'il le sont, leur manque de confiance, ne genère chez eux, que le silence....

 J'en tiens pour preuve, l fait, qu'on n'en voit jamais s'exprimer, spontannement.

 Certes, j'imagine bien qu'ils ne f sont pas muets effectivement !

 Je dis juste, que  de les confronter à ce qui autre que leurs idées,  de façon progressive, et de les faire s'exprimer, sur leur accord, leur resenti, leur deapprobation,  en maitrisant leur colère, est un passage qui est souhaitable.

  Beaucoup sont des echecs scolaires, je connais bien, merci !

 Quand un enfant, ou un dolescent, est fâché à ce point,avec le scolaire, alors, il importe, plus encore, que pour quelqu'un d'autre,  de veiller à ce que cette cond fiance en soi, soi musclée, POUR QUE CA LE SOUTIENNE AU QUOTIDIEN.

 Souvent, ils ont des problemes de concentration.

 Peut être que de regarder un film en entier, c'est trop dur, car trop long.

 Leur faire regarder dalors, des courts métrages.

 Peut être que de lire, un livre en entier, c'est trop long. Je suis moi, à l'origine, du regain vers les nouvelles, justement, pour reapprendre à lire.

 Je pense oi, que de braver la loi, est une forme d'enfermement, dans lequel l'individu s'enferme,  pour tenter de crier, son individualité. En gros, de façon inconsciente, ça veut dire, J'EXISTE.....

 Ors, si cette singularité, ne touve pas de moyen d'expression,  il risque alors d'être tenté de noueau plus tard de crier, comme bon lui semble, "en dehors des clous".

 Un desmoyens, qu'il est bon d'exploiter, serait aussi, de les inciter à ecrire.

 Je sais, quand on fait des fautes, c'est difficile.

 Mais ça vaut le coup, d'être tenté, peut être.... S'il est un endroit bien loin, de la réforme de l'orthographe,  où on peut s'exprimer, sans en tenir compte, c'est bien là.

 Un atelier à plusieurs, et on leur propose, juste une petit challenge, et l'expression est libre. Ensuite on se fout es fautes, et on explique, pourquoi, comment, et qu'est ce que on ressent, qund on écrit.

En fait, le challenge, qui est imposé aux ados, et je trouve ça vraiment bien, c'est le respect desregles...

   Mais si une fois ces regles respectées,  l'ado, en question, n'a pas la compensation "sublime", dedevoir reconnaitre, que de cette façon, il a experimenté, quelquef chose, dont il n'aurait jamais pensé, être capable, on se prive, d'un réel potentiel, de le voir éclore à lui même. pour certains, ça peu être, des choses anodines...

 Jouer un jeu, avec quelqu'un, et apprende à perdre, et relativiser. Pour ça, il fait absolument leur apprendre que la compétition, c'est surtout vis à vis d'eux même qu'elle se joue.

 Parvenir, à ce que "je suis en colère, et j'en ai envie de tout  pêter", devienne "OK, j'ai perdu, mais enfin, j'ai  vachement bien joué quand même".

 Pour ce qui concerne les ados, qui ont des reltions tres difficiles, avecleur familles, qui sont fort nombreux, si j'ai bien compris.

 Il serait peut être envisageable, de prévoir une forme de parrainnage, parce que certains parents, à plus forte raison, quand ils sont incapables, dese remttre en cause,  reseront toujours toxiques, pour ces ados.

 A ce titre, toute demarche de l'educateur, risue d'être veine, sur le long terme.

 Quand ça n'est pas lecas... OK, un vrai travail peut être fait, par les familles.

 Car l'institution, qu'elle soit scolaire, éducative ou juridique, tue le lien affectif, qui est necessaire, non seulement, à l'enfant, mais aussi,  à l'ado, et ensuite, à l'adulte.....

 Ce line affectif, est l'élément absolument fondamental, dont manque la très grande majorité, des délinquents.

 Quand le lien affectif, entre parents et enfant, est satisfaisant, c'est normal, on passe notre vie, à faire le deuil de relations affectives d'adultes, qui nous en enseignés,   QUELQUE SOIT L'AGE.

 P Mais pour ces enfants là, comme pour ceux, qui sontconfiés, à la DDASS, c'est autre chose.....

 La rupture, d'une extrme gravité qui s'est opérée, assez souvent, a rendu cet enfant, ou cet ado, IMPERMEABLE A L'ATTACHEMENT.

 Il existe un diston, qui dit, "chat echaudécraint l'eau froide".

 Et en matière d'education, et bien c'est pareil... 'je ne m'attache pas pour ne pas revivire, la rupture, d'avant que je n'ai pas encore digéré".

   Pour la cas d'enfants, qui sont allés en famille d'accueil, notamment, ilfat absolument refaire, un histoirique total, desesplacements, et revoir,  decortiquer,  le ou la faire parler, sur chaque attachement, qui ait mal ecvolué, parce que c'est là, et nulle part ailleurs, que se trouve, le ver dans le fruit.

Le but recherché, n'est pas de remettre en cause la capacité de telle famille, ou telle autre pour déterminer, si elle a été ou pas, une bonne famille d'accueil.

 Mais uniquement, que les choses, soient non seulement, verbalisées, mais aussi, écrites,  de telle sorte qu'une fois adulte, il ou elle soit en mesure,  de libérer la parole, et d'aider ses enfants, notamment, à ne plus se sentir coupables, d'avoir un père, ou une mère, qui ait rencontré de problèmes aussi graves, étant enfants.

 Jamais au grand jamais, un ancien enfant ne peut être rendu coupable,  de n'avoir pas su, parait il, se faire aimer, de qui que ce soit qu'il s'agisse, d'un éducateur, d'un enseignant, ou de ses propres parents.

 Dans l'hypothèse, de parents particulièrement "amochés", comme on dit chez nous, et qu'il existe certaines opportunités  de les inciter à se raconter vis à vis de leur enfant, qui manifeste un vrai symptôme de cet ordre, il est impératif de saisir la perche, qui est tendue.... Parce que ça signifie alors, que c'est ce qu'ils attendaient eux, aussi, de la part de l'éducateur.

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